L'homme
Rose se retourna vivement et se retrouva faca à face avec l'home de son cauchemar.
Elle se figea net et ouvrit de grands yeux. L'inconnu était grand, fin, pâle et avait les cheveux noirs charbons, tout comme ces yeux, qui était réhaussé de lunettes à la monture fine et raffinée. Quoi ?! Des lunettes ? L'homme de son rêve n'en avais pas. Elle descendit du fauteil et s'acroupit, pête à bondir. Un combat en corps à corps ne marcherait pas, il était trop imposant pour ça. Elle devait profité de sa petite taille pour se faufiler à travers ces défances. Interompant ces pensés, l'individu prit la parole :
"Je vois que vous vous êtes permise d'entrer. Désolé, mais j'était partit faire quelques courses et je n'ai pas pu vous acceuillir comme il se doit.
-Qui êtes vous ? demanda t'elle de but en blanc
-Bien, je vois qu'on ne vas pas se déranger avec plus de formalités. Je me nomme Erbmo Serbènét. Et vous ? questionna t'il d'une voix distingué, tout en haussant un sourcil amusés
-Rose... mais mon nom n'a pas d'importance ! Sachez que je peux vous faire beaucoup de mal, alors pousser vous de mon chemin et laissez moi partir, ordonna la petite d'une voix décidée
-Oh, je vois. Et bien, sachez à votre tour que je ne vous veux aucun mal chère petite, après une pause il reprit, je pourrais même vous être utile, je pense, très utile.
-Utile? En quoi ? demanda la fillette
-Vous me faites vraiment pensé à elle, murmura t'il et avant que Rose eu le temps de lui demander à qui elle ressemblais, il reprit, D'abord calmez vous. Vous êtes bien une Eusgnas ? Mi démon-mi vampire, non ? D'ailleurs, ma très chère enfant, vous devriez aprendre à vous cacher un peu mieux. Vous avez fait un carnage dans la ville d'à côté et j'ai du y aller pour tout nettoyer. Seigneur, c'était un veritable massacre ! Ne me remerciez pas, je n'ai fait que mon devoir de... d'ainé. C'est pour cela que...
-Attendez ! Une quoi ?! Eus-machin truc ? Démon ! Et vampire ? Vous pouvez bien revenir sur Terre et m'expliquez ça... plus simplement ? la coupa t'elle, puis en voyant son air surpris elle ajouta, S'il vous plaît et je suis désolée que vous avez dû... nettoyer derrière moi. Mais je vous assure que je ne comprends rien à ce que vous me raconter.
-Oh ! Tu n'as donc même pas chercher à savoir ? Bien, alors on va devoir partir à zéro ma pauvre enfant. "
Il eut un silence.
Rose fut tentée de lui demandé ce qu'il entendait par "partir à zéro", mais se retint. Le maitre des lieux arpentais la pièce en marmonnant des mots biscornus et sans aucun sens.
Puis ce dernier se redrassa et déclara de son ténor chantant :
"Ma très chère Rose, voici les origines de ton pays, l'histoire elle même par exellence de notre espèce."
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