« Je préfère Proust à Balzac. Proust, c’est magistralement écrit. », me dit Blanche.
Une réflexion célinienne s’imposa : « Trois cents pages pour nous faire comprendre que Tutur encule Tatave, c’est trop. » Proust c’est verbeux, n’apporte rien ; son œuvre est une branlette d’intello devant la vision de son petit univers bourgeois. Tout le contraire de Balzac qui par sa critique de la société nous immerge dans son époque, nous invite à en connaître tous les aspects. Avec la Comédie humaine, la littérature devient cathédrale ; la Madeleine, c’est une église désaffectée.
Je n'ai jamais revu Blanche.