Un mois c'est écouler depuis que Marshall et moi nous nous sommes mis officiellement ensemble. Et faire accepter notre couple à été facile pour les membres des Weapon Brothers mais beaucoup plus difficile aux filles du salon de massage et au brebis. Sa queue n'appartiens qu'à moi. J'ai fait des jalouses et je le sait.

Ce soir petite soirée chez notre couple de président. Malgré que nous ne vivons dans le même appartement, nous passons toute nos nuits ensemble, il m'a déjà demander qu'on vive ensemble mais je n'ai pas voulu, c'est beaucoup trop tôt a mon goût.

- Tu va encore me faire bander toute la soirée.

Je me retourne vers lui.

- Quoi? Pourquoi?

- Cette robe, elle devrait t'être interdite, dit-il en souriant.

Je m'approche de lui et dépose mes lèvres sur les siennes. Je lui chuchote ensuite:

- Mais si d'un seul coup j'ai envie de ta queue, ça sera beaucoup plus facile...

- Je te déteste de me dire ça bébé. Vraiment je te déteste.

Il m'embrasse.

- On devrait y aller, si on ne veux pas être en retard.

- Oui, sinon je risque de te prendre avant d'arrivé à la moto.

Je lui sourit, nous partons de mon appartement. Le trajet jusqu'à la maison du président se fait rapidement.

Après les salutations, nous nous installons autours de leurs table. Une bière dans les mains, nous discutons tranquillement.

- Si j'avais su qu'un jours je verrai mon frère amoureux... dit Logan en ayant sa petite fille dans ces bras.

- Oui bah c'était pas prévu, dit-il en riant, mais Lia m'a ensorcelé.

Il pose sa main sur ma cuisse en souriant.

- Moi non plus je ne m'y attendais pas, dit-il.

- Tu doit en faire des jalouses, me dit Dylan.

- Oui, j'ai peur de me faire casser la gueule dès fois, dis-je en riant.

- Vraiment? demande Marshall.

- Certaines peuvent être de vrai chiennes, ajoute Roxy.

- Bordel, vous êtes horrible entre vous, ajoute Logan.

- Je ne fait rien de mal, dis-je. Je sort juste avec Marshall c'est pas un crime. Elles on toute hâtes qu'on se sépare.

- C'est pas pour tout de suite, dit Marshall.

- Le seule moyen pour qu'elles cesse, c'est que tu soit officiellement sa régulière.

- On en ai pas là, dis-je. On avance doucement.

- Mais un jours faudra peut être que tu accepte, me dit-il.

- Oui, je le sais, mais genre Dylan, Grace vous ne faîtes pas des jalouses?

- Si, dit Grace, je suis toujours qu'une gamine à leurs yeux, même avec ce gros ventre.

- Pareil, dit Dylan, même-ci je suis sa régulière, on a toujours des regards et sa chuchote dans notre dos, mais faut passer outre. Moi je m'y suis faîte. Et j'espère qu'avec l'arrivé du bébé elles vont arrêter.

- Moi je me regarde que toi bébé, lui dit Austin.

- Tu à intérêt, réponds la jeune femme.

Nous rions je pense que nous devons toute les tenir par les couilles.

- Enfin bref.

La soirée se déroule tranquillement, pas besoin de musique, de nanas à poil, d'alcool qui coulent à flot pour s'amuser. Pour moi les meilleurs soirées son celle entourer de mes amies surtout celle qui devient ma famille.

La nuit est tomber depuis un sacré moment quand nous rentrons à l'appartement.

- Ce soir c'est moi qui commande, me dit Marshall.

- Hum... d'accord.

Il me prend la main et me tire jusqu'à sa chambre, nos lèvres son vite en contacte, je sourit, il me déshabille très vite, je me retrouve en sous vêtements. J'aide Marshall a se déshabiller à son tour. Il me pousse sur le lit mais s'éloigne de moi.

- Mais qu'est ce que tu fait? lui demandais-je.

- Laisse moi faire.

Il se dirige vers sa commode. Il fouille. Puis se retourne. Il tiens dans sa main un tissu assez long.

- Tu va me faire quoi avec ça? demandais-je.

Je ne le quitte pas des yeux lorsqu'il s'approche de moi. Il prend le tissu dans ces mains et le porte a mon visage. Marshall me bande les yeux.

- Tu verra tu va adorer.

- Tu n'a pas intérêt à m'attacher.

- Promis, tu va aimer bébé.

Je ne vois plus rien, je sens Marshall me prendre la main, il la porte jusqu'à ces lèvres ou je sens ces baiser sur mes doigts, puis il pose ma main sur son torse. Je sens sa peau brûlante, je sens le battement de son cœur. Ces tétons son dresser, il fait glisser ma main sur son ventre. Cet simple petite chaude me font mouiller. Il glisse ma main plus bas, je sens le début du tissu qui lui sert de boxer. Il me fait caresser la bosse qui s'y trouve à l'intérieur.

- Bébé, ça te plais?

- Oui...

Marshall me lâche la main quelques second, j'entends qu'il descend so, boxer, il me reprend vite la main et me fait caresser sa queue dresser, longue et épaisse. Je commence à faire de léger vas et vient, sa respiration s'accélère. Il passe ensuite sa main derrière ma tête, j'approche mon visage de son sexe et le prends dans ma bouche. Je le lèche, le mordille, joue avec ces boules, Marshall gémit.

- Touche toi bébé, dit-il.

J'enroule ma langue autour de sa queue, j'abandonne ces boules et détache mon soutien-gorge. Je prends mon seins entre mes mains, pince mon tétons.

- Touche toi plus bas chérie.

- T'aime donner des ordres.

- Oh oui, lâchais-je.

Je glisse ma main entre mes cuisses, passe en dessous du tissu. Et caresse mon intimité humide. Je reprends sa queue dans ma bouche.

- Oh putain je vais te baiser.

Il me pousse plus fort, je m'allonge sur le lit, le bandeau toujours sur les yeux, Marshall vient plaquer ces lèvres sur les miennes. Ces lèvres viennes se poser dans mon cou, sur ma poitrine, puis descend sur mon ventre puis entre mes cuisses.  Mon Dieu cette sensation est fantastique, sa barde qui caresse mes cuisses, ces mains douce qui pinces mes tétons. Je vais finir par jouir si il continu. Il retire ses lèvres et écarte mes cuisses. Il tapote son sexe contre ma cuisse.

- Ne me fait pas attendre! Met la moi.

- Tu est presser?

- Tu me fait trop envie bébé.

- Alors très bien, je vais tout te mettre.

Je ris, mais je suis couper par sa pénétration. Marshall commence par de long et lent vas et vient.

- Tu me fait l'amour là...

- Oui, tu n'aime pas?

- J'adore. Continue.

Il me caresse la joue et continu ces vas et vient plus vite. Je fini par jouir, Marshall ne tarde pas a venir à son tours. Je retire le bandeau et découvre Marshall tout souriant. Il s'allonge et me colle contre lui. J'abandonne le bandeau à même le sol.

- Je t'aime bébé, lui dis-je.

- Moi aussi je t'aime, fini-t-il par dire.