/!!!\ Attention, scène violente /!!!\

Ce passage peut choquer. Une scène de viol est décrite. Pour ceux et celles qui souhaitent continuer à lire l’histoire sans cette scène. Ce passage sera encadré par ces symboles /!\. Ce qui est décrit n'est pas tiré de fait réel.

/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\Début du contenu sensible/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\

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J’aperçois Alicia sur le sol. Elle paraît endormie. Un homme, les cheveux gris marqués par l’âge, s’approche d’elle. J’essaie de la prévenir, mais ma voix est étouffée. Je veux courir vers elle, mais mon corps est retenu par une force invisible. Il caresse le visage d’Alicia. Elle se réveille horrifiée, essayant de lui échapper, cependant un lourd collier relié à une chaîne en fer la retient. Lorsque l’homme tire brutalement sur la chaîne, elle tombe sur le dos violemment. Elle essaie de s’agripper au sol en s’arrachant les ongles, mais l’homme continue de la tirer vers lui. Alicia crie, pleure et ses doigts ensanglantés laissent de longues traces rouges sur le sol. Lorsqu’elle est à sa portée. Il lui soulève sa tunique au dessus de son torse plat et l’enroule de façon à lui bâillonner la bouche sans lui couvrir les yeux. Il lui bloque les jambes avec sa jambe gauche et ses bras avec sa main droite. Alicia continue de se débattre, mais l’homme la bloque avec le poids de son corps. Je hurle, mais personne ne m’entend. J’essaie de courir vers elle, mais cette force continue de me tordre les bras et m’empêche de la secourir. L’homme caresse son visage et son corps avant de venir sucer ses tétons. Puis il descend vers le bas de son ventre en laissant un long filet de bave gluant. Avec sa main gauche, il enfonce deux doigts dans la bouche d’Alicia, l’empêchant presque de respirer. J’entends l’homme renifler la culotte d’Alicia. Alors, un large sourire avec des dents jaunies se dessine sur son visage. Je déglutis, répugner par cet homme ignoble qui salit petit à petit ma joyeuse Alicia. Il baisse sa culotte avec sa main droite lâchant les mains d’Alicia. Elle en profite pour le frapper et essayer de s’enfuir, mais il ne bouge pas. Une violente gifle s’écrase sur sa petite joue. Assommée par le coup, elle ne bouge plus. L’a-t-il tuée ? Il en profite pour prendre son temps et enlever sa culotte avant de la ramener à son nez pour la sentir à nouveau. Il se replace au-dessus d’elle en lui écartant les jambes. Il continue de sentir son intimité avant de lui lécher les lèvres. J’entends un faible gémissement venant d’Alicia encore sonnée. Elle n’est pas morte, mais peut-être ce serait mieux. Je ne veux pas qu’elle souffre. Je veux qu’il ôte ses sales pattes d’elle. Je continue à me débattre, mais mes bras et mes jambes me font de plus en plus mal. Il enfonce violemment ses deux doigts dans son vagin. Alicia se réveille en hurlant de douleur et s’agite à nouveau sous l’effet de cette intrusion soudaine dans son corps d’enfant. Ces hurlements me déchirent le cœur. Il continue ses va-et-vient jusqu’à ce que le sang d’Alicia recouvre l’entièreté de sa main. Le temps de se débarrasser de son pantalon et son caleçon, il introduit à nouveau ses doigts ensanglantés dans la bouche d’Alicia. Son visage se déforme sous les hauts de cœurs qui la secouent. L’érection de l’homme est importante. En voyant cela, Alicia s’affole, elle se débat encore plus jusqu’à s’en déboîter l’épaule. L’homme retire ses doigts et crache dans sa main avant de recouvrir sa verge d’un mélange de sang et de bave. Il s’agrippe fermement au bras d’Alicia avant de s’empaler en elle. Un long hurlement suivi de sanglots perce le silence. Le violeur continue ses allers-retours jusqu’au moment où Alicia n’a plus de force pour se débattre. L’homme éjacule en elle, lâchant bruyamment un grognement. Je vois les larmes continuées de couleur le long des joues d’Alicia, mais son regard est éteint. Elle paraît morte. Il continue à la violer jusqu’à ce qu’elle ressemble à une poupée de chiffon couverte de sperme. Ce monstre se retourne vers moi près à me détruire aussi. Il s’avance vers moi.

/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\Fin du contenu sensible/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\

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Je me réveille en hurlant. Mon oreiller est complètement mouillé. Mon corps me fait souffrir, je me suis griffée les bras pendant mon sommeil. Je halète, le visage en pleurs. J’ai besoin de plusieurs minutes pour reprendre mes esprits. Je me lève et m’installe à mon ordinateur jusqu’à ce qu’on m’apporte mon repas. Je n’arrive à rien manger. Je prends une douche et pars voir M. Leconoistre. Mes jours, mes semaines et mes mois ressemblent à cela. Les sombres cauchemars et l’angoisse me hantent chaque nuit. Je n’arrive qu’à avaler un petit morceau de pain chaque jour. Le reste je le vomis immédiatement après. Paul a bien essayé de me faire manger plus, mais il a mal pour moi lorsque je vomis tout mon repas. Il me demande ce que je veux manger en espérant que je ne le vomis pas, c’est sans succès. J’ai perdu beaucoup de poids et mon état cadavérique fait peur à toutes les personnes que je rencontre. M. Leconoistre cherche à m’aider aussi, mais je dois subir les conséquences de mes actes. Si je leur dis mes faiblesses, ils s’en serviront contre moi pour me détruire, je le sais. Et puis cette attente interminable de savoir quand je subirais leurs violences à mon encontre, accentue mon angoisse. Lorsque les nuits ne sont pas trop fraîches, je me balade dans les bois. Je sens une présence proche de moi. Parfois, j’essaie de jouer avec mon destin en retournant sur mes pas pour que cette personne abuse de moi, mais chaque fois je me retrouve seule dans la nuit noire. Je dois trouver un moyen d’arrêter ce supplice. Aujourd’hui, je demanderais à M. Leconoistre des informations sur mes amis.