L'histoire...
Je vais commencer par parler un peu de moi. Je m'appelle Lola, j'ai 19 ans et je viens de terminer ma première année à l'université. Je vis toujours avec mes parents, leur maison est relativement proche de mon université et j'apprécie franchement le confort que ça m’apporte. Au lycée, je jouais au handball, mais depuis que je suis à l’université, j'ai arrêté parce que la moitié dede l'équipe s'est arrêtée et je ne voulais pas me relancer dans une nouvelle équipe. J'ai essayé de remplacer cette perte d'activité en allant dans une salle de sports, mais comme tout le monde le sait, il peut parfois être difficile de se traîner jusqu'à la salle, donc mon objectif d’y aller trois fois par semaine n'a pas été atteint. Heureusement, ma silhouette athlétique ne m'a pas encore quitté.
Avant que cette histoire n'ait lieu, j'étais encore vierge : j'avais bien sur embrassé quelques mecs, des filles aussi, mais personne d'autre que moi n'avait passé ne serait-ce qu’une main entre mes cuisses. Pour dire vrai, je ne suis pas totalement arrêtée sur mon orientation sexuelle. Avant l'université, je me considérais plutôt hétéro. J'avais des petits copains classiques de courte durée, avec qui cela se limitait au baiser langoureux ; mais à l'université, à la faveur de l’alcool, j'ai aussi embrassé quelques filles et, étonnamment, j'ai tout autant apprécié. Donc je me décrirais comme bi-curieuse... Qui s'en soucie de toute façon de nos jours ?
Commençons cette histoire. Quand je jouais encore au hand', j'avais un groupe d'amies proches composé de 5 filles. Après que l'équipe se soit séparée et que nous soyons toutes allées dans différentes universités, nous avons un peu perdu le contact. De temps en temps, nous nous envoyons des messages pour nous donner des nouvelles, mais rien à voir avec l'amitié que nous avions lié et cela m'a un peu déçue. Nous partagions tout entre nous et pouvions parler pendant des heures. Ainsi, lorsque Julia a envoyé un message dans l'ancienne discussion de groupe, j'ai immédiatement été enthousiaste. Elle venait de déménager de son dortoir pour emménager dans son propre appartement, et voulait nous inviter pour une petite pendaison de crémaillère. J'ai immédiatement accepté l'invitation car j'avais hâte de retrouver les filles, tout comme Sophie. Malheureusement, Barbara venait de déménager en Espagne pour un programme d'échange, elle n'a donc pas pu venir. Lucie a d'abord dû discuter avec son petit ami pour confirmer qu’elle était libre. C'était une réaction attendue de sa part car depuis qu'elle et son copain ont emménagé ensemble, elle a commencé à devenir moins extravertie et elle est même devenue un peu coincée je trouve. Au bout de quelques heures, elle a heureusement également annoncé qu'elle se joignait à nous : Trois, c'est une entreprise, mais quatre, c'est la fête ! On se retrouverait dans deux semaines.
Quand le jour fut enfin là, je réfléchis à ma tenue. Nous ne sortirions probablement pas, alors j'ai opté pour une simple chemise à col en V et un jean moulant. Quand j'ai ouvert mon tiroir à sous-vêtements, j'ai réalisé que j'avais oublié de mettre mes strings à la machine et je n’en avais plus. Sortir “à la fraîche", je le fais de temps à autre, allons-y, de toute façon je n’ai pas le choix. Oh! puis personne ne le remarquera de toute façon.
Je suis donc allée chez Julia, j'étais la deuxième à arriver. Lucie et Julia étaient déjà assises avec un verre de vin à la main. Une demi-heure plus tard, Sophie a sonné. Sophie avait toujours été la plus extravertie de notre groupe et après avoir intégré un internat de filles pour ses études secondaires, elle est devenue encore plus extravertie : son entrée fait l’effet d’un tourbillon d'énergie qui balaie la pièce. Elle me prend d'abord dans ses bras, me serre très fort, presque un peu trop longtemps ! À l’issue de cette étreinte, elle me touche les fesses et me dit en plaisantant que je suis toujours aussi bien roulée. (Nous avons toujours été très tactiles entre nous : de petites tapes sur les fesses, des chatouilles, des câlins.) Alors moi, pas démontée, j’empoigne à mon tour ses fesses au travers de son legging et lui demande si elle fait toujours des squats. Nous en rions pendant que Sophie embrasse Julia et Lucie.
