Fantasmagoriquement cruel
Il est là près de moi. Ses mains chaudes et douces effleurent mon visage. Son visage d’ange souriant réchauffe mon cœur. Ses yeux me scrutent tel une pierre rare. Je rougis à ses caresses sur mes joues. Je n’entends pas les mots qui sortent de sa bouche, mais cela me fait sourire. Mon cœur bat la chamade. Il me prend dans ses bras et je me blottis contre lui. Il murmure à mon oreille.
/!!!\ Attention, scène violente /!!!\
Ce passage peut choquer. Une scène de viol est décrite. Pour ceux et celles qui souhaitent continuer à lire l’histoire sans cette scène. Ce passage sera encadré par ces symboles /!\. Ce qui est décrit n'est pas tiré de fait réel.
/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\Début du contenu sensible/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\
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- Tu es à moi, comme ta mère.
Ce n’est plus Galahad, mais Léandre qui me tient dans ses bras. je me débats, mais sa prise est trop forte. Je vois ma mère un peu plus loin gisant sur le sol. Je sens son souffle glacé dans mon cou.
- Reste calme, ça ne sera pas long.
Je sens ses doigts sinuer sous mes vêtements, les déchirer. Sa langue laisse une trace baveuse sur ma peau.
- Tu es plus douce et sucrée que ta mère.
J'essayais de crier, mais aucun son ne sort de ma gorge. Je me tends pour éviter ses mains et sa langue. Il bloque mes jambes avec son corps. J’ai mal. Il me mord la peau et les seins. Il descend ses doigts le long de mes hanches.
- Hum, tes formes sont bien proportionnées et bien pleines pour ton âge. Tu es enfin une femme, comme je les aimes. Je vais peut-être prendre mon temps et laisser ma trace sur le moindre petit morceau de ta peau.
Je me débat. Je le frappe. Le pousse, mais je suis trop faible.
- Calmes toi, tu pourrais te faire mal.
Il m’attrape les mains et me tord le bras pour les attacher. Je hurle de douleur, mais je n’arrive pas à crier à l’aide.
- Pauvre petite, je vais prendre soin de toi. Je vais te rendre heureuse. Aucun homme n’a pris soin de toi. Tu verras tu en redemanderas.
Il descend encore sa main vers le bas de mon ventre. J'essaye de resserrer mes jambes l’une contre l’autre, mais il place ses jambes contre les miennes et les écarte.
- Personne n’est encore venu ici. Tu es toujours une magnifique rose sous cloche. Je serais le premier à humer ton doux parfum.
J'ai la nausée. A chacune des caresses si comme si on me m’écorchait la peau. A chaque fois qu’il lèche ma peau avec sa langue baveuse, j’ai l’impression de la sentir fondre. Chaque morceau de ma peau sous son contact me brûle de douleur.
-Laisse-moi te montrer ce qu’est l’amour d’un homme.
Il m’attrape les cheveux sur le sommet du crâne pour me relever la tête vers lui. Les maison toujours attachés en arrière, j’ai l’impression qu'on écartèle mes bras. Il m'embrasse et insère sa langue dans ma bouche. Je fais barrière avec mes dents, mais il presse ma mâchoire et je la sens cracher. Il plonge sa langue jusque dans ma gorge et me provoque un haut de cœur.
-Tu essayes de me rejeter. Tu vas voir ce que c’est de vouloir me tenir tête petite effrontée.
Il lève sa main près à me gifler. Je ferme les yeux.
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Je me réveille en sueur dans mon lit. Un cauchemar encore un, mais c’est la première fois que Léandre est dedans. Je n’ai plus de temps à perdre, je dois sauver ma mère. Elle ne peut pas rester dans les mains de ce monstre. Je ne pourrais jamais vivre en la sachant torturé par ses monstres. Je ne peux pas attendre que le plan de Galahad soit prêt alors que le mien est finalisé. Je fais mes recherches, le départ pour Léandronos est pour dans trois jours. Je suis prête à retrouver ma mère.
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