Torture et passion.
Je me trouvais dans ma chambre en train de lire un journal en piteux état et couvert de sang. C’était bien le mien en vu de l’écriture, j'ai donc décidé de le feuilleter.
Je me trouvais dans un lieu sinistre où la lumière semblait peiner à entrer, seules quelques ampoules au plafond éclairaient la pièce. face à moi se trouvait une fille brune aux yeux bleu cyan, son regard est celui d’une sadique avec de nombreuses idées odieuses, prêtes à être mise en place. L’autre fille à la peau métisse avait la chevelure blanche et les mirettes écarlate, elle ressemblait à une bête sauvage prête à me sauter dessus. Elles se ressemblaient énormément, physiquement mais aussi dans le goût vestimentaire, une cape, un bustier, une jupe et des bottes, marrons pour la première et noirs pour l’autre.
Quant à moi, je portais un t-shirt déchiré, laissant à l’air libre mon ventre, un reste de pantalon qui exiba mes jambes, c’étaient mes seuls vêtements qui respecte le code couleur du blanc.
La brune s’avança vers moi lentement, elle me caressa la joue avant de la saisir.
« Tu vas nous servir de cobaye aujourd’hui, tu vas voir tu vas bien aimer ce qui va t’arriver, Kufufu. Cruelty, aide moi à l’attacher.»
Les paroles de la demoiselle me mettaient mal à l’aise, tandis que la blanche m’attrapa le poignet gauche pour m’attacher sur ce qui semblait être une table en bois, je n’ai pu résister de constater tous les différents matériels qui sont dispersés sur les murs et les établis. Alors que je me retrouve couchée sur le dos, ainsi que les membres attachés aux quatre coins par de solide chaînes métalliques, la fille vêtue de marron s’amusa à glisser ses mains sur tout mon corps, n'oubliant pas les parties les plus gênantes.
« Tu es bien mignonne, mais tu manque un peu de personnalisation… Ne t'inquiètes pas, on va arranger cela. Oh en fait, je me nomme Sadisty et l’autre hybride c’est Cruelty. Toi tu te nommes Joy? Mmmh tu vas bien porter ton prénom. Je t’explique, ici tu ne peux pas mourir, même si tu te retrouves avec la tête en moins ou un organe explosé. C’est moi qui décide si tu meurs ou pas. Donc tu vas terriblement souffrir, alors… Fais moi plaisir, crie de toute ton âme. »
Sadisty se mit à rire pendant que l’autre fille lui donna un coup à la tête pour sa présentation. La sadique se dirigea vers un tiroir pour y prendre deux couteaux bien aiguisés, elle donna le second à sa partenaire puis lécha le sien comme une perverse. Je me retrouvais avec les deux tortionnaires de chaque côté, me saisissant chacune un bras pour y diriger leur arme. Leurs mouvements sont bien synchronisés, elles posèrent le bout de la lame sur mes deux paumes, une fois posé, légèrement, elle descendit le long de mes bras en laissant une ligne rouge derrière. Le picotement procuré par les deux blessures me fait gémir de douleur, je serrais les poings pour encaisser le coup mais cela est inutile. Une fois les bras terminés, c’est le torse qui sert de parcours, les deux armes blanches se retrouvent au milieu de ma poitrine avant de se séparer juste après.
La brunette prenait son temps pour dessiner des soleils sur mon ventre, tandis que Cruelty brisait leur coordination en se dirigeant vers la jambe. Cependant, voyant que l’autre se met à l’art, elle plante sauvagement sa lame dans ma jambe avant de la retirer pour y déposer ses dents sur la blessure. La douleur me force à hurler et relever la tête, c’est insupportable, hélas la brune m’oblige à me recoucher en me plaquant la tête contre la table. Tout ce sang qui coulait sur moi me donne envie de pleurer, et cette sauvage qui me dévore comme une proie. Quand elle retira sa tête, elle garda un morceau de peau qu’elle avala tranquillement, laissant du sang autour de sa bouche.