Nous sommes assises et Sophie sort une bouteille de tequila de son sac. Julia sort quatre verres à liqueur et les met devant nous et c’est parti !!! Seule Lucie, plus sage, renâcle un peu à enchaîner les shots… On est bouillantes, nos retrouvailles nous font du bien et on rigole de bon cœur.
Après quelques verres de vin et quelques shots, l’interphone sonne. Julia a cadenassé son vélo à celui de son voisin et il veut l'utiliser... Julia descend rapidement pour régler le problème. Sophie toujours aussi fofolle voit là une bonne occasion pour “inspecter” un peu plus en profondeur le studio de Julia. Lucie et moi restons à table et l’observons. Elle trouve une boîte en carton planquée sous le canapé-lit... Lorsqu'elle l'ouvre, ses yeux s'agrandissent instantanément et un sourire presque diabolique se forme sur son visage. Elle tend la main et sort un gros vibromasseur violet. Je ne suis pas une experte, très loin de là, mais je dirais qu’il fait au moins 18cm ! Lucie dit à Sophie de vite reposer ça, que c’est sa vie privée et que cela ne la regarde pas, mais Sophie s’en moque et le met en marche à sa puissance maximale.
« Oh mon dieu” glousse-t-elle, “cette chose est un véritable marteau-piqueur ! » Elle apporte le vibromasseur à la table et commence à l’approcher de mon visage.
"oh !, éloignez-moi de cette chose" ai-je ri en la repoussant.
Sophie se tourne ensuite vers Lucie et essaye de frotter la “chose” violette sur son visage, mais elle se vexe immédiatement. Elle bondit de sa chaise en s'exclamant : “Arrête d'être si grossière et puérile, qui sait où a été cette chose !"
En réaction, Sophie porte la chose à son nez et le renifle instamment. "Ça ne sent pas la chatte !!!"
À ma grande surprise, elle lèche ensuite doucement le bout du vibromasseur. "Je n'ai pas non plus le goût de la chatte, Julia doit bien le laver."
« Mais tu es dégueulasse ! Et comment saurais-tu même quel goût ça a ? » Lucie a formulé sa phrase comme une question qui n'attend pas forcément de réponse, mais Sophie n'hésite pas à y répondre.
"Quoi? Vous ne vous léchez jamais les doigts en vous caressant ? » Sophie lèche deux de ses doigts d'un air moqueur. Moi je ris maladroitement en les écoutant. Autant stupéfaite par l’audace de sophie que par la réaction de Lucie
Sophie se tourne vers Lucie : « Tu n'as jamais sucé la bite de ton copain après l'avoir chevauché ? Êtes-vous si prudes les filles ? »
Lucie semble visiblement en colère et elle crie presque en retour: "Je ne te dévoilerai rien concernant ma vie sexuelle."
Pile à ce moment-là, Julia ouvre la porte et entre avec un air surpris. « Je suis partie trois minutes et vous vous disputez déjà. Vous tentez un nouveau record. » dit-elle en plaisantant.
Sophie darde “la chose” à la manière d’une épée en direction de Julia. "Lucie a peur de ton petit ami violet ahahah."
Julia rigole et attrape le vibromasseur des mains de Sophie. "Si tu appelles cela un “petit” ami, je ne veux pas connaître tes amants ahahah !"
Nous rions et nous nous remettons à table. Julia jette le vibromasseur sur son lit et le laisse là.
