Bon, j'aurais dû publier ça hier, mais j'ai une mémoire de poisson rouge et je n'y ai pas pensé. Alors, 2 chapitres aujourd'hui ^^

Vous savez que j'ai un co-auteur de rêve ?

Il faut que je vous raconte l'histoire de ce chapitre.

Il y a quelques mois, j'ai vécu des moments difficiles au boulot... Et un soir, en rentrant, si j'avais hâte de me poser pour écrire et oublier mes soucis, je n'avais pas vraiment la tête dedans. D'ordinaire, c'est justement en me plongeant dans nos histoires que j'arrive à mettre de côté les problèmes, mais ce soir-là, c'était chaud.

Enfin bref ! (Comme dirait Franklin dans Ma famille d'abord... Vous l'avez, la ref ? je suis sûre que mon co-auteur de rêve ne l'a pas, lui ^^) Fin du chapitre précédent, on continue à papoter sans écrire. Il est tard, je ne doute pas que Lecossais est fatigué mais, contrairement à d'habitude, il ne va pas au lit. Et pouf, ce chapitre, écrit en aparté, déboule sur notre document. Juste un petit cadeau pour me changer les idées. Et on peut dire que ça aide ;)

Et pour Lecossais... Hip hip hip !

Bonne lecture :)

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Joy

Je me réveille et constate avec plaisir que je suis toujours entre les bras de mon amant. Il m’enserre contre son torse et je profite de son étreinte en me collant contre lui. J’attire son bras autour de ma hanche et sa main vient naturellement empaumer mon sein dans son sommeil. Je sens contre mes fesses son sexe imposant même s’il n’est pas bandé. Il est positionné contre mes cuisses nues et le souvenir de sa présence au fond de moi hier soir me fait à nouveau mouiller mon intimité. Il dort du sommeil du juste et je me sens un peu coupable de le réveiller alors qu’il a besoin de dormir sûrement après toutes les émotions de la veille. Et pourtant, je suis excitée. J’ai encore envie de lui. Mon téton se tend sous sa main et je me surprends à le frotter contre sa main alors que je glisse la mienne entre mes jambes.

Je caresse mes lèvres déjà humides et évite soigneusement mon clitoris afin de ne pas me faire jouir alors qu’il dort contre moi. Je ne résiste cependant pas longtemps et glisse un doigt en moi. J’essaie de rester discrète mais je ne peux m’empêcher de commencer à onduler sur ce doigt que je fais entrer et sortir de ma chatte qui devient de plus en plus trempée. J’imagine que c’est le sexe de mon amant qui est en train de me pénétrer et qu’il va bientôt jouir en moi. Sous l’effet de mes mouvements, je sens d’ailleurs son sexe se réveiller contre mes fesses. Il est en train de durcir contre moi et j’adore ce sentiment de puissance et de contrôle que j’ai quand je sais que je suis la cause de son excitation.

Je passe une main dans mon dos et me saisis de son érection que je me mets à branler lentement. Ses doigts sur mon téton se font plus précis et je me demande s’il dort encore ou s’il est réveillé. Peut-être est-il dans cet entre-deux où les rêves rejoignent la réalité. En tous cas, il a l’air aussi excité que moi et je prends un malin plaisir à le branler le plus lentement possible pour exacerber au maximum son désir.

Quand je sens ses lèvres se poser dans mon cou, je frissonne et comprends qu’il est désormais réveillé et que les rôles se sont un peu inversés. Désormais, c’est lui qui contrôle la danse et s’amuse avec mon désir incontrôlé de le sentir si dur et si viril au fond de moi. Dans ses bras, je ne me reconnais pas et m’abandonne totalement à ses caresses et à ses désirs. Il peut faire de moi tout ce qu’il veut et, lorsqu’il pose sa main sur mon entrejambe et vient titiller mon bouton en murmurant dans mon oreille l’ordre de jouir, je ne peux résister et connais un premier orgasme qui me laisse un peu essoufflée et désireuse de plus. Avec lui, je deviens insatiable et quand il se tourne et se met sur le dos en m’attirant sur lui, je réponds avec gourmandise à ce désir que j’ai de lui plaire et de lui faire plaisir. Je m’assois à califourchon sur son érection et après quelques va-et-vient que je parviens difficilement à maîtriser, je m’empale sur lui et profite du plaisir de le sentir s’enfoncer au plus profond de moi. Heureusement qu’il n’est pas beaucoup plus gros car j’ai déjà l’impression qu’il est juste fait pour moi, là. Le sentir excité et dur au fond de moi est jouissif et je suis obligée de rester immobile un moment pour ne pas connaître un orgasme trop rapide.

Je vois à son regard amusé que cela lui plait et je le sens bander son sexe au fond de moi sans toutefois remuer ses hanches. J’essaie de répondre à cette douce torture qu’il répète encore et encore au fond de moi en contractant mes muscles afin de le rendre aussi fou de désir que je le suis.

Quand il ferme les yeux et ne contrôle plus ses mouvements, quand je le sens commencer à bouger ses hanches au fond de moi, j’ai la satisfaction d’avoir réussi à le faire craquer le premier et je le rejoins rapidement en m’appuyant sur son torse pour onduler sur son sexe tendu au fond de moi. Je le veux, cet homme, encore et encore. C’est si bon de le sentir me prendre comme ça. C’est si intense d’aller et venir sur sa queue dressée. C’est délicieux de sentir ses mains parcourir mon corps. J’aime cet homme, j’aime son corps, j’aime sa façon de me faire l’amour. Je l’aime et quand le rythme de nos excitations atteint le point de non retour, je me penche vers lui et me colle contre son corps pour l’embrasser à nouveau. Je veux qu’il jouisse à nouveau au fond de moi et je resserre mon étau sur son glaive qui me pourfend jusqu’à me faire connaître cette petite mort qui me fait ressentir le plaisir jusqu’au bout de mes orteils. Cet homme est divin et à nouveau il râle alors que je continue ma chevauchée sur son sexe jusqu’à le sentir gicler au fond de moi. Il me remplit de son sperme chaud et l’idée de le recevoir ainsi au fond de moi, sans barrière aucune, est une félicité sans nom. Je sens son sexe pulser tout son nectar dans mon intimité et je connais un nouveau plateau dans mon plaisir qui me laisse sans voix.

Ma bouche vient l’embrasser à nouveau et nous nous rendormons ainsi, moi sur son corps chaud, son sexe toujours au fond de moi. Je l’aime. C’est la seule chose à laquelle j’arrive à penser dans les nimbes des orgasmes qu’il vient de me procurer. Je l’aime. Je l’aime… Je l’aime…