La petite sœur, regardant une dernière feuille d’automne se consumer dans un feu de camp : “Le mois se termine, mais pas notre histoire.”

La grande sœur, plongée dans la même contemplation : “Le feu peut s’éteindre, mais la chaleur qu’il a apportée reste.”

La petite sœur : “Comme ce mois d’Octobre avec toi. Et à vous qui nous avez suivi, cette chaleur est aussi pour vous.”

Ainsi se clôt ce mois d’Octobre, où le temps a semblé à la fois pressé et infini. Mais n’oublions pas que, même hors des pages ou des écrans, l’affection entre ces deux sœurs—et entre chacun de nous—persiste, immuable.