08. Le miracle du jacuzzi
Bien... Sachez que c'est vraiment très exceptionnel de vous partager un second chapitre comme ça. Ne vous habituez pas trop non plus, hein ? Bande d'exigeants ! :D
Et lisez tout avant de descendre et de voir comment Alken et Joy sont interrompus, merci ! (Oh... oups :p)
Nous sommes généreux parce qu'on veut vous faire plaisir, ne pas trop vous frustrer, mais aussi parce qu'on est happy. Et vous savez pourquoi ?
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Sur ce, bonne lecture, et merci d'être aussi enthousiastes et toujours présents pour nous lire ♥
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Alken
Je suis sur un petit nuage et suis finalement ravi que Kenzo et Théo soient partis se coucher tôt. Cette soirée se passe à merveille et j’ai l’impression que le miracle que j’espérais tant est en train de se produire. Non seulement, Joy ne repousse pas mes avances, mais elle y répond et semble de nouveau accepter l’idée de partager avec moi une relation sans savoir où cela va nous mener. Enfin, là tout de suite, je crois qu’on sait exactement où nous allons et j’espère que les garçons sont bien couchés et qu’ils ne vont pas nous empêcher de profiter de ce moment que nous attendons depuis si longtemps.
Je suis vraiment heureux de retrouver ma jolie brune qui s’offre à moi sans aucune défense, sans aucune barrière. Elle est là, avec moi, tout simplement, pleinement et entièrement sans qu’aucun des problèmes qui pourraient se poser à nous à l’avenir puissent s’interposer entre nos deux corps qui ne demandent qu’à s’aimer. Dans l’ascenseur, elle m’attire contre elle et je l’enlace alors que nous montons dans la cabine de verre, en direction du septième ciel, j’espère. Le baiser que nous échangeons est empreint d’une frénésie et d’un désir trop longtemps refoulé. J’ai l’impression que nos lèvres sont faites pour se retrouver ainsi soudées, que nos corps ont été moulés pour s’épouser. J’ai la sensation, dans cet ascenseur, d’être un Dieu montant vers son Olympe avec la femme qu’il a toujours rêvé de conquérir. Je me prends pour Zeus, oui. Rien que ça. C’est l’effet qu’a ma jolie danseuse sur moi. Avec elle, je crois vraiment que tout devient possible.
Quand la porte s’ouvre, j’ai bien envie d’appuyer sur n’importe quel bouton pour ne pas interrompre ce voyage et faire repartir cette capsule qui nous isole du temps et du reste du monde, mais déjà Joy m’entraîne dans le hall qui mène à notre suite. Je l’arrête dans son élan et la coince contre un des murs recouverts d’une belle tapisserie rouge. A nouveau, nous reprenons notre baiser alors qu’elle enlace mon cou et que son corps se presse contre le mien.
— Attends, Joy, parviens-je enfin à dire alors que nous reprenons notre souffle, tu ne crois pas que c’est mieux que l’on entre dans notre salon séparément ? Ou en tous cas, pas collés comme nous le sommes maintenant ?
— Tu es doué pour tuer le romantisme, rit-elle, mais entre nous, tu as les lèvres bien rougies et le regard qui parle tout seul. Sans compter que… Tu es au garde à vous. Mais faisons ça, oui, si tu veux. Après toi, que je profite du spectacle de dos.
— Le spectacle de dos ? Si tu veux !
Je pouffe et tel un adolescent rentrant tard chez ses parents, je passe la clé magnétique sur la porte et l’entrouvre doucement. Je sursaute car Joy, qui doit vraiment apprécier le backstage, s’est collée contre moi et ses deux mains se sont emparées de mes fesses qu’elle malaxe sans aucune retenue et en riant comme s’il n’y avait aucun risque d’être surpris.
— Dépêche-toi de rentrer, Alken, ou je t’enlève ce pantalon dans le hall, je te préviens, je suis capable de le faire !
Je lève les yeux au ciel et entre, rassuré de voir que le salon est vide. Joy s’attaque tout de suite à ma chemisette noire et en défait les boutons avec impatience.
