Ignis l'épée de feu 2/3
Une armée de petit monstre arrivèrent sur moi. A leur tête se trouvait un grand gobelin, il devait être surement leur chef, Son nom était écrit en rouge pour m'indiquer que son lvl est bien supérieur au mien. Au début de celui-ci se trouvait une petite étoile, le signe pour parler d'un chef de zone. Les gobelins m'encerclèrent pour ne me laisser aucune chance de m'enfuir. Ses sous fifrent n'était que niveau 2 mais le fait qu'il soit en groupe les rendait redoutable, je me trouve actuellement dans une situation désespérée. Je me préparai au combat, sortit mon arme de son fourreau et la plaça devant moi.
Leur chef s'approcha de moi, chacun de ce mouvement faisait trembler le sol. Il était pied nue, uniquement vêtu, d'un pantalon de fortune. Ses pectoraux surdéveloppés me mirent dans un état de panique. Il était bien trop fort pour moi. Le chef lança sa première attaque sans un mot, il fit balancer son épée dans tous les sens pour me prouver sa grande dextérité, il a un regard de braise, de grands yeux noirs.
Des crocs pointus sortirent de sa bouche.
Le premier coup arriva j'eu à peine le temps de l'esquiver, il m'enchaina avec toute une panoplie d'attaque destructrice. J'esquiva chacune d'elle de justesse. Il ne me laissait aucun répit et après tout que pouvais-je bien faire avec cette malheureuse épée en bois ?
Il leva son épée et la fit s'abattre sur moi, d'un geste rapide je me déroba de sa vue. Je suis à présent face à son dos. Sa hache se planta dans le grand arbre, j'en profita pour lui porter un coup en traitre, dans ce genre de combat il n'y avait pas de place pour l'honneur. Mon coup le fit à peine frémir, seul un PV manquait à sa barre de vie, il devait posséder une grande résistance physique.
Ces hommes contemplaient le combat, prêt à me mettre en pièce si leur chef leurs en donnait l'ordre. Après de nombreux effort le monstre retira sa hache de l'arbre et se retourna lentement dans ma direction en émettent un terrifiant grognement, il était en colère.
Il me lança une de ces attaques secrète, un mouvement circulaire. Je n'avais pas pour habitude de me lancer dans un combat sans une longue préparation, d'ailleurs je ne possédais aucune armure, ni potion qui m'aurait permis de sortir vivant de ce combat.
Le coup m'atteint de plein fouet, mon manque de dextérité avait eu raison de moi. A présent au sol, à sa merci. Ma barre de HP se mit à clignoté, il ne me reste que très peu de vie. Cette fois c'est la fin. Je repensai à ce monde, les souvenirs défilèrent sous mes yeux, peut être que tout cela n'était qu'un mauvais rêve, que je me réveillerai dans ma chambre en compagnie de mes parents.
Sa hache ce leva haut dans le ciel, j'observa une dernière fois ce monde et fermait les yeux et accepta mon sort, je suis en paix avec moi-même. Quand soudain une pluie de flèche tomba du ciel, et se déversa tel un torrent de pluie sur mes assaillants.
Les PV de mon bourreau arrivèrent dans le rouge, une de ces fléchés arriva tout près de ma tête. La plupart des membres du groupe succombèrent sous les rafales incessantes de flèche qui s'abattit sur eux. Ils transformèrent en une matière visqueuse qui se rependit tout autour de moi.
Quelque goutte vint se loger dans ma bouche, Elles avaient un gout de choux de Bruxelles, mélangé à du sirop d'anis, un mélange équerrant. Je m'empressai de rejeter cet affreux liquide par plusieurs vagues de crachat. Le chef fit signe à ses hommes de se retirer, paniquer et sous les attaques ininterrompu d'aiguillent qui leurs transperçait la peau.
Ils quittèrent rapidement mon champ de vision en laissant toute leurs armes derrière eux. Je suis sauvé, je laissai tomber mon épée tout en essayant de me calmer. Mon cœur bat à cent à l'heure, cette sensation est plus que réel. Se pourrait-il que tout ça soit vrai ? Cette hypothèse me fit trembler de peur.
<Je l'ai échappé belle !>
Me dis-je tout en essayant de reprendre mon souffle.
Si cette mystérieuse personne n'avait pas été là j'aurais surement été trancher en deux et surement dévorer par la suite par cette affreuse bande de monstre. Toute ces sensations reflète est -elle la réalité ?
<Je ne vais pas rester la plus le savoir>,
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