Versificatrices allégories
Pérenniseriez- vous en vain quelque mièvre palpitation viscérale
A travers votre piètre engloutissement clérical ô Gorges Abyssales ?
Devant tout orifice un tant soit peu vindicatif se dérobait avec couardise
L' impérative ablution, dilution provisoire de notre désinvolture acquise !
Puis- je la concasser sauvagement en vaines gesticulations puerpérales ?
N'importe où ailleurs, son assouvissement fantasmagorique aléatoire
Y encense désormais maints avilissements métaphoriques rédhibitoires ...
Diantre ! Qui délie ces versificatrices allégories sur lesquelles je m' empale ?
Un plaidoyer bancal pour l'eugénisme cérébral tisse les annales adultères...
Malhabile, je déclenchai enfin l'alarme mais soudain terrifiée, je blêmis !
Suspendue à ces sourires narquois et fixées par ces regards de biais occis,
Je me noyais déjà, bouche béante, dans tes flots pervers ô Larmes amères...
Muerai- je sur ma route ce « Je- Tu » autrefois insensé que tant je redoute
En « Je tue » ces fallacieuses chimères depuis un certain temps absoutes ?
Fichtre ! Ma résistance s'étire face à vos râles rances ô Vénales Cantatrices !
Défierez- vous encore l' allégorie versificatrice lorsque son escadrille la hisse ?
Même si parfois, littéralement figée, je réprimais toujours mieux nos cris stridents,
Toiserais- je ce refrain d'antan tel un chagrin éthéré par le vent Ô Pèlerin Impénitent ?
A l'envers, une chaire factice d'un revers complice guillotine ta chair divine Ô Avarice...
Trophée ? Nulle allégorie versificatrice ne te décharnera plus Chauvine Impératrice...
Versificatrice allégorie
© J- H& Co, 07.09.2013
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