— Tu ne voulais pas tester le spa ? demandé-je alors que mes mains ne se font pas sages et remontent le long de ses jambes sur sa peau nue.
— Si, mais tu ne vas pas y aller habillé, dans le Spa ? murmure-t-elle en s’attaquant à mon jean.
— Non, tu as raison, pour bien profiter de cette baignoire magique, il faut que l’on soit nus !
Je l’aide donc à finir de me déshabiller et souris quand elle se saisit de mon sexe dressé entre ses doigts. Elle le caresse doucement comme si elle le découvrait pour la première fois et passe son autre main sur mes abdominaux en se mordillant la lèvre. Je dégrafe le haut de sa robe et fais glisser les bretelles avant de m’abaisser lentement pour profiter du spectacle qu’elle m’offre. Ce sont d’abord ses épaules que je dénude et quand ma bouche vient s’emparer de son cou, je la sens presser plus fort mon membre. Je découvre ensuite ses seins bien ronds et bien fermes que je prends entre mes lèvres pour les sucer et les téter doucement. Quand enfin la robe tombe à ses pieds, je m’agenouille devant elle et plonge ma langue entre les lèvres de son intimité dont l’humidité démontre toute son excitation. J’adore retrouver le goût un peu salé de son nectar et je me délecte un instant jusqu’à ce qu’elle me repousse et m’entraîne dans la petite salle où se trouve le bassin pour le spa.
— Tu sais comment lancer les bulles, Joy ? demandé-je alors que je la sens un peu nerveuse et qu’elle appuie sur des boutons qui ne font aucun effet à part allumer et éteindre des lumières.
— Non, je suis étudiante, Alken, j’ai jamais mis les pieds dans un jacuzzi, moi, marmonne-t-elle. Toi qui en as un, tu sais comment on fait, non ?
— Bien sûr, alors glisse-toi dans l’eau, je m’occupe de tout, lui dis-je en l’embrassant à nouveau tendrement.
Je la regarde entrer dans l’eau sans pouvoir détourner mon regard de ses jolies fesses alors qu’elle descend le petit escalier. Elle s’installe contre la paroi opposée à moi et me regarde, une main qui caresse ses seins et l’autre qu’elle fait descendre le long de son corps pour se masturber sans me quitter des yeux. Je ferme la porte du jacuzzi derrière moi et règle la lumière sur une ambiance tamisée mais assez éclairée pour ne rien perdre de la beauté de ma partenaire. Je lance ensuite les jets et les bulles commencent à se former. Elle ferme alors brièvement les yeux et je ne peux plus distinguer ce qu’elle fait entre ses jambes, mais vu le mouvement de son bras, je pense qu’elle n’est pas inactive.
Je m’avance à mon tour vers le jacuzzi et descends lentement les marches pour la rejoindre. Excitée comme elle l’est, elle attrape à nouveau mon gland pour m’attirer à elle. Je la sens venir se frotter contre mon érection et rapidement tout son corps se tend alors qu’elle pousse un premier gémissement. J’espère que la salle est aussi bien insonorisée que le reste de l’hôtel sinon, on risque de se faire remarquer par un des deux garçons.
— Ça va mieux ? me moqué-je gentiment. Tu me dois un orgasme, maintenant.
— Tu plaisantes ? J’ai dû me débrouiller toute seule pour ça ! Et… Non, je ne me sens pas mieux, sourit-elle en se pressant contre moi. J’imagine que ça ira mieux quand tu te seras enfin décidé à passer à l’action.
— Oh, je vois. Madame joue à la provocation. Eh bien tant pis, Madame va avoir ce qu’elle désire.
Je passe mes mains sous ses fesses et la positionne contre ma hampe sur laquelle elle vient s’empaler en poussant un petit cri qui m’excite encore plus. Joy cherche à accélérer le rythme mais je la coince contre la paroi, juste sur un jet qui vient lui arroser ses fesses alors que je la saisis par la gorge. Elle s’abandonne totalement aux sensations et à mon désir et se résigne à me laisser lui faire l’amour comme je l’entends. Enfin, c’est ce qu’elle me laisse penser car dès que je relâche la pression, la coquine se met à onduler contre moi en pressant mes fesses pour que je m’enfonce au plus profond d’elle.
