Point de vue Lia

Je suis folle de rage quand j'entre dans la voiture. Je n'ai rien dit depuis que nous avons passer la porte. Marshall c'est engagé sur la route, je regarde défilée les immeubles de la ville où j'ai grandis, je ne me rendais pas compte qu'elle avait temps changer... je suis couper de mes pensée par Marshall qui vient de poser sa main sur ma cuisse.

- Tu ne dit rien? Me dit-il.

- Qu'est ce que tu veux que je te dise? Ma mère ne lâchera rien, mon père reste muet a sa.

- Ta mère est folle excuse moi, mais elle a peur de quoi?

- D'être pauvre, lui dis-je. A ton avis pourquoi elle veut me marier a ce gros plouc riche a millions. Elle ne manquerait plus de rien. Même ci la marque des vêtements de ma famille fonctionne, tout peut se casser la gueule en a rien de temps.

- Tu est leurs sécurité quoi?

- En claire oui, dis-je amèrement.

Marshall fini par ce garer sur le parking de notre hôtel, nous filons directement dans notre chambre. A peine la porte refermer je souffle et m'assis sur le lit. Marshall de met en face de moi et retire sa veste, sa veste en cuire a l'effigie du club est rester dans la voiture et le voir sans, le rend différent, bon il est toujours aussi impressionnant et sexy.

Il attrape mes mains et me soulève face a lui.

- Quoi?

- Je vais te changer les idées.

- Et comment? Lui demandais-je.

Il pose ces mains sur mes joues et sa bouche vient se poser sur la mienne. Il me colle contre lui, je me retrouve coller contre le mur.
Ces mains caresse mon corps, il l'ai glisse sur ma peau, je me retrouve nu très vite.

- On devrait fermer la fenêtre, dis-je.

- Non, j'aime qu'on nous regarde.

- Quoi? Dis-je en arrêtant tout mouvements. Qui nous regarde?

- Les zozos de tes parents.

- Quoi où ça?

- Dans une des voitures sur le parking.  Montrons leurs qu'on en a rien a foutre de tes parents.

Je lui sourit et fonce sur ces lèvres. J'aide Marshall a se devetir, sa queue gonfler tape contre mon ventre. Il s'empare de mes lèvres, tout en me plaquant encore plus contre le mur, une des ces mains glisse entre nous et vient me caresser. Je gémit, il en profite pour inséré un doigt.

- Ça va te faire du bien bébé, dit-il.

Il insére un second doigts, ces vas et vient son plus rapide. Je gémit de nouveau. Il colle sa queue contre moi, j'écarte les cuisses, Marshall retire ces doigts et attrape mes cuisses, il me soulève, j'enroule mes jambes autours de lui. D'un mouvement sa queue me prends, s'enfonce en moi. Je souripe.

- Baise moi, lui dis-je.

- Tout ce que tu voudra bébé.

C'est vas et vient son profond, rapide. Il me décolle du mur et nous conduit jusqu'au lit. Il m'y dépose, sa queue me quitte et je me sens vide.

- A quatre pattes ma belle, dit-il en souriant.

Je lui sourit en retour, je me tourne et me met a quatre pattes comme il dit, pour continuer a l'exciter je secoue mes fesses devant lui ce qui me vaut une fessée de sa part. Je cris de surprise.

- Eh ouais chérie quand on me cherche on me trouve.

- Alors vient metre ta queue.

Il me regarde en souriant, je me tourne et regarde droit vers l'extérieur. Si ils nous regardent ils vont bien profités. Je sens les mains de Marshall s'agripper a mes hanche ms et m'attirer vers lui. Sa bouche se pose sur une de mes fesses, il mordille ma chair. Putain que ces bon.

Il colle sa queue entre mes fesses, me soulève et me pénètre, je suis humide, tremper rien que pour lui. C'est coups de reins son direct, profond, fort. C'est tellement bon. Sa main vient jouer avec mon seins, il pince mon tétons, le caresse. Je gemi. Il me baisse, il me prends comme ci j'était sa chose et j'aime être sa chose.

- Putain tu est bonne bébé.

- Oh oui continu. Je vais venir.

- Oh bordel oui vient, j'aime t'entendre criée.

- Oh Marshall! Marshall! Je vient, je vient!

Je jouis jusqu'à être au bord de l'épuisement, il me donne des profond coups de reins. Il fini par venir a son tour, je m'effondre sur le lit en sueur. Marshall se retire et se dirige nu vers la fenêtre, il ferme les rideaux.

Il s'allonge a mes côté. Colle son corps contre le miens.

- On a pas mis de capote, me dit-il.

- T'inquiète pas je ne te ferai pas d'enfants, dis-je.

- Qu'est ce qui tes arrivée?

Je me tourne vers lui, sa main se pose sur ma hanche.

- Ils mon retirer l'utérus, ils on détecter des tumeurs alors ils on tout enlevée.

- Desoler, dit-il.

- Je m'y suis faite, dis-je. Maintenant que tu sait tout de moi, j'ai le droit de savoir pourquoi tu a fait de la prison.

- Je te doit bien ça. Il y a quelque années j'avais une amie, une vrai amie avec qui je n'ai jamais coucher. Elle sortait avec un mec que je ne pouvait pas blairer, les semaines on passer et je la voyait de moins en moins, quand elle revenait vers moi je la retrouvais toujours blesser, un œil au beurre noir, des bleues. Un soir elle est arrivée en pleure chez moi, le visage en sang. J'ai vue rouge, vraiment alors je suis aller trouver ce connard et je l'ai frapper, très fort, il avait perdu des dents, je lui avait casser le nez. Ce connard est partie porter plainte contre moi. Je me suis arrêter, j'ai pris trois ans ferme.

- Et qu'est ce qu'il est arrivée a ton amie?

Je le vois grimacer, son visage se fermer.

- J'ai appris un mois après avoir été enfermer qu'elle c'était remis avec, et elle est morte le mois suivant sous les coups de ce fils de pute. Il c'est suicidé pour pas aller en taule. C'est pour ça que quand Marc ta criée dessus je suis venue, je ne voulais pas que ça se reproduise. J'ai déjà perdu une personne que j'aimais j'ai pas envie que sa se reproduise.

Je reste le regarder sans rien dire, je pose ma main sur sa joue et dépose mes lèvres sur les siennes.