Greta tu l'auras cherché
Un bras m'encercle la poitrine et une main massive se plaque sur ma bouche pour étouffer tout juste le cri effrayé que je viens de pousser. Il me pousse dans cette chambre, je suis rassurée de réaliser qu'il s'agit de celle de Valentin.
Essoufflée je me retourne, ma robe est toute débraillée et ses mains m'écrasent tendrement le fessier pour un baiser endiablé de nos langues qui s'échauffent l'une autour de l'autre. Les restes de l'odeur de sa virilité ont parfumé légèrement mes lèvres rosées, nous sommes haletants et je me retrouve complètement soumise à ses baisers, j'ai du mal à riposter beaucoup trop excitée je gémis d'une voix aigüe en sentant ma robe remonter sur mes fesses. Valentin les masse, avide de sexe.
- Tu m'as fait peur ! Ne refais jamais ça ! Dis-je en le grondant. J'ai frôlé la crise cardiaque !
- Je suis désolé de t'avoir effrayée, grogne Valentin en embrassant ma poitrine sur le décolleté. Je saurai me faire pardonner.
Sa main glisse dans l'ouverture de ma robe, je sursaute lorsque ses doigts atteignent mon Monts de Vénus. La bouche entrouverte, je me relâche pour me laisser aller à ses caresses voluptueuses. Il me déshabille pour m'installer nue sur son lit, il me rejoint dans le plus simple appareil, nos joues s'empourprent. Je décide de reprendre la main, je roule sur son corps, mes seins pointus s'écrasent sur le bas de son ventre, mon sexe est à proximité de son visage.
Goûlue, je reprends sa vigoureuse érection en bouche, ainsi dans cette position je peux l'emmener encore plus loin en moi. Ses lèvres charnues bécotent mon clitoris bombé, bien ressorti à cause de l'excitation et du désir que j'ai pour cet homme. Sa langue caresse le sillon de mon vagin, délicatement il la fait entrer dedans pour s'abreuver directement à la source. Ses doigts viennent agripper mes mamelons, tirer dessus pour les faire davantage ressortir de leurs aréoles, ma cyprine englue sa langue et ses doigts pénètrent mon intimité dans des va-et-vient tendres, il prend le temps.
Je masse ses testicules avec ma main gauche pendant que sa verge prend d'assaut ma gorge dans un léger mouvement de bassin. Ma langue me fait saliver, elle paresse sur sa tige raide de haut en bas, de bas en haut en alternant les cadences.
Des soupirs et des râles rauques sortent de sa gorge, je l'excite au plus profond de lui, quel bonheur pour moi de l'avoir à ma merci et d'être à la sienne. Je ressors son membre imposant, gonflé d'excitation, ma langue agace son frein et le dessus de son gland, Valentin gémit bruyamment en écartant mes fesses pour intensifier ses aspirations et ses succions.
Le bel homme me doigte au nombre de trois doigts, je dégouline de mouille, les sensations qui m'irradient sont bien intenses, me pétrifient presque. Son pouce caresse mon anus, petits mouvements rotatifs, j'hurle de plaisir le souffle court.
- Hummm Greta, hummmmmm que tu es douée, pompes moi ma belle, j'adore ça ! Hummmmm ouiiii ! Hummmmm trop bon, vas-y suces moi à fond. RRRRRrrr haaaaaan ouaiiiis !
Je redouble d'efforts et je le branle énergiquement. Mes cris résonnent dans la pièce, j'aime sa façon d'attraper mes petites lèvres, de les enrouler entre ses dents et de les sucer avec entrain pendant que sa langue offre du plaisir à mon clitoris. Ma chatte dégouline abondamment, je suis dans un tel état de plaisir et je me mets à trembler lorsque son index entre dans mon petit trou pour le masturber lui aussi avec précaution.
- Haaaan ouiiii haaaaaaaaaaaan ouiii, Valeeeeentin ! Tu vas avoir raison de moi, gémis-je fortement.
- J'y compte bien princesse, j'adore quand tu prends ton pied, coquine !
Ma poitrine a bien gonflé, elle se soulève de façon désordonnée contre le ventre du bel homme. Je me sens jouir sur sa bouche trempée, mon ventre se contracte et mes gémissements remplissent la pièce.
- Hummmmm je jouis.... Cris-je. Haaaan ouiii je jouis ! Hummmm haaaan ouiiiii....
Ma bouche est remplie de l'épaisseur de son sexe, je glousse en continuant mes va-et-vient sans négliger l'extrémité de son pénis. Ma main le branle avec énergie, je sens le sperme circuler sous sa peau, Valentin est à deux doigts de gicler et moi je n'en peux plus. Mes hanches remuent vivement, mon minou est sollicité par les doigts et la bouche de mon partenaire, ma cyprine coule de plus en plus, je jouis encore une fois emportée par un orgasme puissant.
Valentin m'interrompt en me soulevant la bouche hors de portée de son engin, il me blottit contre son torse, je le regarde frustrée de ne pas l'avoir fait jouir.
- Greta, je veux me réserver pour la suite, j'ai envie de toi...
- Alors prends moi ! Répondis-je yeux dans les yeux. Je veux sentir ta bite me prendre !
Valentin m'embrasse avec gourmandise, le souffle court, haletant comme pas possible. Cela dure plusieurs minutes le temps qu'il parvienne à attraper une capote dans le tiroir et de pouvoir la dérouler sur son bâton. Ses lèvres ne me quittent plus, elles continuent à m'exciter alors que son gland tourne sur mon berlingot sucré. J'ouvre davantage mes cuisses, mes talons lui entourent la taille et d'un grand coup de reins je sens sa bandaison perforer sensuellement mon vagin qui lui cède. Nous gémissons à l'unisson, ses mouvements sont sauvages à ma demande, je veux être comblée, prise d'assaut.
Les yeux révulsés, mes bras entourent son cou, j'ondule mes hanches dans de sublimes va-et-vient pendant que sa queue énorme me laboure la chatte. Je la sens profondément, elle me baise comme jamais. Il halète bruyamment, lâche des râles d'effort le corps transpirant à grosses gouttes, je gémis à outrance comblée par cette belle bite experte. Ma poitrine rebondit au rythme du ballotement de ses couilles contre mon clitoris.
Les coulissements sont sonores, je la sens bien va-et-venir en moi, Valentin me serre plus fort contre lui pour me donner de puissants coups de bassin. Elle s'écrase au fond de mon vagin qu'elle comble bien, essoufflée je me retire, repousse Valentin le dos sur le matelas pour reprendre l'avantage. Je m'assois à califourchon sur ses cuisses, me penche en avant pour prendre appui sur son torse pour me relever et remettre ma robe.
- On nous attend pour le dessert, je ne voudrai pas éveiller des soupçons, dis-je. On poursuivra plus tard dans de meilleures conditions.
Je jette un dernier coup d'oeil à Valentin, il se tient debout devant le lit avec une érection impressionnante, le bâton bien raide ne demandant qu'à jouir. D'un pas élancé j'ouvre la porte de la chambre, la referme avec précaution avant de rejoindre la réception.
Annotations
Versions