— Mmm. Joy, j’aime te prendre comme ça. Cela faisait trop longtemps.C’est si bon de m’unir à nouveau à toi, d’être enfin en toi.
Elle se jette à nouveau sur ma bouche et j’admire la vision qu’elle m’offre alors que les lumières du jacuzzi alternent entre le bleu, le rouge et le vert autour de nos deux corps entrelacés. Je saisis l’un de ses tétons entre mes doigts et le sens durcir sous mes caresses alors que mon autre main est sur ses fesses. Joy, jamais silencieuse, se met à gémir de plus en plus fort et ce son qui sort de son magnifique corps attise mon désir à un point exceptionnel. Pris par mon envie de la faire jouir, je me retire d’elle et la fais se retourner afin qu’elle m’offre ses fesses. Je souris et la positionne de telle sorte qu’un des jets d’eau soit dirigé directement sur son clitoris. Dès qu’elle le sent, elle essaie de s’en écarter, mais je la maintiens et la pénètre à nouveau profondément alors que tout son corps se met à vibrer. Sous l’effet conjugué de la pression de l’eau et de mes ruades sauvages derrière elle, elle essaie de s’accrocher aux rebords du jacuzzi et je suis obligé de m’emparer de ses lèvres afin d’étouffer un peu les cris de plaisir qu’elle pousse sans retenue. La délivrance que nous procurent nos orgasmes est jouissive. Je sens mon sperme la remplir et répondre aux contractions qu’elle me fait ressentir sur ma virilité.
Au bout de quelques instants, elle se tortille afin de dévier un peu le cours du jet d’eau qui continuait à la solliciter comme mon sexe au fond d’elle. Elle se redresse et colle son dos contre mon torse. Nous nous embrassons à nouveau passionnément avant que je ne me retire d’elle afin de pouvoir m’installer plus confortablement dans le jacuzzi. Elle m’enlace et se colle à moi, pour une série de caresses et de baisers qui nous aident progressivement à redescendre sur terre.
— Alors, ton verdict pour le jacuzzi ? demandé-je en lui caressant sa belle chevelure.
— A défaut d’avoir pu tester le tien, je suis contente d’avoir enfin pu essayer. C’était… Plutôt pas mal, sourit-elle.
— Il faudra tester le mien aussi alors pour voir lequel est le plus confortable, souris-je. Je t’aime, Joy et je crois que je suis prêt à essayer tous les jacuzzis du monde avec toi.
— Tu crois qu’ils sont tous différents ? Parce qu’on risque de finir par s’ennuyer là-dedans, non ? Oh, et, ajoute-t-elle en posant ses lèvres contre mon oreille. Je t’aime.
— Je ne sais pas. Il faudra essayer pour se faire une idée ris-je, ravi de l’entendre me murmurer ces trois mots qui me rendent si heureux.
Nous paressons ainsi encore quelques minutes dans l’eau bouillonnante du jacuzzi avant de sortir et de nous sécher mutuellement. Je suis ravi de la voir me suivre jusqu’à ma chambre et se coucher à mes côtés, dans mes bras, dans mon lit. Je la couvre de baisers qui la font rire mais elle me repousse quand je fais mine de recommencer nos folies.
— Gardes-en pour tout à l’heure. Tu as l’autorisation de me réveiller de toutes les façons que tu veux, mon Chou, mais là, j’ai besoin d’un peu de repos. Tu as réussi à assouvir mes envies pour le moment. Bonne nuit, Bel Étalon !
— Bonne nuit, ma Puce. Fais de beaux rêves et n’oublie pas que je t’aime.
Elle se retourne et se cale contre mon torse, ses fesses contre mon sexe pas vraiment prêt à dormir. Je passe ma main sous son bras pour empaumer un de ses seins et c’est ainsi que le sommeil vient nous trouver. Réunis dans notre vie comme nous l’étions dans nos rêves et nos fantasmes. Je pense que je vais finir par y croire, à ce miracle.
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