La nature humaine

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I

Tu as vu la nature humaine, bavant au seuil de ta porte.

Tu l’as sentie lorsque les puissants ont frappé.

Or, ces gens-là étaient tes frères, en quelque sorte,

Mais tu n’es pas assez beau pour leur monde nacré.

La vie est plus éphémère que la douleur qui te ravage.

Alors tu abandonnes, la nature humaine est trop sauvage.

II

Le sanctuaire de la quiétude

Est invisible aux miséreux

Et à leurs larmes qui dégoûtent,

Mais il mène les inquiétudes

Des parvenus les plus sérieux

Vers le royaume des doutes.

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