A tous les moutons a 2 pattes absorbés jusqu’à la rate par le vagin de l'audimat'et son instinct de primate. Cette génération teubée, qui écrit en abrégé, kikou-pe l'herbe aux pieds du dialecte Français. Génération real-tv, pret'a se faire gang-banguer pour un sachet d'notoriété, tu peux même plus évacuer tes scelles tellement tu t'fais défoncer l’arrière rondelle, a tous les beaufs qui roulent en tunning, qui bavent devant "la fouine", qui engrossent des meufs moches la nuit dans les parkings, qui trouvent le RSA bling-bling, aux cas sociaux qui font des marmots pour les stocker dans l'congélo, a ces gueux qui s'la jouent Rebeu, au taux de mélanine infime, qui abusent des "wallah" pour ressembler a Booba, aux veaux infâmes qui battent leurs femmes, en marcel boudiné, bière a la main, s'grattant les couilles sur l'canapé devant un match du PSG. A tous ces pervers immorals baiseurs de chèvres dans le Cantal, aux branleurs devant leur écran qui font gerber leur dick en 2,3 clics, au budget sopalin égal au P.I.B de toute l'Afrique, aux gros porcs du vatican qui salissent les enfants, a cette secte dite "laïque", a condition qu'tu lâches ton fric, qui cautionne le sida et l'hypocrisie a la foi(s). A la mondialisation, qui nous prend pour des pigeons, aux surpuissants du (I)-monde qui pillent le tiers-monde, qui te scrutent et te contrôlent, de ta télé a ton micro-onde, aux pétro-génocides de l'oncle Sam, plus grand mafieux international, rasant des vies pour un baril, s'auto-octroyant la LICENCE-TO-KILL. A la nation qui nous ponctionne, représentante des droits de l'homme tout en vendant des flingues aux mômes dans les pays pauvres du globe. A Fukushima, qui s'est arrêté a la frontière bien-sur, y'a du progrès dans l'air, vive le cancer, nos gosses naîtront la teub sur l'front dans l'futur, a l'amour qui m'a déçu, trop banal et superflu, qui est porté disparu, peut être mort, sa seule issue, a la rancœur qui ne fais plus partie de mes plans, j'ai laissé crever mon cœur dans les souvenirs d’antan.

A tous les sujets cités et ceux que j'ai oublié, ayez l’amabilité d'aller vous faire enculer, inutile de me remercier, j'n'ai que faire de vos simagrées.