Chapitre 46 - Mickaël
Putain je l’ai vraiment foutu enceinte. Son bas ventre est bien gonflé et je crois qu’elle doit le sentir bouger un peu car elle porte de plus en plus sa main sur son ventre. Moi le peu de fois où je la touche, je ne sens rien.
- Je crois que t’es bonne pour te racheter des fringues. Dis-je en la matant se vénère contre son armoire.
- Non ça va rentrer.
- Curieux de voir.
- Mick’, tu peux m’encourager s’il te plait !
- Allez Marielle, allez…Dis-je en me foutant d’elle.
J’adore la faire chier et ça depuis mon enfance.
- Sinon reste à poil, ça me va aussi très bien. Dis-je
- Je crois que je suis bonne pour faire du shopping. Dit-elle en s’asseyant sur le lit désespérée.
- Triste vie hein.
- Arrête ! Y a rien de drôle là dedans, toi t’as juste eu à me faire l’amour et te voilà père, moi je dois gérer les nausées, les douleurs ligamentaires et…
Elle pose ses mains sur son visage. Elle pleure là ?
Je crois.
- Eh bébé, c’est pour la bonne cause.
- Ouais mais y a plus rien qui me va.
- Bah on va te racheter des fringues, ce n’est pas grave. Dis-je en lui caressant la joue
- Et puis je pleure tout le temps, ça m’énerve.
C’est vrai qu’elle a les larmes faciles. Elle regarde une dernière fois dans son armoire et trouve enfin une tenue. Je me casse sous la douche et elle vient squatter la salle de bain pour se maquiller. J’adore qu’elle soit là quand je me douche, je sais qu’elle me mate à travers les vitres.
- Tu ne peux pas te casser ailleurs pour te maquiller ? Dis-je pour la faire chier
- Je n’en ai pas pour longtemps et plus je suis en retard.
- Comme toujours, tu traînes aussi à te choisir une tenue.
Elle m’envoi un regard noir qui me fait marrer. Je prends ma serviette et l’enroule autour de ma taille et vient contre elle.
- Mick’ !!! Crie-t-elle quand son mascara dérape
Je relève sa robe et lui colle une bonne fessée qui marque son joli cul. Je fais descendre sa culotte et elle me regarde à travers le miroir.
- Je suis en retard Mick’.
- Je sais, fallait arrêter de travailler.
Je laisse tomber ma serviette et l’embroche d’un coup sec.
- T’emballe pas, je veux juste me vider.
Elle sait que quand je joue au connard, je l’utilise juste pour mon propre plaisir et ça la fout un peu sur les nerfs quand je ne la laisse pas jouir. Mais ce soir quand je vais la baiser, elle sera sauvage et prête à tout pour avoir son orgasme.
- Sers bien ton cul.
Oh putain j’adore quand ma bite est dans un étau. Je lui colle une autre fessée et elle se frotte le cul. Celle là a piqué on dirait bien. Je mets la même force sur l’autre fesse et elle me fusille du regard. Elle en reçoit encore une et grimace.
- Tu vas te faire mal Mick’ tu sais. Me lance-t-elle.
Ah la garce. Elle veut jouer à ça, pas de problème. Je l’attrape par les cheveux et lui colle la fessée de sa vie. Je lui glisse deux doigts dans sa chatte, les fait aller et venir rapidement puis la fourre de nouveau. Elle est essoufflée et excitée. C’est parfait. Je lui mets une double fessée qui lui fait vibrer son cul qui va bientôt se remplir car ça bouillonne en moi.
- Oh putain t’es si bonnnnneeeee.
Je lui bourrine encore un peu et elle se cabre. Je n’ai pas le temps de me retirer qu’elle jouit. Salope ! Elle m’a bien eu.
- Bad Bitch !
Elle me sourit, fière de m’avoir bien niqué.
Faut dire qu’elle s’est y faire.
- Ce soir, rêve pour que jte baise !
- Sois bon joueur Mick’.
- Je vais plus te toucher.
- Mais bien sur. Homme faible. Dit-elle en me posant une bise.
Tu ne tiendras jamais.
Elle se barre de la salle de bain et je me retrouve comme un con devant mon miroir. J’en ai pas finis avec elle !
- Marielle !!! Dis-je en gueulant de l’étage
- A plus tard my love.
- Reste là !
Alors que je suis à la balustrade, elle me regarde du rez de chaussé. Elle me fait un doigt d’honneur et se casse en m’envoyant un baiser. Putain elle va me rendre dingue !
Tu l’es déjà.
Vivement qu’elle soit en congé maternité, je n’aime pas qu’elle aille bosser.
C’est une femme libre.
Je veux plus qu’elle bosse, on n’a pas besoin de son salaire, je gagne assez pour 2 !
Elle aime son travail, en plus elle sait même pas si tu vas rester avec elle. Et d’ailleurs ça serait bien que tu t’y mettes au boulot car t’as du taf toi aussi
Merde exact. .
- Bonsoir. Me lance une voix qui réveille tout un tas de frisson sur ma peau.
Je lève le nez de mon ordinateur et elle me regarde affamée mais là elle peut rêver pour que je la nique.
- Ta journée s’est bien passée ? Me demande-t-elle
- Ouais et toi ?
- J’ai adoré être loin de toi. Dit-elle en dézippant sa robe qui tombe au sol.
- Où est Jennie ?
- Soirée pyjama.
Merde c’est vrai qu’elle a été invitée chez une pote. Je m’y suis opposé mais Marielle à tranché et j’ai été me faire foutre. Le soutif de Marielle se retrouve par terre et je déglutis mon envie de la baiser. Elle fait glisser sa culotte qui roule le long de ses bas. Bordel qu’elle est belle.
- Ce soir, j’ai envie de me mettre à l’aise. Me lance-t-elle juste vêtue de bas et de chaussures à talon aiguille.
Putain je kiffe qu’elle fasse désormais que de l’administratif avec la tenue qui va avec.
De toute façon elle ne rentre plus dans ses jeans.
Elle s’approche de moi avec son sourire au couleur de ce rouge à lèvre qui me fait bander.
Je crois qu’elle a très envie de toi.
Je crois qu’elle va aller se faire foutre et ça ne sera pas avec moi.
Curieuse de voir ça.
Alors que je tape sur mon écran, je vois une chaussure se poser délicatement sur le couvercle de mon ordinateur qu’elle ferme et ça putain c’est méga sexy. Je la regarde et elle s’assoit sur moi. Son petit cul sur moi, c’est quand même bandant. Elle allonge son dos contre moi, et pose sa tête contre mon épaule.
- Je bossais.
Elle ne dit rien, juste me fout mes mains sur ses seins.
- Ouais, t’en as rien à foutre quoi. Dis-je
Elle se cambre et caresse son ventre. Putain elle est merveilleuse. Je caresse ses seins et vient titiller ses tétons qui pointent au fur et à mesure que je les branle. Elle fait descendre sa main entre ses cuisses et se caresse sur moi. Elle gémit et moi je suis raide dans mon fut qui devient bien trop petit. Ok, j’abdique, je suis à elle, je suis faible, qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi.
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