Tout redevient rapidement normal, même Lucie a l'air de recommencer à s'amuser. Après environ une heure, nous sommes relativement saoules, alors Julia nous demande si nous voulons manger quelque chose, nous acquiesçons. Julia farfouille dans les placards et ouvre un tiroir bas. Elle se penche pour chercher des noix de cajou et des chips. Elle porte une petite robe d'été blanche et légère qui tombe à mi cuisse. Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais la robe n’a pas un décolleté profond, bref, c'est classe mais sexy. Du fait de la longueur de sa jupe, et de la façon dont elle se penche, nous devinons son string en dentelle blanche. Sophie, toujours prête à faire la folle, y voit une occasion rêvée. Elle prend sournoisement “la chose violette” sur le lit, la met en marche au niveau le plus élevé et le plaque rapidement contre l'entrejambe de Julia. Julia pousse un cri aigu et essaye de s'éloigner de cette chose vibrant entre ses jambes, mais elle ne peut pas, coincée par le meuble de la cuisine. Ses cris se transforment en rires alors qu'elle pousse ses fesses contre le visage de son assaillante, ce qui fait tomber Sophie sur le dos qui glousse de plus belle. Julia se tourne vers elle, et alors que leurs regards se croisent, elles éclatent de rire. Je ris avec elles, mais Lucie est choquée. Il n’en faut pas plus pour que Sophie rampe vers Lucie et pose “la chose” encore vibrante contre son entrejambe. Lucie tente de s'éloigner, outrée, mais Sophie insiste et la poursuit en tentant de la “poignarder” avec cette abominable bite violette. C’est la goutte de trop pour Lucie, sans un mot, elle attrape son sac et son manteau et se précipite vers la porte. Nous laissant bouche bée.
Sophie est la première à parler : « Merde, apparemment cette bite est effrayante, il faut vraiment que je l’essaye !" Ça nous fait rire à nouveau et ça incite Sophie à se retourner sur le dos et à pousser le vibromasseur entre ses propres jambes. La fine étoffe de son legging ne crée aucune défense contre les puissantes vibrations, et après quelques secondes, elle laisse échapper un gémissement. Elle se couvre la bouche, éteint rapidement le vibromasseur et glousse maladroitement.
"oh putain ! c'est beaucoup mieux que ça en a l’air." dit-elle en agitant les mains près de son visage comme pour s’aérer.
Julia explique : "Oui, ce truc était vraiment cher, mais ça valait le coup. Regarde ce que ça m'a fait ! Elle souleva sa robe et révéla une petite tache humide sur son string.
Sophie se relève et se tourne vers moi. " Lola, Tu dois essayer “la chose”, ça va changer ta vie." Elle me prend la main, me tire de ma chaise et me pousse sur le lit. Elle chevauche ma poitrine, ses fesses sont contre mon visage et ses bras tournés vers mes jambes. J'essaye de la repousser mais je crois qu’en réalité, j’ai envie de savoir... Sophie commence à faire bouger le « changeur de vie » vibrant entre mes jambes. Mais le tissu épais de mon jean m'apporte une certaine “défense” contre les vibrations. Donc, même si c'est plutôt bien, c'est loin d'être aussi bon que ce que mes copines prétendent.
Je les taquine : “Alors c'est juste ça, hein ? Je n'ai pas l'impression que ma vie a changé.”
