Ce matin je me suis réveillée bien après le lever du soleil. « n’est même pas venu me réveiller pour les travaux matinaux. En même temps, nous nous étions couchés tellement tard, hier. Je n’entends encore aucun bruit dans la maison. Les adultes doivent faire peu de bruit pour ne pas nous réveiller. Je vais continuer à écrire le récit de la veille et je descendrai plus tard. Pendant le repas, j’ai eu l’impression de faire un saut en arrière. Nous parlions de choses si insignifiantes. Ce dîner m’a tellement rappelé les soirées que nous passions au Conema, dans cette grande maison qui bordait la mer. Les bals y était très fréquent, surtout quand 0101 était présent. Les invités présentaient leur hommage à « et saluai 0101. La soirée se passait souvent dans l’insouciance loin de la guerre et de ses tracas. Cette nuit, aussi, nous avons dansé. : s’est mis à jouer de l’accordéon comme il sait si bien le faire. Il y avait toute sorte de musique, des musiques de cour, la plupart du temps. » et 0101, ont même dansés ensemble, sur un air de valse campagnarde. Pendant cet instant, j’ai admiré « . Elle était si belle dans sa longue robe rouge ornait de broderies. La danse avait laissé entrevoir quelques fois le début de ses longues et belles jambes, qui paraissait aussi superbe que dans sa jeunesse. C’était dans ses instants-là, où je comprenais comment à une époque où je n’étais pas encore naît, « avait collectionné les parties les plus importants du Conema. Ses yeux mauves étaient la signature de sa beauté. Nous avons fini cette soirée en chantant l'hymne national du Groupe de Planète du feu. Hymne désormais interdit par le Sieur de l’Air.