Rempli
Je retire vite le préservatif qui est bien rempli. Mon sexe a légèrement dégonflé, je me sent bien plus léger. Je prend ma douce Amandine dans les bras et on s’embrasse à nouveau toutes langues dehors.
Après un moment d'un baiser langoureux, je m'assois sur le bord de mon lit. Je suis imité peu de temps après par Amandine. Après avoir noué et jeté la capote, j'attrape mon slip et je glisse mes pieds à l'intérieur, je l'enfile puis je me retourne.
- Amandine la culotte à la main : Elle est encore mouillée.
- Moi : Ah mince tu veux que je te prête un de mes sous-vêtements ?
- Amandine : Euh à la limite oui.
- Moi : Sinon je peux en emprunter une à Marie si tu veux.
- Amandine : Je pense qu’elle met une taille trop grande pour moi. Avec toi il y a encore des chances.
- Moi amusé : Oui c’est vrai.
- Moi ouvrant mon placard : Tu as une préférence pour un slip ou un boxer.
- Amandine amusée : Non n'importe.
- Moi attrapant le premier venu : Et bien boxer alors.
- Amandine prenant le vêtement : Merci.
- Moi : Tu veux que je fasse laver ta culotte ?
- Amandine : Non je préfère pas je sais pas trop comment je pourrais faire laver ton boxer d'ailleurs sans que ma grand mère le voit.
- Moi souriant: Ne t'en fais pas, tu me le passera sale, je le met dans le bac et hop.
- Amandine : D'accord mais bon j'aime pas trop rendre des fringues salles.
- Moi : Parce Que tu en emprunte souvent des sous-vêtements ?
- Amandine souriante : Des sous-vêtements d'homme non mais entre filles on se prête souvent des fringues, même des culottes.
- Moi : D'accord.
J'entends la porte de la maison se claquer, quelqu'un vient de rentrer. Je trouve la situation plutôt amusant de voir Amandine mettre mon boxer. On est vite à nouveau vêtus, et on descend rejoindre Jean qui bien juste de rentrer.
- Jean : Hello Les amoureux, ça gaz ?
- Amandine souriante : Hello bien et toi ?
- Moi : Hello frérot !
- Jean : Nikel.
- Moi : Alors tu lui a écrit ?
- Jean : A qui ?
- Moi : Bah Fanny.
- Jean : Ah non.
- Amandine surprise : Bah pourquoi ?
- Jean : Bah je sais pas trop quoi lui dire…
- Amandine : Bah commence par un “coucou c'est Jean”
- Moi : J'avoue, tu va bien pouvoir faire ça quand même.
Pas si sûr, le Jeannot est tellement coincé que j'ai des sérieux doutes. D'autant plus qu'il ne répond pas vraiment le loustique.
- Amandine amusée : D'accord je vois t'es pire que ton frangin.
- Moi : Hé !
- Amandine : Bah quoi c’est vrai. Tu es quand même un grand timide avec les filles. C'est pas méchant moi ça me plaît bien.
- Moi : Ah ouf.
A un moment j'ai bien cru à un vrai reproche. Après je constate qu'il s'agit plus d'une petite boutade qui a pour but de faire réagir Jean.
- Jean : Oui tu as raison, j'ose pas.
- Moi : Va falloir que tu ose si tu veux sortir avec elle…
- Amandine taquin : Ça se trouve il a changé d’avis.
- Moi jouant le jeu : Ah oui, ça se trouve il s'est trouvé un petit ami.
- Jean souriant : Non, non. J'ai bien envie de tenter l’expérience avec elle.
- Amandine : Bah oui mais tu as toutes les armes en mains et tu ne fait rien.
- Moi : J'avoue que là c'est bizarre.
- Amandine : Oui carrément. Que tu ai peur en face ça je le comprends tout à fait. Mais derrière ton téléphone portable pas trop.
- Jean : Oui je sais, mais je crois que j'ai peur de l'après. …
- Amandine : Si il n'y a pas d'avant il n'y aura jamais d'après.
- Moi épaté : Bien dit ! Je lui dit sans cesse qu'il devrait se lancer. Bon je reconnais que je suis pas forcément un bon exemple en la matière.
- Amandine et Jean presque à l'unisson : C'est clair !
Voilà qu'on éclate tous de rire, je suis certes un grand timide en face à face, mais je suis certain que j'aurais osé le SMS si j'avais eu un téléphone portable à l'époque. Peut-être à tort mais bon au moins j'aurai su.
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