Chapitre 139
J'halète les tempes brûlantes d'énervement piqué à vif dans mon égo. Jamais mais JAMAIS une fille ne m'a sorti ça, quel échec cuisant. Je balance mes chaussures contre le mur en les sortant de mes pieds de manière un peu trop brutale, heureusement les ronflements de mes collègues ont pas mal couvert le bruit que je fais depuis que je suis rentré et avec un peu de chance je n'aurai pas à subir les moqueries de Spencer et de Ludwig à propos de ma nuit sans folie. En boxer, je me saucissonne dans mon drap et ma couverture le bras croisé derrière la tête mi peiné-mi vexé. Je me résigne à me calmer et à me laisser emporter par le sommeil pour le peu d'heures restantes avant l'heure de se sortir du lit. Le grincement de la porte me fait sortir de ma torpeur, comme des bruits de pas à l'intérieur de la chambre, ça se rapproche je ne sais pas de qui il s'agit mais il y a bien quelqu'un à l'intérieur de notre dortoir. J'agrippe fermement les bords de ma couverture n'étant pas très habillé en dessous et mon matelas commence à rebondir sous le poids de la personne qui s'est immiscée dans mon lit, une femme je dirai de par sa légereté et ses cheveux que je sens contre mon torse au niveau de mes pectoraux. Un frisson sur la joue vient me picoter au passage de ses doigts fins qui finissent leur course en se posant sur mon torse. Cela me fait soupirer, je frise la tacchycardie lorsque j'entends le son de sa voix.
- MiL'ou, elles ne savent pas ce qu'elles ratent, j'ai tout entendu derrière la porte de l'infirmerie. Tu n'as pas à t'en faire tu es vraiment un très bel homme et si elles ça ne leur va pas... Pour moi c'est parfait !
Je n'ai pas le temps de prononcer le prénom de '' Gretel '' que ses lèvres viennent caresser les miennes dans un baiser empreint de douceur qui vient éveiller mes sens, me secouer au plus profond de moi. Elle était là, elle a donc tout entendu et maintenant là voilà ici même à mes côtés pour être présente pour moi... Wahou. Ses cuisses féminines viennent s'écraser sur les miennes lorsqu'elle s'assoit à califourchon sur mon corps, je ressens même un léger mouvement avant-arrière le temps qu'elle soit bien installée. Et dans un geste très lent, elle tend ses bras en arrière pour retirer son gilet fin avant de plaquer sa poitrine nue contre mon torse pour reprendre notre baiser. Dans l'obscurité ses formes semblent un peu plus grosses que petite poitrine, d'après mes nombreuses partenaires je dirai au moins du B si ce n'est pas du C et ils sont jolis, bien arrondis.
- Tu es canon mon chéri ... J'ai vraiment envie de toi ça fait un moment que j'attends ça, je t'aime Milan, je veux être toute à toi autant pour le sexe que pour l'amour ! J'ai très bien vu que je te faisais quelque chose au bal et que tu avais envie de m'embrasser et si l'on continuait notre danse en quelque chose de plus... Sensuel.
Mon coeur est sur le point d'exploser, je reste totalement figé alors qu'elle m'embrasse divinement les lèvres avec les siennes et sa langue brûlante de désir. J'hésite entre la repousser pour que ça s'arrête là car je ne pourrai pas lui donner plus ou lui faire l'amour sans lendemain, juste profiter de l'instant présent et de ce qu'elle a à m'offrir pour me réconforter. Mes mains se posent entre sa taille et ses hanches pour les prendre à pleine main afin de l'appuyer un peu plus contre mon corps pour l'embrasser amoureusement de façon entreprenante plutôt. Je dégage son tanga pour l'avoir nue dans mes bras, le peau contre peau est une sensation rassurante et enveloppante. Gretel a la peau chaude et son parfum m'arrive dans les narines, je l'hume à plein nez pour m'en imprégner, rien que son odeur m'excite ce qui fait que mes mains viennent caresser son dos en passant sur les côtés de sa colonne vertébrale.
- J'ai beaucoup aimé ton massage, à moi de te le rendre par quelque chose de plus gourmand. Laisse toi faire ça devrait te plaire. Ferme les yeux chéri... Ferme les yeux.
Je soupire le corps tétanisé par les frissons des caresses qu'elle m'offre en faisant glisser sa poitrine dont les tétons semblent pointus et bien durs sur mon torse accompagnée de sa main pleine de tendresse qui frôle ma cuisse dans des gestes plus que légers. Face à mon sexe bandé, je l'entends pousser un petit rire entrecoupé d'un râle.
- Tu es parfait ce soir finit-elle par dire.
Toute sa chaleur et son humidité viennent attraper la totalité de ma queue pour l'emmener en profondeur dans sa bouche pulpeuse avec sa main qui me masturbe la base. Je force sur mes bras pour soulever Gretel afin de l'installer en soixante-neuf pour que je puisse moi aussi lui donner du plaisir et la sentir vibrer sous mes coups de langue. Surprise je l'entends pousser un gémissement auquel je murmure un '' chut '' pour ne pas qu'elle réveille nos collègues.