« Elle a pas mauvais goût, tu devrais essayer Sadi. Attends je vais t’en donner un bout. »
La métisse tira un morceau de ma peau, là où elle avait fait une blessure. Elle tendit sa nourriture à sa frangine qui le mangea de suite. Son sourire montrait qu’elle appréciait le goût. Les deux femmes reprirent leur organisation quand Sadisty arriva à la jambe, le massacre se stoppa enfin quand elles arrivèrent au début des pieds. Je pensais être tranquille pendant un court instant, mais voyant leur sourire moqueur, des frissons me parcoururent. Elles plantèrent leur lame dans le creux de mes mains avant de glisser leur langue sur les lignes rouges en remontant jusqu’à leur origine. Une fois encore je hurle de toutes mes forces et eu le mauvais réflexe de bouger mes mains, j’en pouvais déjà plus, mes yeux larmoient sous les rires de moqueries des filles.
« Oh regarde la, elle aime tellement ça. Tu es déjà bien plus mignonnes qu’au début. Tu ressens cette sensation qui se promène dans tout ton corps ? Ce n’est qu’un commencement. Mmmh maintenant je pense te faire les ongles… »
Je voulais les supplier d’arrêter, mais la brune me vola un baiser, jouant avec ma langue avant de céder sa place à la cruelle. elles attrapaient mes mains et enfonçaient sous l’ongle du pouce le métal qu’elle utilisait pour soulever l’ongle sauvagement. Le processus se répéta jusqu’au petit doigt. Elles prenaient les ongles tachés de sang en bouche et les sucent avant de les recracher au sol. Avec l’accumulation de toute cette souffrance, je ne sais plus de quoi me plaindre. Sadisty planta dans l’'hyponychium de chaque doigt, un cure dent qu’elle bouge légèrement en chantonnant.
« S’il vous plaît, arrêtez !! Je n’en peux plus… Je devrais déjà être morte à l’heure actuelle…
Oui c’est vrai mais j’en ai décidé autrement. Mais je vais te retirer une souffrance… »
Je ne croyais pas les paroles de la sadique et mes craintes étaient fondées. Elle utilise sa lame pour me couper chaque phalange qu’elle prend en bouche pour se sustenter. L’autre bourreau fut bien plus bestiale, elle dévora mes doigts comme de simple morceau de viande, ses crocs me donnaient un supplice extrême à un point que je pouvais me briser la voix. mes mains n’étaient plus, elles servirent d’amuse-gueules à ses monstres. J’avais envie de vomir en voyant mes bras se finir par un trou. Elle bloqua l’évacuation du sang grâce à des fils barbelés qu’elle serra comme une folle. Cruelty se posa comme une sauvage sur mon ventre, les jambes de chaque côté tout en plongeant son regard dans le mien. Elle approcha dangereusement la tête de mon visage, elle affichait un sourire qui semblait bien trop adorable pour sa personne. Elle commença à licher mon œil pendant un moment, en prenant soin d’écarter mes paupières pour ne pas qu’elles se ferment. Je ne voyais pas la brune pendant ce moment, mais elle faisait du bruit comme si elle préparait quelque chose. Cruelty continuait sa léchouille tout en s’allongeant sur moi, son poids bien que léger, me fit rappeler mes blessures corporelles.
« Tu es si succulente ma belle, je vais finir par devenir accro à ton goût, je pense demander à la cuisinière de te mettre au menu. Mmmh… Ne m’en veut pas, mais je pense bien répondre à ma gourmandise. »
La blanchâtre se servit de son index et de son pouce qui tenaient mes paupières, pour les enfoncer dans l’orbite et tirer le globe oculaire. Elle le laissa tomber dans sa bouche qu’elle croqua avant de l’avaler. Pendant que je continuais à pousser la voix, elle prit sa tête de ses deux mains et souriait de plus belle.
« Oh Joy, j’en veux plus, tu es irrésistible, devient mienne, je te dévorerais l’ensemble du corps tous les jours.
