Chapitre 5

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Will: - Je t'ai laissé du temps, tu sais ? Mais peut-être que je n'aurais pas dû !

Moi: - Non, non. C'est tout à ton honneur. Tu as respecté le fait que j'étais malheureuse.

Will: - Tu sais depuis quand j'attends que tu me vois comme moi je te vois ? Ça fait dix ans. Dix ans que je me retiens de ne pas t'embrasser, dix ans que de te tenir la main ou même te toucher est une torture. Et quand enfin il y a eu ce petit espoir pour nous deux, tu préfère tout gâcher de peur de me perdre. Mais tu ne me perdra pas. (Il prit mes mains dans les siennes.) Je suis là et serais toujours avec toi si tu nous donne une chance.

Moi: - Je suis désolé Will, pour le moment je ne peux pas te donner d'avantage.

Will: - Très bien ! Alors j'attendrais que tu sois prête.

♥♥♥

Ça fait dix ans qu'il espère ? Et moi je n'ai vu en lui plus qu'un ami, l'année dernière. Quand je penses à tout nos fou rire ou quand il me prenait dans ses bras. J'étais si bien ! Mais aujourd'hui c'est différent. Orff, je suis perdu !

Oncle John: - Teresa, tu es là ?

Moi: - Oui oncle John. Je descends.

Je savais qu'il était temps qu'il parte. J'avoue que je me sentais rassuré quand il était là. Mais même si il est le jumeau de mon père, il y a quelque point qui diverge. Par exemple, oncle John n'avait pas ce sourire constant qu'avait mon père sur son visage. Non, lui a toujours cet air sérieux et dégage une aura très lourde. C'est un homme très imposant, ce qui fait de lui un homme dur en affaire. Je sais qu'au fond il m'aime, je suis sa seule famille après tout.

Au bout des marches je pouvais l'entendre discuter avec une femme. Sans doute était-ce Carole. Il m'avait prévenu qu'elle resterait avec moi la dernière semaine avant que nous ne rejoignons le ranch. Je me demande à quoi elle ressemble ?

Carole: - Ah, je suppose que tu es Teresa.

Elle est si belle !

Moi: - Enchanté. Oui je suis Teresa.

Carole: - Je te voyais plus grande ! Tu ressemble beaucoup à ta mère.

Moi: - Vous connaissiez ma mère ?

Carole: - Une femme généreuse, et surtout très belle. On était tous dans la même classe.

Moi: - Ah je vois !

Après diner, je suis monté pour allé me coucher. J'étais contente de partager la maison avec une femme. De plus, il est facile de se confier à elle. C'est comme- ci j'avais l'habitude de la côtoyer.

Comme chaque soir j'attendis que les lumières s'éteignent pour rejoindre l'observatoire. Ma route est éclairé par la lune, et il fait une de ces chaleur !

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