Chapitre 26 - Mickaël
On décompte les jours avant le jour J. Marielle est un peu sur les nerfs, moi je suis en PLS mais à part ça tout roule.
- Love !!!! T’as pas vu mon boléro noir !!!
Elle est sérieuse là ? Elle me demande où elle a foutu ses fringues…Je sais déjà pas où je mets les miennes.
- Non.
- Je l’avais mis sur le porte manteau dans l’entrée et il y est plus.
- Bah te connaissant, t’as du le ranger.
- Je ne te demanderai pas si c’était le cas !
- Bitch t’es relou là. Fous-toi autre chose et casse pas les couilles.
- Te serait-il possible de parler bien ou c’est trop te demander ?
- Ça dépend, tu penses arrêter de me les casser si je parle bien ?
Elle souffle en levant les yeux au ciel comme une sale gosse.
- Ah c’est bon je l’ai, il était rangé.
Qu’est ce que je disais.
C’est une femme, stressée en plus, t’as pas fini à mon avis.
- C’est bon j’ai tout, on peut y aller. Me dit-elle
- Non je crois que t’as oublié les excuses.
Là, tu cherches.
Non je la dresse.
- Ouais c’est bon excuse.
- Ah non non ce n’est pas des excuses ça. Je veux des vrais.
- Mickaël, tu me soules là.
- Je ne bouge pas d’ici sans mes excuses.
Elle soupire et me regarde énervée.
- Je te fais toutes mes excuses.
- Tu me suces ce soir ?
- Oh putain Mick’…
- Non non je ne bouge pas sans avoir ma réponse.
Et tu dis qu’elle est chiante, t’es pas mieux.
On est fait l’un pour l’autre que veux-tu.
- Je te sucerai ce soir.
- Avec de la bave partout ?
- Mick’ !!! Je vais être en retard là.
- Bah répond.
- Ok, tu pourras me faire tout ce que tu veux, c’est bon on peut y aller ?
Putain t’es fort.
Je sais.
- Si Madame veut bien se donner la peine. Dis-je en lui montrant le chemin de la sortie.
On passe chercher Jennie et on file à la salle de danse où Marielle donne des cours. C’est le premier de l’année scolaire et elle est méga stressée. Surtout qu’elle ne pourra pas poursuivre les cours pendant un temps avec son opération.
- J’ai trop hâte de retrouver les filles.
- Du coup je peux rester ou pas ?
- Si tu ne fais pas le con, ouais.
- Ce n’est pas mon genre.
Elle me regarde et je lui fais mon plus beau sourire hypocrite. Ma femme et ma fille vont danser, je ne veux rien louper.
- Marie !!! Hurle une gosse qui lui saute presque dans les bras puis d’autres arrivent.
- Les vacances ont été bonnes ? Vous vous êtes bien entraînées j’espère.
- Oui !!!
On entre dans un complexe ou y a plusieurs salles dont une qui porte le nom de Marielle Rainot. Bientôt ça sera Marielle Parker. Bordel j’ai hâte de leur donner mon nom.
- Vestiaire les filles et vous venez dans la salle pour commencer l’échauffement.
Ma princesse revient en tenue de danse, short noir et brassière noire. Elle m’envoie un sourire et va se mettre à coté de ses copines face à sa mère…oh putain Bébé, je vais me mettre à la danse moi. Marielle est dans un body noir, des chaussettes qui montent au dessus du genou, des talons aiguille mais bordel elle veut ma mort là. Son boléro cache sa poitrine et je suppose que c’est pour être décente face aux gamines mais moi ce soir je lui vire.
- Bien, alors maintenant que vous êtes échauffées, nous allons revoir la choré de l’année dernière, vous vous souvenez des pas ?
- Oui !!!
Je m’installe et Jennie m’envoie un sourire puis la musique commence. C’est Bad Guy de Billy Eilish et les petites savent exactement quoi faire.
- 1234 allez les filles !!!! On se penche et on remonte.
Putain si elle les entraîne à danser comme elle, leurs mecs plus tard seront aux anges.
- On roule du bassin, et on plonge comme le dauphin. Maeva, penche toi plus ma puce, voilà impeccable, c’est parfait ça.
Ce qui est parfait c’est le cul de ma belle que j’ai en premier plan. Alors que je matte comme une crevard ma femme, d’autres meufs arrivent et là on n’est plus dans de la gamine mais dans de la vingtaine et putain y en a qui sont redoutables.
Ta femme est là pour info.
Ouais bah j’ai le droit de mater, sinon pourquoi j’aurais des yeux !
Pour mater ta femme, mais à ce rythme là elle risque de te les arracher.
Les bandantes s’assoient et mate la fin du cours. Si elles, elles se mettent à danser comme Marie, euh…ma bite ne va pas tenir.
Bah arrête de penser avec elle et pense avec ton cerveau.
