Première fois dans un sauna

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J’ai accepté la proposition de mon amant d’aller ensemble dans un sauna libertin. Il n’y est jamais allé, mais avait ce fantasme et, je dois avouer que j’étais très curieuse aussi. Quand il m’en a parlé, j’ai fait mine d’être vexée, en lui demandant si je ne lui suffisais pas. Ensuite, il m’a expliqué qu’il voulait y aller pour découvrir l’ambiance. Et vivre l’expérience de faire l’amour avec moi dans un lieu dédié à cela, où d’autres couples se donnent du plaisir en même temps que nous. Il n’était pas question d’échangisme. Il ne voulait pas une autre femme, mais entendre et voir, en plus de me sentir moi.

Je l’ai fait languir une journée avant de lui répondre. J’étais très intriguée à mon tour. Qu’allait-il se passer. J’avais un peu peur et en même je sentais la tension monter en moi.

Nous avons choisi un endroit réputé pour son hygiène et avons choisi un jour réservé aux couples. En consultant les forums de discussion, nous avons vu que c’était mieux pour les premières fois, histoire de n’être qu’entre couples.

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en rentrant dans le lieu. C’était propre avec une lumière tamisée. Contrairement à ce que je pensais, je n’ai eu aucune difficulté à me déshabiller et à me promener en peignoir au milieu de tout le monde. Les hommes me regardaient, avec ce regard de désir que je connaissais. Mais en toute sincérité, sans cette vulgarité des dragueurs de rue.

Mon amant, Félix, souriait de fierté devant tous ces regards. « tu es très désirable », me murmura-t-il, « vois comme ils te font tous des œillades… et les femmes aussi ! »

Et oui, ils me dévisageaient avec leur compagne à côté d’eux. Et les femmes aussi me mataient, en effet, ça je ne m’y attendais pas… Et elles mes souriaient, j’étais déstabilisée et leur souriais gauchement en retour, toute rougissante. Au début, je croyais que c’était parce qu’elles étaient bi, mais je me trompais. Elles envisageaient ma frimousse et ma silhouette si jamais j’étais partante pour un jeu à plusieurs, et si je pouvais plaire à leur compagnon…

J’eus soudainement très chaud, et Félix le sentit : allons dans l’eau.

Dans le bassin d’eau chaud il y avait déjà plusieurs couples. Chacun discutait de son côté, ou parfois à plusieurs. Attention, avait prévenu la patronne, pas de sexe dans l’eau, interdit, pour l’hygiène bien sûr !

Pas de sexe, mais les jeux de regards étaient permanents. Et les frôlements aussi. Je sentais des mains sous l’eau qui touchaient légèrement mes cuisses. Des hommes qui passaient proches de moi, leur femme à leur bras, alors qu’il y avait de la place ailleurs. Une femme nous aborda alors que nous étions dans un coin tranquille à nous frotter le dos contre un jet d’eau puissant, massant nos reins divinement : Bonjour, mon amant et moi voudrions faire l’amour à côté d’un autre couple, et vous êtes adorables tous les deux, vous aimeriez vous joindre à nous ?

Devant notre regard surpris, elle ajouté : pas d’échangisme, juste nous à coté de vous. Elle avait un superbe sourire et une poitrine bien gonflée malgré une quarantaine bien passée. Je sentis Félix sur le point de fléchir. Je voyais son amant à quelques mètres un beau brun bien conservé.

Je répondis : merci, c’est gentil, mais c’est notre première fois, je ne me sens pas encore prête. Désolée.

Pas de soucis, répondit-elle, une prochaine fois peut-être… Profitez bien de l’ambiance.

