Tu es parti
Dans le jardin des rêves où les étoiles s'endorment,
Je t'ai écrit un poème, un murmure dans la nuit sans borne.
Là où les larmes se mêlent à la rosée du matin,
Où les souvenirs se tissent en doux satin.
Tu es parti comme une étoile filante dans le ciel,
Laissant derrière toi un océan de tristesse éternelle.
L'ombre de nos silences danse sur les murs,
Et la mélancolie murmure des secrets obscurs.
Dans ce poème, je dépose chaque éclat de douleur,
Chaque écho d'un chagrin, chaque brise de malheur.
Les vers sont des larmes figées sur le papier,
Chacun portant le poids de notre désir de s'envoler.
Les roses pâlissent devant la teinte de tes yeux,
La tristesse se couche dans l'écrin de tes cheveux.
Les émotions, comme des vagues, déferlent en moi,
Et je peins ce poème avec les couleurs de notre émoi.
Au fil des mots, les cœurs se serrent, les âmes se brisent,
Comme des étoiles filantes, nos rêves chutent et glissent.
Ce poème est un cri silencieux dans la nuit noire,
Une étreinte d'émotions, un torrent de mémoire.
Que chaque syllabe touche les cordes les plus profondes,
Que chaque vers évoque nos vies, nos joies, nos frondes.
Dans ce poème, je t'offre l'essence de mes pleurs,
Pour que tu ressentes l'amour et la douleur, dans leurs grandeurs.
Et quand tes yeux effleureront ces lignes tracées,
Peut-être, dans un soupir, tu comprendras l'écho de mes pensées.
Ce poème, c'est l'écho de nos âmes qui se cherchent,
Dans l'immensité des mots, où nos larmes se percheront, lourdes de perches.
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