Ouais ouais.
La chanson se termine et une superbe blonde arrive en tenue…de chienne putain !!! C’est quoi ces tenues pour danser sérieux !
Calme-toi
- Comme vous le savez, je vais devoir m’absenter pendant quelques temps et c’est Nicky, qui vous fera cours.
Nicky que je verrais bien niquer avec moi et Marielle.
Mais arrête de tout ramener au sexe !
- Donc on va reprendre pour Nicky. Allez.
Ouais vas-y Nicky montre de quoi t’es capable. Marielle comme Nicky dansent avec les petites et autant les gamines ça va, mais les deux profs là…ce n’est pas possible.
Respire.
- Super les filles, bravo à vous toutes. Et je compte sur vous pour être aussi assidue avec Nicky. Dit Marielle après avoir applaudit les petites.
Jennie vient et me saute dans les bras.
- Alors j’ai bien dansé ?
- Ouais grave, je ne savais pas que tu dansais aussi bien.
- Je fais cours avec maman depuis mes 4 ans.
Ok donc piano depuis ses 3 ans, danse à 4 ans, chant…si avec ça elle ne finit pas sur une scène…c’est que j’aurais grave du bol.
- Ça va être au tour des grandes, elles dansent trop bien.
Putain je vais crever. Et très vite la salle est remplie de filles de 18/20 piges. Mais aussi des mecs et là ça me plait moyen.
Ah ah, tu ne t’y attendais pas à ça.
Ta gueule.
- On s’échauffe bien.
Alors là c’est le top, t’en as qui te font des grands écarts et putain mais moi je veux un gang bang de danseuses avant de crever.
Rêve
- Bien, on va reprendre la choré d’avant les vacances, ça va aller ?
Mais oui ça va aller, putain allez, je veux voir des culs bouger.
Mais quel crevard !
Grave.
Ils vont tous chercher des chaises qui sont empilées dans un coin et je redoute le pire. Les mecs s’assoient et les meufs sont au fond de la salle, dont ma meuf qui est concentrée. La musique se lance et je reconnais direct le remix de crazy love de Beyoncé. Les meufs se caressent et moi je suis sur le point de crever. Tant que la musique est douce, les mouvements sont lents et bordel trop sensuels. Parfois elles jouent avec leurs cheveux et moi là ça me rend dingue.
Ah là en cheveux t’es servi, t’en as pour tout les gouts.
Ça c’est sur, t’as de la rousse, de la brune, de la blonde, y en a même une bleue mais la plus belle, c’est Marielle. Je ne sais pas comment elle fait pour danser avec ses cheveux mais putain ça fait un truc de fou.
J’en connais qui vont encore peu dormir ce soir.
C’est clair qu’elle va prendre un tacle à la maison.
La musique s’accélère et les nanas s’approchent des mecs en rampant. Pow !!! Heureusement pour Marielle, elle ne danse pas avec un mec et fait partie des meufs qui dansent en solo pendant que d’autres allument les pauvres mecs qui doivent être dans un état second. On voit bien que ce n’est pas vraiment un cours de danse mais plus de la danse pour du plaisir car ils ont tous un foutu niveau. Les mecs prennent par la gorge les filles, pendant que celles en solo se la caresse. Oh bébé.
- Plus large le grand écart Stella.
Ouais écarte plus tes jambes.
- José, plus saccadé tes mouvements. Faut que tu sois plus sec.
Quoi !!! Non mais elle ne va pas s’arrêter de danser pour reprendre les autres.
Euh…c’est un peu son job.
- Contracte bien tes abdos. Et quand tu l’attrapes par la gorge, là tu vois c’est plus doux. Dit-elle en faisant une démo avec une autre nana.
Putain je vais claquer. Marielle reprend la chorégraphie en vol et ça putain c’est de la pro. Chaque fille en solo va en retrouver une et signe mon arrêt de mort en dansant sensuellement l’une avec l’autre. Je veux une autre meuf dans notre pieu.
Ah mon avis tu peux rêver vu comment elle déteste son corps.
Tu remarqueras qu’elle est dans une tenue qui montre ses cicatrices et elle s’en tape. La danse lui fait oublier ses complexes.
Ouais et lui fait perdre son boléro aussi.
Oh putain, j’en étais sur, elle a un putain de décolleté et quand elle se fout à 4 pattes en remuant du cul comme une chienne en chaleur, bah on voit que ça. Elle m’envoie un regard et un petit sourire et ma bite chiale dans mon fut. Oh Bitch.
- Bien merci à tous et Nicky je te laisse ma place.
- T’en fais pas, on va gérer, toi prends soin de toi surtout.
- Ouais, merci les filles.
Marielle discute un peu, pendant que la salle se vide petit à petit parmi des sourires et des rires. Jennie me demande si elle peut aller voir une copine à elle, qui est surement la fille d’une des nanas.
