31.05.24
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Nous fûmes, un temps, amoureux d’un fantôme
Dilapidant, pour temps, sous l’horloge monotone
Les rouages de notre temps, conté
En lettres dévorantes du temps passé
À nous enflammer jusqu’au temps imposé.
Puis, du temps d’été vint celui de l’automne
Emportant avec lui nos temps couleurs chrome.
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