Je ne comprends pas pourquoi vous vous approchez maintenant, quand tout est déjà trop tard, quand tout commence à disparaître, quand ce tout effroyable va bientôt laisser place à la joie. Je ne voulais pas que vous vous méliez de ce qui s'est passé, en sachant que vos curiosités l'emporterait, mais je ne sais pas pourquoi vous continuez à me poser la question même après toutes ces semaines, ces jours, ces heures impossibles. Et, à quoi vous servira la réponse (mensongère ou non) de de toute façon ? Allez régler vos problèmes, laissez-moi avec les miens. Vous ne pouvez de toute façon pas comprendre ce qui me pèse sur le coeur et la conscience depuis tout ce temps où moi seule admirait le monde d'un regard nouveau aussi terrifié, énervé que triste et mélancolique.

Il fallait faire qu'une phrase ? Zut alors 0:)