- Eh, ça va je ne te dérange pas trop ? Me lance Marielle qui s’envoie la moitié de sa bouteille alors que je mate comme un porc.
- Du tout, t’as plus de court là, non ?
- Non j’ai plus cours.
- J’ai besoin d’un cours de danse intensif.
- Ah oui…
- Ouais.
- Et bien installe toi. Me lance-t-elle en me montrant une des chaises.
- Sérieux ?
- hum hum. Je reviens, bouge pas my love.
Compte sur moi je ne vais pas bouger. Elle sort de la salle puis revient. Je ne sais pas ce qu’elle est partie faire mais je m’en tape, je veux la tacler.
- T’es prêt ?
- Putain ouais, je bande déjà bébé.
Elle me sourit et met la musique. Là elle improvise et moi ça me va très bien. Mais quand la musique s’emballe, les portes s’ouvrent et j’ ai toutes ses danseuses qui arrivent pour danser autour de moi et là…je suis le maître des lieux. Bordel ces culs !!!
- Chauffez-le bien les filles.
Ah Bitch, tu vas prendre tellement cher, que tu pourras plus jamais dansé droit. Putain, ça c’est un sacré cadeau qu’elle me fait, et quand elle s’assoit sur moi et se frotte, ma queue est raide a en déformer mon jean. Je caresse ses cuisses qu’elle ouvre et la Nicky me fait pencher la tête en arrière et frôle ses lèvres aux miennes. Elle, putain je la veut dans notre pieu ce soir.
Ce soir ? Et Jennie ?
Merde.
Et oui c’est ça d’être père.
Je vais trouver une solution, dès que j’aurais retrouvé mes facultés pour réfléchir. La musique se termine et les filles m’ont foutu dans un sale état.
- Mesdemoiselles, j’ai été ravi de faire votre connaissance, merci beaucoup. Dis-je
Elles m’envoient toutes un sourire, Marielle les remercie et je me retrouve seul avec ma femme.
- Ce soir, y a moyen de faire garder Jennie ? Dis-je en la posant contre le miroir.
- Tu sais qu’on fait l’amour très souvent quand elle est là, alors on n’a pas besoin de la faire garder.
- Bébé, je veux qu’on baise avec ta pote.
Elle me regarde entre l’envie et la jalousie.
- Mick’ je…
- Ça sera que du cul, au pire je ne la touche pas mais je veux vous voir baiser. T’aime les meufs et franchement y a un truc entre vous.
- C’est ma collègue Mick’.
- Je t’en supplie, ramène là dans notre lit.
- Tu sais ce qu’on va faire ?
- On va baiser avec ta pote.
Elle ricane sous mon nez.
- Non, on va rentrer avec notre fille, on va la coucher et je vais te détendre avec ma bouche, puis ensuite…
- Ferme là Marielle où je te baise dans la seconde.
- Tu perds ton sang froid my love.
- Ouais, je suis à deux doigts du viol et je ne déconne pas.
Elle déglutit mais la porte s’ouvre et on se décolle.
- On rentre ? Dit Jennie qui arrive en trottinant.
- Oui, tu prends ton manteau et on y va. Lance Marielle en m’envoyant un regard qui va lui valoir un bon coup de bite ce soir.
Je ne dis rien, j’ai la frustration qui est coincée en travers la gorge. Ma queue a pris une sacrée gifle et fait la gueule elle aussi. Je ne demande pas le bout du monde putain.
Euh non juste un plan à 3
On n’a déjà baisé à 3
Ouais y a 6 ans, l’eau à coulé sous les ponts depuis.
Je ne lâcherai rien. La blonde sexy sera un jour en train de gueuler dans notre lit.
Si faut elle a un mec pas prêteur.
Merde je n’ai pas pensé à ça.
Normal, tu ne penses pas avec le bon organe.
Le repas se passe dans un silence pesant, je ne décroche pas un mot, je suis encore dans un état second où ce qui prime là c’est ma bite.
- Tu viens me coucher ? Me demande Jennie
- Ouais bien sur.
Marie et moi allons coucher la petite et à peine la porte fermée que je me jette sur elle.
- Pourquoi tu me refuses ça bébé ?
- Parce que je te veux brutal ce soir. Et y a que comme ça que tu l’es.
Oh putain.
Alors ce n’est pas que je l’ai baisé, non du tout. Je l’ai ravagé. Elle a finit par terre, dans un mélange que je ne pourrais décrire, sa gicle, ma pisse, mon sperme, nos salives ? Putain j’en sais que dalle, je n’ai pas réfléchis, je sais juste que j’ai arrêté quand j’avais plus de force et que sa voix cassée ne lui permettait plus de gueuler. Elle me voulait brutal, j’ai été cruel, sans aucune pitié. Bordel, elle a kiffé et un jour ça sera avec sa pote de danse qu’elle s’égosillera.
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