La dernière tentative

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Quoi de mieux pour inaugurer mon appartement, que de me pencher sur le dossier « La Rose Noire, ma sœur et le club Marbre ». Deux jours se sont écoulés depuis que j’ai parlé à cette femme.

J’ai parlé à des clients de ce club privé sans vraiment en savoir plus sur l’origine de la Rose. Cependant, par l’aide de Tania et César qui se sont prêter aux jeux de l’infiltration, lui en chauffeur et elle en volontaire, il s’avère que l’endroit est tenue par Sergio.

Il accueil des médecins, des avocats, des gens riches de tout domaines voulant prendre du bon temps avec une fille de leur choix. Ils payent pour discuter, pour qu’elles dansent ou chantent voir pour des relations sexuelles.

Mais, j’ai appris que Nicolas n’est pas étranger dans l’organisation du lieu secret. César avait réussi à récupérer des donnés sensibles comme une liste de noms codés, des transactions et surtout une note explicative sur les règles.

Le club est tenu secret, personne ne doit en parler autour d’eux. Il y peut avoir qu’une vingtaine d’inscrits maximum, en revanche il faut dix filles âgée de dix huit ans à vingt-cinq ans.

Parmi elles, neuf doivent être volontaires, recrutés en amont, repéré par les clients. Et une, devra porté le collier Rose Noire, dirigée uniquement par Sergio. Lui seul, à le droit d’exiger ce qu’il veut de la fille.

C’est tout ce que je sais de la marque, j’ai aussi pu savoir que ma sœur a été vu au moins trois fois par semaine durant ces six mois. Elle vaut cher, point.

« RAS, Marta invisible. On rentre ? »

Mon téléphone vibre sur le message simple de Tania. Le verre de vin attire mon œil vitreux tandis que l’autre reste figée sur ma sœur, portant le même type de robe transparent avec un masque vénitien blanc. Le collier là désigne.

« César a intercepté une conversation entre deux clients. Ils parlent de la fille au cœur sanglant, la précieuse de Sergio qui sera bientôt, apparemment dans le Cercle pour son Éveil. La date n’est pas encore connu »

— Ho putain !

Mon verre à sa place, j’hésite à appeler. D’abord, je continue à analyser le peu de photo de Marta. Une secte, c’est plus que probable. Tout est encore floue et heureusement que mes parents ne sont pas au courant, déjà qu’ils sont déprimés…ils risquent de faire une syncope !

— On va te sauver ma sœur, promis.

Je décide enfin d’appeler et je les informent qu’on stoppe les infiltrations pour quelques jours. Marta ne viendra pas ou plus. Elle nous a écrit, une pour Carmen, une pour moi et une dernière pour nos parents.

….

Marta est au bord du naufrage et autour de nous, plus personne ne décide d’agir. Roberto, Tania et César m’ont tout raconté, moi qui avait observé de loin la perte d’une bonne amie. Voilà une semaine qu’elle n’a plus mis les pieds à l’école, ni au club d’après les dernières nouvelles.

Ce soir, je réunie une équipe de choc dans la salle de théâtre, à vingt heure avec Carmen en guise de conseillère. Tout le monde est tendu, épuisée, silencieux.

— Silvia, si nous sommes là, c’est à propos de Marta non ?

— Parfaitement Carmen. Je suis déjà au courant de tous les éléments. En tant aussi qu’associée à la direction, j’ai eu accès à la lettre.

— Silvia, hormis porter plainte à la police pour séquestration, il n’y a rien à faire….

— La police peut être corrompue Roberto.

— Aucune preuve qu’elle soit séquestrer et pourtant, le club parle d’une date où elle sera dans le Cercle pour son Eveil. Tu sais Silvia, Roberto à raison, Marta a coupé les ponts, de force certes. Mise à part une possible histoire d’un groupuscule mystérieux et de Rose Noire, je ne vois absolument pas comment la sortir de là.

— Adela, toi, tu n’as pas discuté avec tes parents ces dernières semaines.

— Carmen ! Pour leur avouer quoi ? Ils sont déjà à bout, j’ai pris le partie de me salir les mains et je regrette déjà d’avoir embarqué pour deux jours Tania et César.

— Adela, on était fier de cette mission en duo, on a pu prouver que Marta était déjà vu, ainsi que le fonctionnement interne.

— Tania a raison ! On avance dans l’ombre, on grapille des infos. C’est déjà un plus pour l’avocate quand Marta sera de retour pour le dénoncer, enfin dénoncer tout court.

— Silvia, par pitié, si tu as un plan, si tu nous vois comme un commando, je serais prêt. Trop longtemps que je ne suis qu’un fantôme, tu avais raison, faut se bouger. Si la police ne peut rien faire, c’est qu’il y a un réseau derrière qui contrôle les infos ou que sais-je. Sauvons Marta, ensuite on avisera, on comprendra.