Même dans le noir je ressens son sourire sur son visage, doucement j'ouvre ses lèvres en passant mon doigt entre celles-ci et pose mes lèvres sur son petit minou lisse. Un petit soubresaut fait agiter son corps lorsque j'entre en contact buccal avec son clitoris, ses mains sont plus fermes sur mes cuisses et elle continue de me sucer sans les mains dans un rythme bien à mon écoute. Mes mains viennent lui faire des caresses sur les côtés de sa poitrine, avec légereté du bout des doigts. La langue de la jolie brune vient me caresser le gland dans des gestes latéraux rythmés faisant monter la chaleur de mon corps jusqu'à dans mes joues, elle le fait si bien sans doute la meilleure de toutes mes partenaires. J'aime beaucoup sentir ma verge rentrer à l'intérieur de sa bouche et lorsqu'elle resserre ses lèvres tout autour de ma hampe, cette impression d'être serré est très agréable. Sa poitrine roule sur le bas de mon ventre m'offrant de bonnes sensations avec les effleurements de ses tétons raidis d'excitation, le nez collé à son clitoris j'accélère moi aussi mes rotations de langue dans son intimité la tenant fermement par les fesses. La jolie brune ne refuse pas que mes doigts viennent la fouiller, la caresser de l'intérieur ça a l'air de plutôt lui plaire. Ma brunette est trempée et tout son corps ondule dans la position que l'on a prise, doucement j'agite mes hanches pour buter dans sa bouche. Ma respiration est saccadée, j'ai du mal à rester concentré sur le cunnilingus que je lui fais et jamais je n'avais ressenti autant de plaisir lors d'une fellation. Elle me fait bander encore plus et mon gland ressort bien de son capuchon, je lui présente à sa bouche afin qu'elle revienne le sucer. J'espère aussi que sa main ne quittera pas mes bourses, ses petits massages sont divins et son petit nectar est délicieux.
- Hum oui chéri, lèche moi ici hummmmm ouiiii haaaan ouiii Milan j'adore sentir ta langue sur mon berlingot, j'aime quand tu m'aspires avec tes lèvres hummm ça monte chéri !
- Hum t'ain moi aussi ! Hum je suis bientôt bon... Vas'y ne t'arrête surtout pas de me pomper !
Nos succions résonnent dans la chambre pourtant personne n'a l'air d'y prêter attention au vu des ronflements. Je sens bien sa langue, Gretel est en train de m'électriser tout entier ! Je frissonne à ne plus en finir tous mes poils sont dressés ! Je tourne le plus rapidement possible dans son vagin qui se contracte autour de ma langue, nous nous mettons à gémir bruyamment. Perte de contrôle totale !
- Grett, je vais jouir... J'aimerai que tu te retire, j'ai très envie de venir en toi ma puce... Viens me chevaucher, j'ai envie de te voir...
Gretel me relâche avec un peu de déception. Son doux visage apparait avec la clarté de la lune à travers les volets et le poids de son corps m'écrase gentiment les cuisses. Elle m'empoigne le membre pour s'offrir quelques frottements avec son extrémités. On mouille encore, je la supplie de s'empaler étant tout proche de l'éjaculation. Gretel appuie sa main contre mes pectoraux et s'aide de l'autre pour diriger mon engin dans sa fente luisante de cyprine. Un petit coup de rein et je suis déjà en elle. Je soupire bruyamment, je dois agir de la sorte plusieurs fois de suite pour ne pas venir mais la situation est très difficile pour moi avec une aussi jolie femme juste au dessus de mon corps.
Elle remue son bassin d'avant en arrière, les yeux rivés dans les miens. Je force sur mes abdos pour me redresser afin d'embrasser sa très belle poitrine qui se met à pointer fièrement à chacun de mes coups de langue insistants. Sa façon de danser est très sensuelle, en tout point c'est une femme qui a beaucoup de charme. Ses mains me caressent tantôt le torse, tantôt son clitoris. Je lève les yeux au ciel en poussant un râle grave lorsqu'elle se met à faire des petits cercles avec ses hanches que je viens attraper pour ajouter mes coups de buttoir.
Je l'embrasse régulièrement et pour plus de sensations mêlées à de l'excitation intense, je fais tourner ma langue encore imbibée de sa cyprine autour de la sienne. Gretel perd pied je le vois à ses gestes mal coordonnés et ses gémissements incontrôlés alors je lui attrape les poignets pour la faire reposer sur mon torse toujours en lui roulant une pelle.
Son pubis finit par heurter le mien que je redresse au maximum pour frictionner son petit bouton à chaque ondulation que lui offre mon bassin. Ce sont presque des cris qu'elle pousse toute essoufflée, j'accélère et je sens son vagin se serrer autour de ma hampe avec les contractions créees avec son orgasme plein de puissance à l'unisson avec le mien.
Je ralentis mes hanches pour une pénétration lente jusqu'à ce que mon sexe rétrécisse. Nous restons longuement liés pour un câlin et des effleurements affectueux pleins de tendresse. Gretel est toute moite allongée sur mon torse, ses cheveux sont encore collés quand je passe ma main à l'intérieur. Un beau moment où elle s'est offerte à moi.
Pour la première fois j'ai fait l'amour avec une créature de rêves, une petite déesse super bien foutue sans vouloir à tout prix satisfaire mon besoin de mâle. Je peux pour la première fois dire que j'ai fait l'amour à une femme, je ne l'ai pas '' baisée ''. Je considère beaucoup cette petite femme, hors de question de la traiter comme toutes les autres.
Gretel s'est endormie enlacée à mon corps, elle doit être bien à mes côtés pour s'être plongée dans un sommeil déjà profond. Je rabas la couette sur son petit corps et je me débrouillerai demain matin pour expliquer la situation à mes collègues qui seront sûrement très surpris de trouver une femme nue dans notre dortoir.
Annotations
Versions