"Ça doit être à cause de ton jean ma belle, c'est comme une ceinture de chasteté moderne." Sophie essaye immédiatement de défaire mon pantalon. « Tu dois essayer uniquement avec une culotte, comme nous ! »
Le problème c’est que je ne porte pas de culotte. Je recommence à lutter mais à deux contre une c'était peine perdue… au fond, ça me gêne un peu mais ça m’amuse beaucoup aussi. On s’est déjà vues nues tellement de fois dans les vestiaires du hand’. Pour me défendre un peu, j’attrape les fesses de Sophie et je les mords. Sophie crie et saute immédiatement. Elle me regarde avec un mélange d'énervement et de surprise. « Pourquoi as-tu fait ça ? »
Je ne sais quoi inventer pour me trouver une excuse...ça n'a aucun sens car Sophie semble déterminée à remplir sa mission. Mon visage commence à devenir rouge lorsque j’admets à contrecœur ne porter aucun sous-vêtement. Le visage de Sophie s'éclaire de nouveau de ce sourire légèrement diabolique lorsqu'elle déclare : "Alors il n'y a pas d'autre option pour toi que de prendre ce monstre peau à peau... comme il est censé être utilisé de toute façon ! On t'a déjà vue nue un nombre incalculable de fois pendant l'entraînement, donc je ne vois pas où est le problème ? "
À ce moment-là, je sais qu’il me sera impossible de convaincre Sophie du contraire. En plus, je suis un peu curieuse de savoir si cette “chose” est aussi incroyable que ce qu’en disent mes copines. Je termine donc le travail de Sophie, à savoir déboutonner mon pantalon, et je le retire. Je m'installe à nouveau sur le lit, Sophie, enhardie, appuie sur mes genoux pour que j’écarte les cuisses, exposant ma petite fente vierge et parfaitement épilée. Elle s’assoit à genoux sur le sol entre mes jambes pendant que je m'allonge sans défense, cul nu, sur le lit de Julia. Julia regarde mon sexe avec curiosité alors que Sophie caresse maintenant tendrement l’interieur de mes cuisses et glisse inexorablement vers mes mes grandes lèvres.
"Je vais commencer sur le réglage le plus bas parce que tu es la première aujourd'hui à le prendre nue, nous verrons si tu pourras atteindre le niveau 4.." Sur ces mots, Sophie pose la chose sur mon aine. J'inspire fortement, c’est une sensation étrange... Inconsciemment je retiens maintenant mon souffle. Elle le maintient là pendant un moment jusqu'à ce que je recommence à respirer. Puis elle commence lentement à le faire rouler de gauche à droite sur mes lèvres. Je passe mes mains dans mes cheveux puis attrape les draps au-dessus de ma tête. À chaque fois qu'elle passe sur mon clitoris, j’empoigne plus fort les draps. Soudain, Julia s'assoit à côté de moi et, d'un mouvement fluide, retire ma chemise et mon soutien-gorge par-dessus ma tête, me laissant entièrement nue.
Je n'ai pas le temps de protester et sans avertissement, Sophie augmente l'intensité des vibrations et maintient maintenant le phallus en silicone, pressé sur mon clitoris. Je ne peux plus réprimer mes gémissements. Julia met sa main sur ma bouche : "Pense aux voisins." me dit-elle d’un ton taquin, alors que son autre main passe sur mon ventre et ma poitrine. Sophie tient fermement la chose vibrante contre mon humidité, Julia masse mes seins et pince mes mamelons tout en couvrant ma bouche. Sa main douce explore mon corps, cette sensation se combine au plaisir produit par mes régions inférieures, je peux sentir l'orgasme approcher, mais juste au moment où je sens que je suis prête à jouir, Sophie retire la “chose”. Me laissant haletante et palpitante.
Sophie est fourbe, son sourire diabolique prend tout son sens. Elle me regarde et augmente l'intensité. A nouveau elle fait aller et venir la pointe de haut en bas sur ma fente. Elle descend jusqu'à mon anus, et cela me surprend, jamais je n’ai encore osé m’y aventurer dans mes jeux solitaires. Elle remonte jusqu'à ce qu'il touche à peine mon clitoris. Je peux sentir mon pubis recouvert de mon jus et mes hanches qui accompagnent les mouvements du jouet. Julia resserre sa prise sur ma bouche alors que Sophie augmente une dernière fois l’intensité du vibromasseur. Ma bourelle aligne la “chose” avec mon vagin et doucement elle applique un peu de pression. Julia augmente sa prise sur ma bouche pour contenir mes gémissements, tout en continuant ses massages sur ma poitrine devenue hypersensible.
