Chapitre 35

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Les mots me manques quand je vois à quel point ma mère était magnifique. Le cadre posé sur mon chevet, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. J'en profita pour ouvrir la lettre qui m'était adressé, qui rien de surprenant me rappelait le rendez-vous que j'avais le Jeudi d'après.

Mais ce matin, une odeur de pain perdu me chatouilla les narines, et me sorti de mon lit comme enchanté par l'envi de deguster un délicieux petit déjeuné.

J'entendais la voix des garçons mais je ne comprenais pas d'où elles venaient. Carole semblait parler fort pour qu'ils puissent l'entendre. La tête levé au plafond elle leurs criait de trouver l'étoile.

C'est vrai, dans quelques jours c'est Noël !

Des cartons posé ici et là prenaient toutes la place dans le grand salon et on ne savait plus où poser les pieds.

Bill - Tu t'apprête à feter Noël avec la famille Becker, et je te le dit, c'est quelque chose ! Carole est à fond dans la déco, alors si tu ne veux pas être prise dans tout ce joli bric à brac fait comme-ci tu adorais les films de Noël, comme ça elle te laissera tranquille. Dit ce dernier en chuchotant.

Moi - Je penses rejoindre l'équipe des décorateurs parceque je l'avoue, j'adores ça ! Chuchotai-je à mon tour en rigolant.

Bill était peu loquace mais quand il ouvrait la bouche il avait toujours de bonne parole.

Bill - Alors dis leurs que le sapin est dejà à sa place. Et je suis sur que si tu es gentille ils te laisserons mettre l'étoile cette année.

Moi - Cette fameuse étoile !

Nathan descendit les marches de l'echelle prudemment suivit de Bryan. J'avais fais passer le message de Bill à Carole, et nous étions tous autour de ces boites sans savoir par où commencer.

C'est Bryan qui déballa le premier carton qui contenait les luminaires, s'en suivie de Carole qui commença à prendre la vaisselle dédié à ce jour si spécial à ses yeux. Tandis que Nathan avait trouvé les décorations du sapin.

Nathan - Tu veux m'aider à les mettres ?

J'acquiesca avec le sourire.

Nathan - Il te va bien ?

Moi - Quoi donc ?

Il regarda mon poignet.

Moi - Oh ça?! Merci. Je l'aime beaucoup.

Ses yeux pétillaient, et c'est en essayant d'attraper une boule de noël dans le carton que j'aperçu qu'il avait également les mains moites. D'autant plus, je sentais cette attraction qu'il y avait entre nous, mais je ne me laissais jamais aller jusqu'au bout. Peut-être la peur de le décevoir ou mon manque d'expérience face à lui, je ne sais pas, mais il y avait quelque chose qui me bloquait.

On se mit finalement à rire comme deux idiot. L'habitude de nous retrouver dans ce genre de situation a vraisemblablement fait que l'on puisse dépassé le stade de la gêne.

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