Ils attendent comme un supplice ma vision de la délicate mission. Carmen, seule debout, ne crois pas à cette séance. Je décroise mes bras, face à eux, espérant leur regagner confiance :

— Moi aussi, j’ai peur. Mon courage est rarement ma force et pourtant, pour une camarade, pour notre amie, pour une sœur, pour une petite amie, pour une élève, pour elle et pour la justice, je suis prête à aller au front. Voilà, ce qu’on va faire. Surveiller les mouvements chez ce type, Sergio. Repéré un moyen d’y entrée et si possible, déposer un message cachée, codé pour qu’elle sache qu’on ne l’a jamais laissé tomber.

— Elle est probablement dans l’appart privé de Sergio, au-dessus du club. C’est là qu’il l’emmène après les rendez-vous. J’ai vu la fenêtre de la façade arrière s’éclairer tard dans la nuit, deux fois. C’est un duplex, avec un code d’entrée. Et parfois, un homme lui apporte des sachets. Je l’ai pris en photo.

— Tu nous là jamais dit Adela !

— Oui pardon Roberto, tu peux me comprendre, il y a tellement de petits indices que tout se mélanger.

— Sur la photo, le visage est visible ?

— Malheureusement non Tania. Et je pense que les sachets contiennent de la drogue voir, ses médicaments sans doute modifié. J’en suis persuadé que Marta à un cœur artificiel avancé, sans ça, elle n’aurait pas supporté les excès de drogues et d’alcool. Ma sœur avait sans doute raison, dans ses premières intenses psychoses, de croire à la lettre parlant d’un groupe, de cobayes. Bon, bref, on perd du temps, on en reparlera plus tard. Quand est-ce on commence la surveillance ? Comment voulez-vous qu’on s’organise ?

…..

— On va jouer toi et moi, ça te dis ?

Non, ça ne me dis pas ! Pourtant, il est là, fumant sa cigarette, jouant avec le fouet dans l’embrassure de la porte. Moi, j’ai les mains attachées dans le dos, au centre de la pièce. Mes pieds aussi sont ligotés. Quel jour on est ? Il ne me dit rien depuis les courriers écrits dans la contraindre, le jour où mon oncle m’avait vu tel un morceau de viande.

«

— Le Cercle de La Rose Noire t’attends. Dès que tu seras prête, Sergio me le diras.

— Je refuses d’être sacrifié sur un autel bande de malades mentales !

Sa canne me décoche un violent coup dans le nez. Il le lève pour appuyez sur la blessure, glaciale :

— Les originaux sont mis à la poubelles tandis que les copies courent les ruent. On est unique, incompris, rejetés. S est la lumière qui t’hissera haut, t’aidera à vivre plus longtemps et accepter tes pensées qui sont mis en cage par la société. Après, si tu veux rester dans l’ombre, une place est déjà réservé pour toi au cimetière. Mes premières paroles pour que tu sois là. Ta vrai nature est plus belle quand elle est partagé au-delà de la couche. Tu es une pièce unique au monde, je suis au courant que ton cœur est artificiel. Tu es capable de t’élever, de trouver la pure lumière. J’ai connu ce rite de faire face aux passés de souffres, à la lutte dans son esprit. Si tu es décider à tenter l’aventure, tu nous remercieras.

Il se retourne sans rien dire de plus. Sergio me soigne lui aussi silencieux. «

— Tu viens de passer deux semaines ici, tu as bien résisté. Bravo ! Tu as aussi accepté l’aventure et ça, c’est super ma petite chérie. Hors, il y a un problème.

Il s’avance vers moi, me caresse la tête et me force à le regarder sadique.

— Quel problème ?

— Ho, rien de grave ma petite chérie. Seulement, que tes proches n’ont pas bien saisi que tu voulais t’isoler, t’éveiller.

— Ils me cherchent ?

— Chut, ne commence pas à trembler. Rien n’est de ta faute, tu as fais du bon travail et pourtant, ça t’oblige à supporter une journée de plus dans ton apprentissage. Ils vont le payer, à notre manière. Pour une fois, je vais t’expliquer uniquement, cette première nuit pour commencer2. Donner des consignes.

Il continue ses caresses dans mon dos, s’agenouille pour l’embrasser, aller dans mon cou. Une semaine où il n’y a aucune violences. C’est ça le pire, l’abandon, les privations, le manque de repère… Enfin, moins pire que de payer à cause d’un sauvetage. J’accepte quand j’ai désobéis mais, je ne peux le faire pour eux…

— S’il te plais…ne leur fait pas de mal !

— Chut, il n’y aura aucune violences physiques. Ce soir, dans trois heures, on s’en va. Tu sortiras menottés, sous un manteau de fourrure. Sur place, tu attendras à mes côtés. L’heure venue, tu seras à quatre pattes, en laisse, je te guiderais sur le cercle de pierre. Enchainées, tu écouteras les paroles de la première étape. Elles vont t’endormir et sous le voile blanc, tu sentiras une lame sous ton sein gauche. Je vais inciser la peau pour insérer une puce. On te laissera sur place, tu vas être peu consciente. Ils vont te sauver. Le moment où ils vont vouloir récupérer l’objet, tu devras te réveiller, lutter.

— Si rien n’est prévu comme ça ?

