143 - perversion
Dimanche 20 Septembre 2116. Il est venu exprès pour nous voir. Spencer a sa Loge Royale à la Messe, nous on est dans le public. On le retrouve dans les Jardins du Couvent. Il embrasse Clémence et il me fait la bise. L’après-midi se passe dans la magie des Dimanches torrides où je me retrouve étendue nue à gauche de Clémence, côté cœur, et Spencer reste à la droite de sa Princesse qui, d’une main, s’occupe de lui pendant que de la mienne je m’affaire sur elle. Avec Spencer, nos mains se frôlent sur les seins de Clémence. Mais ce n’est que le début. On fait une course de vigueur sur le corps sublime de notre promise qui en redemande. Ça se transforme en bataille de chair et on jouit sans pudeur aucune. Notre trio est né. Le soir on s’embrasse déjà autour de son jouet et je sens ses doigts entre mes cuisses pour annoncer la suite où je plonge mon visage entre les cuisses de Clémence pendant qu’il me secoue l’arrière train en profitant de mon anatomie de terrienne, et vice versa au milieu des brisims jusqu’au moment où il hésite à se finir en moi par devant alors je le rassure :
- Je suis déjà pleine, de Clémence.
Il réalise alors son rôle désuet dans l’histoire, sa condition inutile de garçon, et ça lui coupe l’envie, son envie mais pas la nôtre, alors on continue sans lui et il s’efface de notre paysage de plaisirs.
- Spencer, tu vas avoir du mal à trouver ta place dans notre couple, Clémence et moi. Mais tu es de la famille. Ça te laisse une chance.
- Tu ne m’impressionnes pas, demi sœurette.
Il me fait rire. Je le prends dans mes bras et avec son brisim, Clem passe derrière moi. Je suis en sandwich entre mon Roi et ma Reine. Ils entrent en moi et mon ventre danse pour aspirer la semence royale dans des vagues sacrées de luxure. Il me regarde différemment. Quelque chose à changé. Il a encore en lui l’envoûtement que son père a subi par Greta quand elle m’a conçue. Notre père, Gabriel, récupéré par la Reine Frances pour le concevoir lui. Spencer a en héritage cette fascination pour Greta qui se réveille en moi, moi qui suit plus Greta que l’originale maintenant. Et le sortilège à l’air de fonctionner dans les deux sens. Mais il est temps qu’on arrête de faire le tour de toutes les combinaisons possibles de nos ébats alors on sombre dans la nuit de nos désirs innés et acquis. Je me réveille en entendant l’horloge sonner minuit. Je secoue Spencer et quand il ouvre les yeux et je dis :
- On s’aime, avec Clémence. Elle m’aime et je l’aime.
- Moi aussi, Isa. Moi aussi. Isa, my Love.
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