Chapitre 40

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Le bruit des gouttes résonnent dans ma tête, je ne vois rien. Où suis-je ?

Il ne fait ni froid, ni chaud, à vrai dire je ne sent rien. Je m'aventure à avancer dans la pénombre, et je ne sais comment j'ai pu arriver jusqu'une porte entrouverte, sa lumière était aussi pure que le crystal. J'ai hésité un instant, mais réster dans le noir n'était pas une option. À peine ouverte, j'avais l'impression d'avoir des milliers de voix qui résonnaient, mais il n'y avait personne.

Je suis passé de l'ombre à la lumière, en étant aussi perdu d'un coté comme de l'autre.

Les visages et les corps se dessinaient au fur et à mesure, et je commençais même à voir les mur apparaitre comme par magie. Une main me saisie soudainement, m'entrainant dans une pièce où tout était blanc. Une chaise, une table, le sol en marbre blanc jusqu'aux rideau. J'étais perdu, ibnobulé par ce que je voyais. Je savais pourtant que tout ce qui était là ne m'était pas inconnu. Comme-ci je connaisais cet endroit. Peut-être un autre rêve ? Mais celui-ci semblait si réel !

En me retournant, en face de moi ce trouvait un homme vêtu également de blanc, ses yeux brillant d'un bleu presque iréel me regardait avec stupeur, comme-ci il avait vu un fantôme.

- Je peux savoir ce que vous faite ici ?

- Je me suis perdu je crois. Où sommes nous d'ailleur ? Je ne suis pas sur de connaitre cet endoit ?

- Tu es un vieille esprit, tu n'as pas le droit d'être ici, ta place est sur terre. Ce niveau du paradis t'es interdit. Je devrais t'emmener devant Raphaël.

- Raphaël ? Ecoutez, je veux juste retourner chez moi.

- Jay, tu m'entends ? Une de tes âme c'est égaré. Il s'arrêta un moment avantde reprendre. Très bien je l'emmène sur l'embarcadère. Allons-y.

Je traversa le long couloir avec les yeux rivé sur moi.

- Tu as de la chance que ce ne soit pas Raphaël qui t'a trouvé.

Bien qu'il me parlait, je n'y prétais aucune attention. J'étais bien trop curieuse d'observer ce qu'il y avait autour de moi.

On arriva ensuite devant une grande porte d'or, celle-ci avait pour poignet deux têtes de lion. Quant celle-ci s'ouvrit, la lumière ne manqua pas de m'éblouir à en devenir presque aveugle. Mais au fur à mesure que celle-ci se dissipait je pû voir apparaitre un magnifique champs de myosotis et de marguerite. J'avais encore cette sensation de connaitre cet endoit.

Au loin des toiles de tante en tissu coloré de bleu, de rose et de rouge faisaient face à la mer. Des bateaux en bois sculpté brillaient par leurs vernis et s'appretaient à prendre la mer.

On se hâta et je fût aidé à monter à bord, le capitaine se tenait face à l'horizon et s'apprêtait à prendre la mer.

En se retournant, quel ne fut pas ma surprise à me rendre compte que je le connaissais. Tout mes souvenir remonta à la surface.

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