Nous avons reçu plusieurs propositions courtoises mais avons décliné aimablement à chaque fois. Je sentais que Félix, commençait à bander avec toutes ces sollicitations, alors je l’ai entrainé vers là où on nous avait dit qu’il y avait des cabines tranquilles pour nous. En passant, nous entendions des gémissements de plaisir s’échapper de portes entrouvertes. J’ai aperçu une femme de mon âge, chevauchant son compagnon avec délectation. Sa peau brune était luisante de chaleur. Son ventre bombé et son cul aussi. Elle étincelait. Elle m’a lancé un regard d’une telle intensité… Je me suis arrêtée pour la regarder tellement c’était beau. Félix a buté derrière moi et j’ai senti sa queue buter dans mon cul. J’ai passé ma main derrière pour lui attraper et le branler doucement sans lâcher la femme du regard… Je me sentais bien. J’ai hésité mais je ne suis pas rentré dans leur cabine.

Nous avons continué et atteint une cabine vide, où je me suis mise à 4 pattes. J’avais une seule envie, que Félix me prenne ainsi, sans préliminaires. Tous ces attouchements, nos discussions nus dans l’eau, ce que j’entendais autour de moi, cette femme que j’avais vu, aussi belle et impertinente.

Prends-moi tout de suite, lui dis-je.

Il enfonça sa queue qui glissa sans s’arrêter jusqu’au fond. Prends moi profond et fort. Il me donna de grands à-coups, et j’étais tellement excitée que je vins très vite. Tellement vite qu’il en fut surpris. Surtout que je me mis à crier sans me retenir. Et beaucoup plus fort que d’habitude.

A tel point, que lorsque je me relevais, j’aperçus quelques visages venus nous observer par l’entrebâillement de la porte… Je rigolais presque, mais refermais doucement la porte… Je voulais bien qu’ils entendent mais pas qu’ils voient.

Je demandais à Félix de s’allonger et je pris son sexe en bouche en le regardant avec passion. Je l’avalais en entier en serrant sa base avec ma main. Je remontais doucement et redescendis encore plus doucement. Je voyais son regard dardé sur moi : je vais jouir, murmura -t-il.

Je m’arrêtais à dessein pour le faire languir. Caressais son ventre, ses cuisses. Je glissais un doigt dans sa raie, et l’enfonçais un peu en lui. Il se mit à haleter et à trembler. Alors je l’achevais en faisant plusieurs allers-retours plus rapides sur sa queue. Quand il jouit, j’avalais tout en le fixant bien dans les yeux. Je m’allongeais sur son torse, et nous nous reposâmes en nous faisant des câlins.

Nous sommes allés nous laver. J’avais encore très envie de lui. Et lui aussi. Cette fois, on laissa la porte un peu plus entrouverte. Et je me mis à califourchon sur lui, comme la femme de tout à l’heure, et fis l’amour lentement, avec douceur, sentant sa queue me bruler l’intérieur à chaque montée. Certains nous demandaient s’ils pouvaient rentrer mais je dis non. Jusqu’à ce que la femme à la peau brune arrive. Je luis dis qu’elle pouvait rester. Je la fixais en me cambrant sur la queue de Felix, tout en accélérant inconsciemment. Elle me regardait la bouche ouverte et je devinais que cela l’excitait beaucoup. J’étais contente de lui redonner ce plaisir qu’elle m’avait donnée. Elle ne bougeait plus, mais j’avais l’impression qu’elle jouissait sans se toucher. Je sentis que Félix et moi allions atteindre notre orgasme, et je relevais mon buste, où mes tétons pointaient si ardemment. Felix les agrippa en criant mon nom : Nina, oui, Nina !

Il jouit avec des soubresauts de son bassin qui me soulevèrent et faillirent me désarçonner. Il cria encore et je jouis à mon tour. Des larmes de plaisir inondant mes joues. Je précipitais mes lèvres sur son visage pour l’embrasser en le remerciant de tout ce plaisir. J’eus également le temps de voir la femme brune me sourire en m’adressant un clin d’œil.

La prochaine fois, peut-être serais-je prête à aller vers d’autres personnes…

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