Chapitre 117

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Iseline me propose de la prendre en levrette au bord de la table. C'est le moment pour moi de mettre mon endurance à rude épreuve, la vue sur le fessier d'une magnifique femme m'est presque insoutenable. Mon excitation démarre au quart de tour quand c'est comme ça. Ma partenaire me tourne le dos et s'amuse à twerker pour me chauffer, directement je la bloque pour m'imiscer dans son petit fourreau que je trouve étroit par rapport à d'autres femmes. Parfait pour être titillé de partout. Je démarre les pilonnements très lentement tout en malaxant ses fesses sexy, cela dévoile même sa petite étoile. Je vois qu'elle est active la coquine ! Iseline se caresse le clitoris en tournant très rapidement dessus visiblement, par moment je joue avec ses seins qui sont un peu attirés vers le bas lorsqu'elle se penche en avant.

Je fixe le mur délabré juste en face de moi pour ne pas avoir un visuel trop stimulant, mes va et vient me procurent un sentiment de bien-être où je ressens chaque mouvement du coït. J'écarte les globes fessier d'Iseline pour pouvoir accélérer un peu, je m'essouffle assez vite avec les massages que me fait son vagin tout autour de ma tige. Meilleure sensation que quand elle m'a branlé, je sens bien la peau de ma verge coulisser et mon gland être comprimé par les légères contractions de son intimité. Je me penche en avant pour embrasser la nuque de ma partenaire en pointant par moment ma langue entre chaque baiser que je lui donne, je descends jusqu'au milieu de son dos. Sa réponse est un râle sensuel en me regardant sur le côté avec un large sourire, je recommence. Mes mains frôlent son dos de chaque côté de sa colonne vertébrale je sens qu'elle se relâche bien et qu'elle est en parfaite confiance avec moi.

Iseline colle presque sa grosse poitrine contre la table pour pouvoir mieux cambrer son bassin pour que ses fesses massent la base de mon pénis ainsi que l'arrière de mes testicules, je grogne tout haletant la position m'excite beaucoup surtout lorsque ses fesses s'agitent devant mes yeux et que sa vulve me fasse une danse sur toute la longueur de ma verge.

  • Hum oui bébé, c'est bon comme ça. J'aime quand tu fais remonter tes fesses comme ça hummmmm tu me chauffes Iseline... Haaaan c'est bien comme ça continue, oui encore ma jolie...

Je perds un peu l'équilibre en voulant attraper son sein gauche ainsi que son clitoris, mes butées se font plus puissantes jusqu'à la faire valser d'avant en arrière sous le poids de mon corps. Mes cuisses tremblent entre plaisir et le fait d'être mal positionné par rapport à la table, je ferai dix centimètres de plus ce serait parfait !

Iseline hurle de plaisir et tente de se bloquer elle-même la bouche afin que l'on ne se fasse pas surprendre en train de baiser en plein milieu du local d'entretien. Son fourreau me serre à multiples reprises et vu les spasmes que subit Iseline je pense que je viens de la faire jouir. Ses halètements sont presque des essoufflements exagérés jusqu'à souffler bruyamment, je pilonne le plus rapidement possible, elle m'accompagne sauvagement je ne vais pas tarder à balancer la sauce.

Cinq minutes après c'est compliqué de tenir je ferme les yeux en serrant les dents en mimant des coups de marteau piqueur, je dois absolument résister encore un peu Iseline est presque prête pour avoir un nouveau orgasme.

La jeune femme pleure de plaisir mêlé à des rires mi-graves, je la maintiens avec fermeté pour lui infliger le dernier assaut tout en stimulant ses zones érogènes. Nous jouissons à l'unisson tous les deux secoués par les vagues de plaisir. Iseline se retourne heureuse avec les larmes aux yeux, elle plonge ma lance à travers ses lèvres intimes pour profiter des derniers va et vient doux que je peux lui donner avant de perdre mon érection. Ses mouvements se font avec lenteur autant pour l'un comme pour l'autre et nos bouches s'entrouvrent pour se caresser sensuellement. Je capture ses lèvres en les pinçant entre les miennes avant de faire pointer ma langue tout autour de la sienne, je la libère en caressant une dernière fois sa poitrine, un dernier petit baiser puis je me retire pour enlever la capote au bout moment il n'aurait pas fallu traîner plus longtemps.

  • Bon pas si prétentieux que ça s'exclame Iseline. Tu es un bon coup je le reconnais ! Et j'ai adoré on remet ça quand tu veux chéri !

Je réponds par un sourire dans le silence complet en me rhabillant. Je n'ai aucune idée de si Iseline et moi ça aura de nouveau lieu mais c'était très sympa et ça m'a fait beaucoup de bien. Iseline vérifie que la voie est libre pour se faufiler dehors je lui emboîte le pas et son visage est tout aussi radieux que le mien. Ça lui a même donné de jolies pommettes et elle rougit quand elle croise mon regard.

Nous rejoignons nos amis dans la salle de jeux en prenant place sur les fauteuils. Je soupire alors que Spencer me tape avec ses grosses mains sur les épaules avec son sourire taquin, je crois qu'il a compris alors je réponds par une mimique malicieuse.

  • OooooooooooOOOOOOOOOoooh tu l'as fais ? ! Déclare t-il à voix haute, j'hoche la tête. Ohhh j'en étais sûre topes-là mec !

Je frappe dans la main qu'il me tend, il me secoue de nouveau en m'acclamant presque dans des hurlements qui font tourner la tête de Gretel dans notre direction.

  • Que se passe t-il vous deux ? Demande t-elle à sa copine.

  • J'ai essayé la bite del pretencioso pardis ! S'exclame Iseline toute fière. Et c'était tellement bon, on a enchaîné les orgasmes !

