Il se tenait là devant moi, des ailes majestueuse et son sourire qui me faisait literallement fondre. Ses yeux petillaient. Me tenant devant lui à ne pas savoir si ce que je voyais était réel. Il s'approcha et je lui sauta dans les bras, heureuse de le retrouver.

Moi - Tu es là !

Jayden - Teresa Kim . . .

Moi - Je ne veux plus jamais t'éffacer de mes souvenirs. S'il te plait fais quelque chose.

Jayden - Le choix semble t'appartenir.

Moi - Je ne comprends pas ! Si j'ai le choix, alors c'est toi que je veux. Je souhaite être à tes coté Jayden.

Jayden - Tu es prête à oublier le reste pour moi ? Ta vie, les promesses faites à ton père, tes amis ? Moi aussi tous ce que je veux c'est toi, mais serions nous vraiment heureux ?

Moi - Je n'ai aucun doute me concernant et je t'avoue que je suis attristé de t'entendre dire ça. Il est vrai que nous ne nous connaissons que depuis peu, mais pour moi, j'ai cette impression de te connaitre depuis toujours. Si tu ne partages pas mes sentiments alors, fais-moi tout oublier. Car je ne le supporterais pas.

Jayden - Teresa Kim, saches que, tu es mon monde. Tu es tout pour moi, mais je ne veux surtout pas gacher ta vie. Cette vie qui t'ai promis et qui j'en suis sur te rendra heureuse.

Moi - Rien ne me rendra plus heureuse que d'être à tes côté.

Jayden - Alors, soit.

Sur ces dernieres parole je me sentis transporter, et encore une fois plus rien, à part le vent caressant mes cheveux.

Des souvenirs qui disparaissent dans un monde vide de sens, et celui pour qui je respire, pour qui je vie, je ne peux le voir, le sentir dans une réalité ou je me sens bien. Et pourtant, ce n'ai pas mon monde. Un sentiment iréel qui m'étouffe quand je me reveil, sans savoir pourquoi ?! Me perturbant, me rendant fragile. Mais tout ce que je veux c'est comprendre . . .

Nathan - Tu viens ?

Il me fit sursauter.

Moi - J'arrive !

À peine ai-je entrouverte la porte d'entrée que tous en coeur chantaient déja " joyeux anniversaire ". J'avais oublié ce jour si particulié ou ma naissance était également le jour de la mort de ma mère, ce jour que chérissait tous de même avec mon père, car il disait avoir une chance absolu de m'avoir, moi sur cette terre. Aujourd'hui, je suis heureuse de les voir chanter tous en coeur.

À mes 18 ans !!!