- Non mais la finit pas tout de suite, je sais qu’on peut la faire durer mais tout de même…»
Sadisty revint tout en soupirant, avec un scalpel abîmé qu’elle leva en l’air. Cruelty se leva enfin de mon ventre et se positionna derrière ma tête en posant ses mains sur mes épaules, la métisse se pencha un peu de façon que sa poitrine se rapprochait de moi.
« Oh alors, tu vas prélever ses organes ? Cool je peux en choisir un ?
- Tu es vraiment une goinfre, pire que Complexy. D’accord, mais tu le prendras toi-même.
- Attendez… Vous n’allez pas… »
La seule réponse que la tortionnaire me donna fut un sourire mignon. Cette situation me gêne tellement que je sentais tout mon corps en sueur. Sadisty posa une main sur mon torse et utilisa son matériel pour faire une ouverture dans mon ventre. Une fois fait, elle posa ses mains dans la cavité pour agrandir le trou. Cette vue effrayante me donnait des remontées d’acides. Cruelty me pencha la tête sur le côté pour que je puisse sortir ce contenu dégoûtant. Elle s'essuya la bouche avec une serviette usagée tamponnant.
« Ce n’est rien chérie, c’est simplement un bon organisme humain. Ne te vomis plus dessus, tu risques de rendre amère ton magnifique goût. Je vais y remédier. »
Elle ne se fit pas prier pour prendre un balai de toilette qu’elle entra jusqu’au fond de ma gorge, qu’elle tourna brutalement. J’avais l’impression que j’allais m’étouffer une fois de plus. Une fois fini, l'objet est sorti avec un filet de bave. La sauvage me tapota la joue en souriant avant de fixer les organes exposés. Sadisty commença à couper lentement ce qui semblait être leur futur repas. Elle prit en premier le foie, puis le vésicule biliaire, l’estomac, ainsi de suite. Mes hurlements furent pires que les précédents, une opération sans préparation dont je reste éveillée, le sang sortit dans tous les sens rendant dans un triste état ma peau blanche. La brunette qui continuait à chantonner, déposa les organes dans des bouteilles prévues pour. Elle prit du plaisir à faire cela, tout en m’embrassant par moment pour avaler le sang que je recrachais. J’aurais dû perdre conscience mais l’une des deux me giflent à chaque occasion. Cruelty qui après avoir observé la scène, plongea ses mains dans mon ventre, pour y fouiller. Elle les ressort avec l’intestin grêle qu’elle tira pour le détacher. Elle dévora cela comme elle le ferait avec des saucisses.
Sadisty la regarda avec un sourire sadique, elle prit l’autre extrémité en bouche et croqua dedans jusqu’à arriver à la bouche de Cruelty qu’elle embrassa tendrement. L’autre fille la poussa sur moi pour continuer leur petit jeu. Une fois encore leur poids était horrible, de plus leurs mouvements me torturaient sans compter les coups de pieds que je me prenais.
« Tu ne trouves pas que les jambes doivent être jalouses ? J’aimerais bien essayer un éplucheur pour changer.
- Du moment que je peux manger, je suis prête à tout essayer. »
Les demoiselles se levèrent et la brune alla chercher deux éplucheurs dont elles utilisaient pour retirer la peau de mes jambes qu’elles dégustent tranquillement. Mes cris qui me donnaient mal au crâne, étaient pour elles une symphonie agréable. Une fois mes jambes dépourvues de leur peau, les bourreaux les dévoraient sans aucune retenue, après cela elles s’attaquèrent au reste de mes bras. Je n’avais plus de force pour hurler, je me contentai de fixer le plafond en écoutant leur discussion et leur rires cruels. Je n’avais plus mes bras ni mes jambes, la sensation était indescriptible. Je voulais juste que cela se termine une fois pour toute. Cependant, Sadisty se mit derrière moi et utilisa son scalpel pour m’ouvrir le crâne tandis que Cruelty replongea ses mains dans mon ventre et monta jusqu’au cœur pour le retirer. Je ne compte plus les nombreuses fois où j’aurais dû succomber. La brune s’amusa à toucher mon cerveau tandis que l’autre parlait en mangeant mon cœur.