  • Ah... C'est cool répond Grett déçue, je ressens un pincement au coeur lorsqu'elle dirige son regard vers le mien.

  • Ah ça va ! On peut bien s'amuser et se détendre un peu ici ! On en bave tous les jours on peut bien s'accorder quelques plaisirs ! Rétorque Iseline. Surtout que c'est purement sexuel, on a rien fait de mal !

Ludwig nous fait un accès de colère, sa réaction incompréhensible jusqu'à renverser le fauteuil en velours sur lequel il était posé. Debout penché vers moi il pointe son index sur mon torse.

  • Toi, là ! T'es pas un vrai ami ! Me balance t-il au visage. Ce n'est plus la peine de m'adresser la parole ! Je ne peux plus te voir ! Tu me dégoûtes au plus haut point !

Agacé je me lève brusquement me heurtant contre son corps, mon torse se plaque au sien je le bombe pour être le plus grand possible face à son mètre quatre-vingts-cinq qui n'impose pas grand chose. Ludwig est presque tremblant devant mon air menaçant et mes yeux sombres. J'use ma voix pour le calmer mais là c'est moi qui monte en pression. Je pourrai lui foutre sur la gueule pour le faire redescendre. Mon côté bagarreur se réveille petit à petit.

  • En quoi je ne suis pas un vrai ami ?! Je t'ai déjà mentionné mes intentions envers Iseline et le fait que l'on se tournait autour ! Tu n'avais pas l'air contre qu'elle et moi on puisse baiser ! Je n'ai rien fait dans ton dos alors c'est quoi cette réaction à la con ?! T'es jaloux de ne pas avoir osé le faire toi même ?! Tu ne m'as jamais dis que ça te dérangeait ! Si ça avait été le cas, je n'aurai rien fait ! Je ne suis pas un connard !

Furax je donne un grand à-coup dans les épaules de Ludwig pour le destabiliser et le pousser de quelques mètres, dans ses moments là ma nervosité multiplie ma force. Ludwig n'ose pas riposter, j'entends une des filles hurler mais je ne sais pas laquelle s'adresse à moi étant omnibulé par mon équipier.

  • Aller t'as rien dans le bide !

Je le pousse encore plus violemment, il se cogne le dos contre la grosse bibliothèque qui valse de gauche à droite et de droite à gauche. Je l'entends pousser des plaintes avant de revenir à la charge les poings en avant, il veut jouer à ça il ne sait pas de quoi je suis capable !

Le corps de Gretel vient faire obstacle entre nous c'est ce qui m'oblige à arrêter mon coup de poing qui allait partir. Mon poing effleure son bras alors qu'elle me fait face apeurée et haletante, elle ne s'est cependant pas dégonflée pour tenter de me canaliser.

  • T.U. T.E. C.A.L.M.E ! Articule t-elle en me prenant par les épaules, je lutte pour ne pas l'écarter de mon passage. T'ain mais vous êtes vraiment cons tous les deux ! (Sa voix tremble). Se foutre sur la gueule pour ça ! Vous êtes vraiment minables en fait ! Et toi un peu plus et tu m'en foutais une ! ÇA NE VA PAS BIEN !

  • Je ne t'ai pas dis de te mettre en travers de mon chemin aussi ! Répondis-je froidement.

  • Et moi je n'avais pas envie de voir mes deux amis se cogner dessus ! Me remballe Grett.

Ses narines se dilatent tout comme les larmes qui lui viennent aux yeux. Nos visages sont proches l'un de l'autre, ça me calme un peu mais sans plus. Par contre sa proximité me trouble, je repense au baiser que l'on a échangé lors de notre jeu, je n'ai pas à m'en prendre à elle. Je baisse la tête honteux de m'être emporté contre mon ami de la caserne et cette fille qui m'accompagne dans chaque épreuve en tant que binôme.

  • Je suis désolé...

Je prends Grett par les poignets pour m'écarter d'elle alors que Ludwig s'avance jusqu'à moi pour me dépasser, il se retourne une dernière fois.

  • T'es désolé de rien du tout, tu l'as fait ! Et tu ne penses qu'à toi ! Tu agis solo comme un chien fou ! Rétorque mon ami.

Je me mords la lèvre ne trouvant rien à répondre, il ne vaut mieux pas d'ailleurs. Iseline part en courant sans doute pour rejoindre Ludwig, Spencer se met à rire de la situation en me félicitant de champion. J'ai beau chercher, je ne comprends pas la réaction qu'a eut Ludwig. Nous entendons Ludwig crier sur Iseline, nous comprenons alors qu'il ne veut pas d'elle et c'est pourquoi nous la rejoignons au plus vite.

Grett me fait face de nouveau, elle se place assez proche de moi pour quelques échanges de regards sa main à plat sur mon torse. Ses regards sont tout sauf sympathiques, je ne sais pas quoi percevoir à l'intérieur de ses yeux mais ça n'est pas de bonne augure pour moi. Avec l'aplomb et le répondant qu'elle a, je suis sûr qu'elle ne va pas tarder à me balancer un petit truc dans la gueule.

  • Je comprends qu'il soit en colère contre toi, il est amoureux d'Iseline ! Mais l'Amour tu ne sais pas ce que c'est toi ! S'exclame t-elle en agitant son index sur mon torse, ce geste est extrêmement désagréable.

Grett succède Ludwig en courant jusqu'à lui le prenant par le cou, cette fois je me retrouve tout seul avec Iseline et Spencer.

  • O.U.P.S s'exclame Iseline en faisant un sourire crispé.

Je me rassois dans mon fauteuil une bière à la main le regard dans le vague totalement absent pendant qu'Iseline et Spencer font une partie de billard.

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