Chapitre 53 - Mickaël
3 jours que je la baise partout, chaque pièce a subis nos ébats et même l’arbre à cabane, a eu son cul dessus. Je me regarde dans le miroir et ma bite est déjà au garde à vous.
- Du calme ma merveille, je ne sais pas où est ma femme.
Je me vide un peu le temps de savoir où se cache ma délicieuse femme. J’enfile un pantalon et vais vois le terrain vide, je sais d’avance où elle est et ça ne rate pas. Ses courbes sont allongées face à la mer, comme toujours nue. Ses cuisses sont légèrement écartées prêtes à me recevoir. Je tej mon fut et me glisse entre elles.
- Bonjour my love.
- Bonjour bébé.
Je rentre en elle facilement, ses bras enroule mon cou, ses jambes mon bassin et je me faufile jusqu’à être entièrement en elle. Si elle n’était pas enceinte, on aurait fait notre fille pendant nos noces c’est certain.
- Mick’ !!!!
- Oui bébé, gueule mon nom !!!
J’adore quand elle m’appelle alors que je suis en elle. La flotte s’invite et nos corps son doucement caresser par les vagues qui se calquent sur mes va et vient.
- Je t’aime bébé.
- Moi aussi. Dit-elle à bout de souffle.
Oh putain que c’est bon de baiser !!! Je me tiens telle une montagne contre les vagues pour la faire gueuler un peu plus sans être emporté par le courant. Je la baise comme un sauvage et puis arrive mon heure, celle qui va me vider. Je râle fort tellement que je sens mon foutre traverser ma queue pour s’étaler au fond d’elle. Bordel que c’est bon !!!
- Allez douche Madame Parker.
On recommence sous la douche malgré qu’on fatigue et que notre fille me boxe le bide quand je ken trop sa mère. On finit par s’allonger sur un transat et on mate le couché de soleil à travers les arbres.
- Si on vire quelques arbres, on pourrait voir le couché du soleil d’ici. Dit-elle
- Couper des arbres c’est comme couper des cheveux, c’est un crime. En plus, c’est que temporaire ce mobil home, on aura la maison et ça nous filera que dalle de couper les arbres.
- Dommage. Tu me montres les plans de la maison ?
Ah enfin elle s’intéresse à notre maison ! Je n’attendais que ça. Je vais chercher mon PC portable et lui montre mes plans.
- Un filet suspendu ? Avec les enfants…dit-elle inquiète
- Ils vont adorer et y a une centaine de point d’accroche et le filet est fait pour.
- Mouais, je ne suis pas sur.
- Merci de ta confiance. Dis-je un peu piqué
Je continue à lui présenter notre future maison.
- La cuisine est sympa mais l’ilot central, je ne suis pas sur Mick’. Ça prend de la place pour rien.
Putain elle trouve toujours un truc à redire !
- Moi j’aime bien, en plus ça permet d’avoir plus de rangement et de plan de travail.
- Je préfère sans ilot et comme c’est moi qui cuisine. Me lance-t-elle avec son petit sourire
- Ouais mais comme c’est moi qui vais te baiser dedans, l’ilot sera un très bon meuble à baise.
- Pas d’ilot.
- Si.
- Mick’ !!!
- Et le salon t’en pense quoi ?
- Le piano pour Jennie c’est adorable mais ça risque de réveiller la petite donc je préfère qu’elle continue à en faire au centre.
Là c’est trop.
- Tu veux tej le piano de Jennie ? T’es sérieuse là !
- Mick’, c’est super comme idée, quand on n’a pas d’autres enfants mais là…
- Elle s’habituera au son Marielle, ce piano c’est un cadeau pour Jennie, et la petite s’y fera !
- Pourquoi tu t’énerves ?
- Parce que t’es d’accord avec rien putain !!! J’ai l’impression de faire de la merde là !!!
- Mais pas du tout, on discute de notre maison Mick’, j’ai le droit de dire mon mot quand même.
- Alors moi je dois faire des concessions mais pas toi.
On se regarde alors que la tension monte.
- Quelle concession je dois faire ?
- Ton taf.
- Ah non tu ne recommences pas !
Pourquoi elle ne veut pas accepter d’élever nos enfants putain !
Parce que c’est une femme indépendante, qui aime son travail
Et pas ses gosses ?