Les seules choses qui ont jusqu'à aujourd'hui pénétré mon vagin sont mes propres doigts, et seulement deux à la fois, alors me faire déflorer par cette bite violette et vibrante relativement énorme n'est pas exactement quelque chose que j'avais envisagé quand je me suis réveillé ce matin. La main de Julia sur ma bouche et mes gémissements incontrôlables m'empêchent de le leur dire. Ma vulve est complètement trempée, je crois même que je n’ai jamais été aussi mouillée de ma vie Sophie n’avait pas tord, cette chose “change la vie” !!! Bref, Sophie n'a aucune raison de stopper l’inexorable avancée de ce premier objet phallique en moi, qui, centimètre après centimètre, m'écarte violemment, dans une sensation de douleur et de plaisir intense mêlés. Avant même qu'elle ne l'ait complètement mis en moi, je ressens l'orgasme le plus bouleversant que je n’ai jamais connu. À chaque vibration, des ondes de plaisir pulsent à travers mon sexe, rendant tout mon corps tendu, et deformant mes hanches. Mes jambes tremblent, ma vision se trouble, Sophie en profite pour imprimer à “la chose” une dernière poussée plus brutale qui achève l’inexorable avancée du vibromasseur à l'intérieur de mon corps. Je me sens remplie et satisfaite, c’est terriblement bon. Elle le retire doucement, je sens mon étroit fourreau enserrer cet objet diabolique sans doute beaucoup trop gros pour moi. Je cambre mon dos et je crie, elle le refait entrer profondément. Oh! mon dieu ce que c’est bon Des vagues orgasmiques traversent mon corps. C’est une sensation indescriptible de bien être.
Une fois mon orgasme terminé, Julia retire sa main pour me redonner un peu d'air et j'essaie de reprendre conscience. Sophie éteint le vibromasseur, elle s’assoit à côté de moi, caresse ma joue avec attention et sourit. "Je t'avais dit que ça changerait ta vie."
Elle mets ensuite le bout de la “chose” contre ma lèvre inférieure et la pousse contre ma langue. « Maintenant, toi aussi tu connais le gout de la chatte” Dit-elle alors que je referme mes lèvres autour du gland violet. "hummm… tu es très excitante en train de sucer cette bite." Les mots de Sophie assez étrangement me font me sentir désirable.
Étonnamment, il a en fait un goût assez agréable. C'est bizarre, à peine amer, légèrement piquant, mais aussi assez chaud. Sophie le retire de ma bouche et je fais passer ma langue sur mes lèvres. « En fait, c'est plutôt bon ! ahah ! »
"Vraiment ? " dit Sophie d'une voix aiguë. « Eh bien, il faut que j’essaye alors ». Elle s’approche de moi, m'embrasse goulument, replonge le vibromasseur dans ma fente, le retire et le goûte… "Tu as raison, tu es savoureuse ma chère Lola, puis-je goûter directement à la source ?." Sans même attendre ma réponse, elle met sa tête entre mes cuisses. Elle fait glisser sa langue entre mes lèvres sur mon clitoris encore très sensible, mes jambes tremblent de nouveau, cette caresse me renvoie de nouveau des décharges orgasmiques puissantes. “Savoureux, délicieux même ma chère Lola!”
Sophie s'allonge contre moi. elle pose ses mains sur mon nombril. « Sais-tu qui a aussi une chatte absolument délicieuse ? » Il y a une petite lueur dans ses yeux, et l’esquisse d’un nouveau sourire diabolique...
Je m'attends à ce qu'elle dise qu'elle veut que je la goûte ou quelque chose dans le genre, mais quand je lève la tête pour connaître sa réponse, je vois Sophie et Julia déplacer leurs visages l'une vers l'autre. Elles se regardent dans les yeux. Julia est à quatre pattes à côté de moi je vois sous sa jupe. Son string est tellement trempé qu'il est devenu transparent et je peux voir ses lèvres se presser contre le tissu. Je repasse la langue sur mes lèvres et le goût de mon propre jus remplit à nouveau ma bouche....
Fin...
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