« On pourrait la laisser un peu comme ça quelque jour non ? Histoire qu’elle se souvienne de ces bons moments passés avec nous ?
- Bof, une autre fois. J’ai une meilleure idée. »
La fille aux yeux azur tourne ma tête en arrière pour fixer. Mon regard était vide, elle me souriait tendrement avant de prendre un long couteau et me décapiter. Elle déposa ses lèvres sur les miennes avant de finalement poser ma tête sur la table et planter mon cerveau.
Je fus plongée dans le noir total, je ne sentais plus rien, pendant un laps de temps inconnu, j’étais bien. Puis étrangement, je me réveilla, de nouveau au grand complet, je pouvais bouger mes doigts et mes orteils. Je me leva difficilement pour m'asseoir sur le bord de ce qui à servir comme support pour la boucherie. Le duo s’approcha de moi et la brune me prit sous le bras avant de déposer un baiser sur ma joue. Je tremblais beaucoup, mais je n’avais aucune envie de fuir, j’étais devenue dépendante de mes tortionnaires.
« Une dernière étape pour toi, tu vas m’écrire sur un livre ce que tu as pensé de tout cela, n’oublie rien comme détails. J’ai une chaise idéale pour toi ma mignonne. »
Elle me présenta une chaise de métal recouvert de pointes bien aiguisées. Aucun endroit n’était épargné, le siège, le dossier, les accoudoirs et le couvercle y avaient droit. Je suivis donc Sadisty jusqu’à cette dernière qui me déshabille du peu de vêtements que j’avais, avec l’autre fille, elle s’amusait à me mordiller le sein. Une fois fini, elle me posa sur l’outil de torture en me calant bien au fond de la chaise pour que les pointes du dossier et de l’asise me pénètrent bien. Puis se furent mes bras d’être installés, seul le gauche fut attaché pour laisser la droite rédiger. Cruelty alluma un petit brasier sous la chaise pour que la douleur soit pire. Même si j'agonise, je ne montrais aucune réaction et émotion de souffrance, juste un simple sourire idiot.
Une fois fini d’écrire et d’avoir perdu du sang, la brunette s’approcha de moi pour faire avaler un liquide suspect. Ce fut à ce moment que ma mémoire me revint. Sadisty et Cruelty n’ont fait que répondre à ma demande, je voulais savoir comment elles torturent une personne dont une personne autre que moi. La brune se posa assise sur moi tranquillement, les bras croisés tout en gonflant les joues.« J’espère que tu es satisfaite de ton choix ? Je t’ai fais écrire ce que tu ressentais, comme ça tu seras comme tu étais pas très bien. Personnellement étant une sadique, j’ai bien aimé te torturer et entendre tes cris. En plus vu que je t’aime énormément, c’est encore mieux. Mais bon, je préfère quand même quand il y a plus d’amour. Tu regrettes ton choix ?
- Honnêtement, pas vraiment, je suis quasi immortelle, seuls le divin peut me tuer. Donc si on me capture, je serais paré à résister à la torture grâce à vous.
- Tu es vraiment une masochiste, après moi du moment que je peux te croquer, cela me va.» Rajouta Cruelty.
Sadisty me câlinant tendrement pendant que l’autre me caressa la tête en m’enlaçant par derrière, je pense que parfois ma curiosité va trop loin. Mais si cela leur fait plaisir je ne peux pas leur retirer ça.
« Dites, je peux me lever maintenant ? Cette chaise me démange beaucoup et j’aimerais récupérer mes facultés de soin.
- Ah non, j’ai demandé aux autres de participer pour le second round. Tu seras contente d’avoir l’ensemble des clones pour jouer avec toi, par contre niveau morsures tu vas morfler… »
Je vais finir comme une enveloppe dépourvue d’âme…
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