Elle les verra quand elle rentrera et les week-ends comme la plupart des enfants de notre pays.
Les autres travaillent pour avoir un autre salaire pour joindre les deux bouts, nous on n’a pas besoin qu’elle travaille.
- Tu ne travailleras pas Marielle, c’est comme ça.
Ouais tu peux aussi la séquestrer mais pas sur que ça lui plaise.
- Pardon ? Je suis ta femme Mick’ !!! Pas ton esclave !!!
- J’ai jamais dis le contraire. T’as voulu des gosses, ta place est auprès d’eux.
- Sinon quoi ? Tu divorceras ? Tu me quitteras comme quand t’as pas ce que tu veux comme un foutu gamin capricieux !
- Y a pas de sinon Marielle, c’est comme ça, un point c’est tout.
Je reste sur mes positions et elle peut baver son mécontentement autant qu’elle le veut, je ne lâcherai pas.
Ça promet.
Je préfère prendre un peu l’air car j’ai pas envie qu’on continue à s’engueuler pour un sujet clos.
Pas si clos que ça vu sa réaction. Elle ne va pas te lâcher comme ça.
- Salut mon pote. Dis-je quand Jack répond
- Eh, comment tu vas mec ? Alors ce petit voyage de noce ?
- Une catastrophe.
- Comment ça ?
- Elle n’est jamais contente putain. Je lui offre une vie de rêve, et elle la piétine comme si c’était de la merde !
Assis dans le sable, face à la mer, je regarde les vagues s’étaler pendant que je raconte tout à mon pote.
- Mais tout ça, vous n’en avez jamais parlé ? Me demande-t-il.
- Parler de quoi ? Si elle veut un ilot ou pas d’ilot ?
- Mais non, de comment elle conçoit la vie de famille. Mec tu ne t’es pas marié sans discuter auparavant de vos visions de couple et de famille quand même ?
- Bah elle savait que je voulais construire une baraque.
- Non mais là je parle d’une vraie discussion. Pas d’un truc qui te semble tomber sous le sens.
- Je ne comprends pas ce que tu me dis Jack.
- Tu sais qu’avant de me marier avec Julie, on n’a pas mal discuté de nos envies respectives. Moi je voulais mon affaire et elle voulait rester auprès des enfants mais pouvoir aussi bosser quand elle le voulait. On s’est donc organisé en fonction de nos deux envies.
- Ouais bah regarde où t’en es aujourd’hui.
- C’est justement parce que je n’ai pas su lui parler quand mes envies évoluaient que ça a merdé. Faut que tu discutes avec Marielle mec, que vous mettiez à plat tout ça et que vous fassiez chacun des concessions. Tu peux, peut être accepter pour l’ilot et elle lâche pour le piano.
- Ce n’est pas ça qui va coincer. Je refuse qu’elle bosse et elle, elle veut bosser dans ce putain de centre.
- Elle peut faire un mi-temps, ça t’irait ça ?
- Non.
- Faut que tu lâches un peu la bride sinon ça va péter.
Fais chier !!!
- Franchement c’est possible de vous organiser, tu bosses le matin là, et bien l’aprèm tu gardes les petites pendant qu’elle bosse. Il est où le problème ? Me dit-il
- Et on se voit quand dans ton super plan ?
- Le soir comme beaucoup de couple mais ça ne t’a jamais dérangé qu’elle bosse, pourquoi d’un coup ça te fait chier ?
- Jennie se plaint de ne pas voir assez sa mère, qu’elle lui manque. Il n’est pas normal qu’elle aille secourir des gosses qu’on ne connait même pas et que la petite souffre du manque de sa mère. Je refuse que les petites souffrent.
- Et ça, tu lui as dis à Marielle ?
- Non.
- Mais dis lui !!! Putain Mick’, comment tu veux qu’elle le sache si tu ne lui dis rien ?
- J’en sais rien ! Mais putain c’est quoi le problème dans ce que je demande ! Elle a fait des gosses, elle est élève !
- Tu ne vis plus au 19ème siècle mec, Marielle est une femme moderne qui veut bosser.
- Dans ses rêves.
- Tu comptes l’attacher ? Ricane Jack
- Non, l’épuiser. Elle ne sait pas me dire non pour le sexe, entre la petite, la baraque et moi, elle n’aura plus le temps pour son centre.
