Il était une fois dans un pays lointain, LE prince charmant, le seul et l’unique. (celui qui nique toutes les princesses)

Le prince balança sa tête en arrière faisant voler avec voluptés sa chevelure blonde, laissant découvrir son visage enchanteur.

Harnaché de son armure argentée et de son épée d’adamantium et de titane, il s’enfonça dans le labyrinthe du seigneur démon.

Lui le premier prince du grand empire éternel, il était le plus beau, le plus fort et le plus courageux de sa génération, son avenir était brillant.

Sûr de lui le, prince avança dans le passage sombre, mais hélas…. Tomba dans un piège et fut capturé par l'armée démoniaque.

Le héros, attaché dans ce cachot humide et poisseux de champignon parasite sur les murs, désespérait de sortir en vie de cette situation.

« Que tu es beau ! » dit une voix rauque.

Le prince tourna la tête et découvrit un tas... d’immondices ?

« Prince, je peux te sortir d’ici, mais tu dois donner quelque chose en échange.

— Que désires-tu ? demanda le prince à la masse informe

— Tu dois me faire un enfant. », répondit la chose.

Le prince eut des nausées, mais pouvait-il refuser ? Il accepta à contrecœur.

La masse informe, heureuse de l’acceptation du prince, se mit en marche, elle se dirigea vers le fond du donjon là où vivait le seigneur démoniaque.

« Seigneur, j’ai besoin de votre aide. s’aplatit la masse informe

— Que désires-tu ? Demanda le démon en enlevant ces petites lunettes et levant sa tête du tas de parchemin qui traînait sur son bureau.

— Je désire me reproduire. » Répondit le tas d’immondices.

Le seigneur eut un geste de recule, des sueurs froides coulèrent de son front rouge juste en dessous de ses cornes.

« Avec… moi ? Eut-il du mal à articuler.

— Ho non mon seigneur, vous n’êtes pas mon genre. », précisa la chose.

Le seigneur démoniaque se sentit soulager, quoi qu'un peu véxé, et se réinstalla derrière son bureau essuyant son front encore moite.

« Lequel de mes sujets désires-tu ? Demanda-t-il tout en plaignant le malheureux.

— Aucun, je désire votre prisonnier.

— Mon prisonnier ? Ha, tu parles de cet idiot qui est tombé dans le premier piège du donjon ?

— Il est peut-être idiot, mais il est beau. Précisa la chose.

— Je me demandais justement quelle torture j’allais lui infliger… Très bien je te l’accorde.

— Que voulez-vous dire par torture ? s'interloqua-t-elle.

— Rien… Rien du tout. Hahaha, passe un agréable moment avec l’humain. », conclut le seigneur démon en faisant signe à la chose de sortir.

Dès que le tas d’immondices fut sorti de la pièce, il appela un chevalier d’ombre.

« Prépare une salle de tort… nuptiale pour la chose et fais venir une succube pour exciter ce prince ! » Ordonna-t-il.

Le prince fut emmené dans une salle où une paillasse avait été installée, la chose était déjà là.

« Je… je ne sais pas si je vais pouvoir… » se plaignit-il en regardant l'être informe avec qui il doit...

À ce moment-là une succube d’une beauté éblouissante entra totalement nue dans la pièce et l’ensorcela. Son porte-drapeau royal se mit immédiatement debout.

« En fait c’est comme une tarte aux pommes… » déclara le prince pendant l’acte.

Après que tout fut fini, la chose libéra le prince charmant qui décida de sceller les souvenirs de cette… relation…

Il retourna dans son palais pour commencer sa quête de sexe avec toutes les princesses qu’il découvrait, pour contrer le traumatisme qu’il avait subi avec la chose…

La chose donna naissance à une nouvelle créature magique.

De forme humanoïde, un demi-humain à la peau verte, au visage difforme et ayant un fort appétit sexuel envers les humaines.

C’est ainsi que les gobelins naquirent et vécurent heureux de pillage et de viol en série au sein de l’humanité sous les ordres de l’armée démoniaque.