Je ne sais même pas par où commencer tant j'ai été submergé par la nullité de cette oeuvre (si on peut appeler cela une oeuvre). Quand j'ai vu qu'il n'y avait que deux textes je me suis dis que ça serait trop court, mais cela a été un soulagement lorsque je suis arrivé au bout.

Je vais commencer par donner mon avis sur le premier texte, celui-ci se résume en deux mots, un désastre ou une bouse, à vous de choisir laquelle des deux expressions est la mieux adaptée. L'histoire est exaspérante au possible. L'auteur avait déclaré vouloir créer un récit fantastique, mais je lui rappelle que l'on ne doit pas confondre horreur et fantastique. Au cas où l'auteur aurait oublier, le fantastique peut faire peur mais ne plonge pas dans le gore, car c'est le rôle de l'horreur, or je citerai ce passage qui est clairement horrifique: "Je me retournai et vis un homme attaché en croix à un arbre, les mains dans des ruches d'abeilles." Pour en finir avec cette monstruosité, la fin est baclée, on y comprend rien car mal écrit.

Quand j'ai fini cette atrocité, je me suis dis que le deuxième texte serait surement mieux car il serait difficile de faire pire. Et bien, je ne m'attendais à rien et je fus déçu quand même. L'histoire est encore pire que la précédente car vu et revu mis à part la fin (ce qui ne l'empêche pas d'être nulle) dont je parlerai plus tard. Le héros seul dans une ville fantôme et qui cherche à manger, comme c'est classique, et tant qu'on y est tu vas nous faire le coup du: il rencontre un enfant auquel il s'attache, et ben oui. Le récit est plus long que le premier et il ne se passe rien tout le long. L'auteur a passé tout son temps à ammener la fin mais ça ne marche pas. D'ailleurs en parlant de la fin (dont je ne vous dirai rien, car je ne suis pas une ordure à ce point) je dirai qu'elle ne peut être que le fruit d'un esprit dérangé. Pour moi il est clair que l'auteur doit se faire interner.

En conclusion, une oeuvre dérangée écrite par un cerveau dérangé. Assez dérangé pour se critiquer lui même dans cette critique.