Il éclate de rire.
- T’es taré mec. Je peux t’assurer que vivre avec ta meuf h24, ça soule grave. Tu vas vite vouloir qu’elle te lâche. Rit-il
- Je ne suis pas comme toi Jack, j’ai besoin d’une femme dans mon quotidien. J’ai bossé trop dur pour avoir un taf qui rapporte, car je veux pouvoir entretenir une meuf. J’ai besoin de ça, j’ai entretenu Adri, Joyce, ma mère je l’ai aidé quand elle était dans la merde…c’est moi, je suis comme ça. Je veux une femme qui sera chez moi avec mes gosses, bien sapée, maquillée qui me sucera quand je serais en visio quand les petites dormiront, qui me foutra la gaule quand elle passera la serpillère car elle aura une jupe ras de son cul, sans culotte, prête à se faire baiser à n’importe quel moment de la journée.
- Qui te fera de bon petit plat et toi tu foutras les pieds sous la table après avoir gagné un max de tune pour lui offrir tous ses caprices de meuf.
- Bah ouais.
- Tu ne veux pas d’une meuf, tu veux un fantasme.
- Non je veux Marielle. Elle s’y fera.
- Je crois que t’as pas pris la bonne pour cette vie là mon pote.
Je raccroche, bien décidé à obtenir ce que je veux. Ma vie ne sera pas sans elle. Je relance le sujet à peine arrivé et une dispute comme jamais on a pu avoir, éclate.
- J’en veux pas de ta baraque Mick’, les prisons très peu pour moi !
- Toute de suite les grands mots, redescends Bitch, beaucoup aimerait avoir ce genre de vie, alors arrête de te plaindre de tout et de rien. Tu veux tafer ? Mère au foyer c’est un taf et 250m2 crois moi t’auras pas de quoi t’emmerder.
Elle me regarde comme si je disais les pires insultes de ce monde.
- Je veux rentrer Mick’.
- Pardon ? Tu veux arrêter notre voyage de noce ?
- Oui, je veux rentrer. De toute façon ce n’est même pas un voyage de noce. Ricane-t-elle
- Parce que ça ne te plaît d’être ici ?
- Non Mick’ ça ne me plait pas, tu sais pourquoi ?
- Non, dis-moi.
- Parce que tu décides de tout ! Je n’ai même pas pu choisir le terrain ! Tu fais les plans, tu organises notre vie sans même me demander ! On aura des poules, des canards, un chien, des filles…putain mais Mick’ la vie de couple ce n’est pas ça ! Tu ne te demandes même pas si moi ça me convient ! Je n’en veux pas moi de tes poules ! Je ne veux pas d’une grande maison où on ne se verra pas tellement elle sera grande ! Je ne veux pas avoir que des enfants et faire du linge, la vaisselle, le balai et la serpillère. Je ne veux pas juste être là pour vider le lave vaisselle et mon mari. Porter des enfants car il le voudra, parce que c’est ça que tu prévois Mick’, n’est ce pas ? Le jour où tu voudras me faire un enfant, j’aurais limite pas le choix comme je n’ai pas le choix pour la maison. Tu as tout acheté sans me demander Mick’, du terrain à la construction, j’ai même pas pu choisir le carrelage, comment tu veux que je me projette ?
Elle n’a pas tord.
Je ne voulais juste pas l’emmerder avec ça en plus, elle est suffisamment crevée par sa grossesse et elle avait le mariage à gérer, je voulais juste lui éviter de lui rajouter une charge en plus. Je voulais faire mon job de mari, ne pas l’emmerder avec les devis, les rendez-vous avec les entrepreneurs, les banques etc Je voulais lui retirer un poids supplémentaire.
Elle est bien plus forte que tu ne le crois. Jack a raison, tu dois faire des concessions.
- Bébé…
- Je veux rentrer Mick’.
- On peut discuter s’il te plait ?
- Non. Je veux rentrer, si tu veux rester, j’appelle un taxi.
Là elle déconne complètement mais j’ai beau tout tenter, elle reste sur sa position et nous écourtons notre voyage. C’est sans un mot qu’on range nos affaires, et c’est à contre cœur, que j’annule le voyage surprise que je voulais lui offrir, une semaine pour visiter l’Amérique Latine, mais ça ne se fera pas.
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