Jour 8 : automatique
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Les portes automatiques se fermèrent derrière moi, j’haletais dût à ma course folle à travers cet endroit qui devait respirer la joie de vivre et de l’amusement, mais il sentait que la mort. La mienne.
Clac Clac
Ils rampaient dans les conduits que je venais d’emprunter, la peur au ventre, je les entendais arriver vers moi.
Je poussa un cri quand deux yeux apparurent à la fenêtre de sécurité, j’étais en sûreté. Ils ne pouvait pas m’atteindre.
Bip Bip
La batterie venait d’arriver à zéro pour cent. La lumière s’éteignit … avec ma vie quand les portes s’ouvrirent sur eux ...
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