Dans un repère de Kormal’ach dans la citée de Karnal’ach

Il faisait sombre dans la bâtisse décrépite par le temps. La seule source de lumière était une bougie dont la flamme vacillait de temps en temps. Une ombre était projetée sur l’un des murs de la bâtisse en abandon : c’était Kormal’ach.

Je n’en peux plus, d’attendre des nouvelles de nos collaborateur songea, ce dernier en faisant les cents pas dans la petite bâtisse. Il s’arrêta et s’assit sur un fauteuil en tissus bleu uni tout en fermant ses yeux afin de se DÉCONTRACTER et de se concentrer.

Affalé dans le fauteuil, il projeta son esprit à un de ses collègues : Son Dak’r. Il ne s’attendait pas à ce que Kormal’ach le contacte après l’épisode du Scandale1 qui a eu lieu quelques années plus tôt.

Echos du passé :

Les gens étaient affolés : les prix des denrées avait considérablement augmenté à Karnal’ach ; les elfes et les nains étaient à deux doigts d’en découdre avec les humains. La République d’Imaye était en crise. Bref, plus rien n’allait sauf pour les plans sinistres de Korb et de ses partisans.

Dans une ruelle d’une ville de la colonie d’Oreim

Deux individus encapuchonnés discutèrent tout en marchant :

« J’espère que nous sous-fifres n’ont pas été découvert, dit une voix à peine audible

— Je l’espérais aussi jusqu’au moment où un des leur, le baron de Narsen, à été découvert en flagrant délit par ce fouineur de duc de Stratenford.

— Malheureusement, le passé est passé et nul changement peut être exécuté… dit l’autre voix en soupirant »

Les deux individus disparurent chacun de leur côté en attendant fidélement au ordres de Korb.

Un peu plus tard, dans une des salles du palais impériale :

Une jeune fille aux cheveux blonds platines réarrangeait quelques mèches rebelles avant d’être appelé par son mentor :

« Naëllia, je me fais vieux, il va falloir que tu prenne ma relève, dit-il en toussant

— Je sais mon général mais vous êtes comme un père pour moi, dit-elle presque en larmes

— Bien, dit-i l en respirant difficilement, il est temps pour moi de partir.

Naëllia de Venderlys pleura et ce fut la dernière fois de sa vie qu’elle pleurait.

De nos jours :

Son Dak’r surpris de la présence spirituelle de Kormal’ach dit :

« C’est toi, sale renard rusé après des années d’absences de contact avec moi ?

— Oui, c’est moi, s’exclamât-il télépathiquement. Ecoute-moi, mon vieil ami : le temps joue avec nous et nous jouons aussi avec ce dernier.

— D’accord, je vois où tu veux en venir… Vieux renard : parler des futures actions ! »

Ils discutèrent suffisamment longtemps avant de trouver un plan afin de prendre le pouvoir de la citée elfique et de forcer la princesse Lyna à se marier avec Aymeric.