Histoire
Ils ouvrent la porte d'entrée, la tension étant trop forte, il la plaque contre le mur, lui remonte les bras au-dessus de la tête et l'embrasse fougueusement. Il maintient ses bras fermement, il enfonce sa langue dans sa bouche, il lui mordille la lèvre inférieure, son pantalon se tend, elle gémit de plaisir. Sans lui laisser le temps de la moindre action, il claque la porte, restée entrouverte, avec son pied et la porte jusqu'à sa chambre sans quitter ses lèvres.
Une fois dans son monde, il lui murmure qu'il va la baiser dans tous les sens. Il la jette sur le lit et va chercher dans sa commode ses menottes et cordes et lui attache les mains.
Mélanie n'est pas très à l'aise avec ce genre de pratique, mais il est déjà trop tard. Nick, lui bande les yeux et lui murmure à l'oreille qu'elle doit être bien sage et de ne pas crier. Qu'il ne lui fera rien de mal, elle acquiesce d'un mouvement de tête.
Il enlève son t-shirt, il la caresse d'abord doucement, il remonte sa robe jusqu'à sa taille, il la découvre nue sous sa robe, il apprécie l'initiative pour lui et lui susurre à l'oreille que c'est le genre de chose qu'il ne tolérera quand restant à la maison et que si cela se reproduirait autre part, il devrait la punir.
À ses paroles, Mélanie tressaille, elle n'est pas très à l'aise et se demande à ce qu'il pense quand il dit : la punir.
Elle prend quand même plaisir, ses caresses lui font éveillée des sentiments et un ressenti qu'elle n'avait jamais eu avant ce soir. Il descend sa main vers son sexe, qui est déjà tout mouillé.
Nick la pénètre avec délicatesse au début et puis avec un peu plus de hargne. Mélanie aime cette sensation de liberté. Elle ne contrôle plus rien, lui tout. Elle est complètement à lui. Nick la chevauche et empoigne ses seins un pour chaque main et jouis pour elle.
— Tu es à moi, maintenant. Dis-le-moi.
— Je suis à toi.
— C'est bien, tu es une sage fille. Jouis pour moi, maintenant. Laisse-toi aller.
Mélanie fit ce qu'il lui a demandé. Ce laissé tout à lui et dans un dernier mouvement jouis pour lui.
À bout de souffle, Mélanie lui dit :
— Personne ne m'avait jamais baisé comme tu viens de le faire.
— Et ? Tu as aimé ?
— Je dois dire assez, oui. Pourquoi ?
— Parce que maintenant, tu m'appartiens et c'est ce que je peux te donner à chaque fois que tu m’écouteras.
— J'ai un peu de mal à te suivre. Que m'arrivera-t-il si je ne t'écoute pas ?
— Je te l'ai déjà dit et je n'aime pas me répéter.
— Oh ! Tu étais sérieux ? Tu me puniras.
— Est-ce que j'avais l'air de rigoler ?
— Non, pas vraiment.
— Donc, tu as ta réponse. Oui, je te punirais.
— Comment ?
— Tu veux que je te montre ?
Un haussement d'œil au ciel.
— Non merci, je crois que j'imagine assez bien. Et dans quel cas, tu me puniras ?
— Différentes règles seront à respecter.
— Lesquels ?
— Tu les connaîtras bien assez vite.
— Bon, tu me détaches, maintenant. Je ne vais tout de même pas rester attaché toute la nuit.
— Première règle, tu ne me donnes pas d'ordre. Je choisirais quand je te détacherai.
Elle hausse encore les yeux au ciel, ce qui exaspère Nick. II décide alors d'aller jusqu'au bout. Il la détache.
— Enfin ! Ose-t-elle dire.
— Puisque tu t'es montré aussi insolente avec tes haussements d'yeux, l'ordre que tu m'as donné, ton "enfin" de maintenant, je vais te punir. Viens ici ! Sur mes genoux.
— Hein, quoi ! Non, je ne vais pas venir sur tes genoux.
— Tu me désobéis en plus.
— Non, non, ça va, je viens.
Mélanie se place sur les genoux de Nick, elle se demande jusqu'où il ira. Nick sourit à la vue de ce postérieur, il lui claque quelques fois les fesses. Une fessée ferme et pour chaque claque, il lui rappelle pourquoi elle est punie. Ses fesses rougissent très vite. Mélanie, qui avait peur de la punition, y prend beaucoup de plaisir et se dit qu'elle en veut plus. La sensation de l'impuissance, d’être soumise la fait jouir à nouveau sur Nick.
Elle n'est pas près d'oublier cette nuit.
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