— Le destin emmène toujours les agneaux à la cabane du loup. Tu devras montrer ta valeur, te libérer tes êtres du passé et courir vers moi. Tu sauras quand et où atterrir à mes pieds, à genoux. Tout se déroulera parfaitement ma chérie.

— Oui Sergio…Tu vas me punir ?

— Les marques seront ouvertes, ils comprendront qu’ils ont réactivé la douleur, toi qui allait enfin renaître.

Il se lève et prend son temps entre chaque coup. Dix qui me font toucher terre, dix qui me font pleurer car j’ai une chance d’être libre. Si dans les rues, personne n’aura agi, la demi-conscience, sera ma dernière porte de sortie.

Est-ce que mes parents seront là ? Adela oui, Roberto aussi et sans doute mes amis…Faut que je tiens le coup, j’ai dis oui pour ça, la liberté. Rien n’est perdue d’avance.

Les phares de la voiture découpaient la nuit noire. Je serre le volant à m’en blanchir les jointures, les yeux rivés sur le SUV noir devant nous. Une heure de silence, on n’a décidé de ne pas agir, de peur que Sergio soit armé. Et puis, s’il existe une secte, autant la faire tomber pour que d’autres victimes ne tombent dans ce piège.

À mes côtés, Adela scrute la route, le cœur battant à tout rompre. À l’arrière, Silvia, Tania et César murmurent à peine. Personne n’ose rompre le silence.

On a tous notre Marta en tête. Sortie par deux hommes, en fin de journée, capuche rabattue, manteau trop grand sur elle. La tête baissée, les mains… entravées.

— Elle est menottée, j’en suis sûre, souffle enfin Silvia, les larmes aux yeux.

— Et personne n’a réagi… Je regrette.

— Parce que c’est organisé Roberto ! On a pensé également à Sergio armé, gronda Adela. Parce que ce n’est pas un simple mec tordu. C’est un système !

— On a bien compris Adela…désolé, c’est la pression.

Le SUV roule pendant plus de trois heures. Aucun arrêt. Pas même une pause. Quand il bifurque enfin, ce fut sur une route secondaire, à travers une forêt dense, brumeuse. Les lampadaires deviennent rares. Puis plus rien, hormis la lune qui nous scrute impuissante.

Enfin, le véhicule s’arrête devant une bâtisse massive, perdue au milieu de nulle part : un château ancien, austère, à moitié retapé. Une silhouette gothique dans la nuit. On s’arrête à bonne distance.

— C’est quoi ce lieu ? murmure Silvia

Des formes sombres sortirent du château, encapuchonnées. L’une d’elles ouvrit la porte du SUV. Marta ne bouge pas et de force, elle est sortie. On ne distingue pas son visage.

— Si c’est bien ce qu’on pense… Marta est en plein milieu. Et on ne sait pas combien ils sont là-dedans. Ni s’ils sont armés. Ni ce qu’ils comptent lui faire.

Un long silence.

— On peut pas appeler la police, c’est un fait, murmure Silvia. Pas si la secte est protégée. Et on a aucune preuve de ce qu’ils font à l’intérieur. Juste des images de Marta… menottée.

— Il faut un autre plan, dit Roberto. Un vrai. On va pas repartir.

— Alors on va entrer, souffle Adela. Mais pas comme des sauveteurs. Comme des ombres. Et on va la faire sortir. Coûte que coûte.

On se gare plus loin dans un creux de la forêt pour marcher et s’installer à quelques centaines de mètres du château., toujours incognito.

— Ce qu’on a vu… c’est pas juste un gourou et deux disciples. C’est une organisation. Et ils protègent quelque chose chuchote Tania.

— Alors on attend quoi ? On attend qu’elle ressorte morte pour faire un article choc ?

— Du calme César, du calme, on va rentrer. Mais pas maintenant. Pas comme ça. On observe. On prend des photos. On repère les issues. On essaie d’identifier les allées et venues. Et après… on décide. Ensemble.

— On se laisse vingt minutes. Si rien ne bouge, on s’approche.

Adela regarda de nouveau le château et termine :

— Marta est là. Et elle est encore vivante.

Elle sort son téléphone, avant d’envoyer un dernier message à Carmen pour l’a rassurer.

Le craquement des branches nous fige soudain. D’un seul bloc, on s’approche pour suivre les lumières menant à une clairière. Des murmures. Des pas. Puis… des silhouettes en capuches noires. Dix peut-être. Certains portent des torches. Un tronc d’arbre tombé nous permet, allongés, d’avoir une vue d’ensemble.

Les individus se placent presque autour d’un cercle de pierre tassée, gravé d’une rose. Ils continuent leurs chants pour accueillir sur le chemin d’entre les arbres, Sergio.

Il s’avance pas seul, devant, à ses pieds, comme un animal, Marta. Nue, qui s’approche du cercle, les feux nous permettent de voir qu’elle a été récemment fouettée. Docile, éteinte, elle n’est plus la dynamique fille que j’ai connue.

— Oh mon Dieu… souffle Silvia

— Dis-moi que c’est pas vrai, grogna César.

— Elle a été réduite à rien.

Sergio l’allonge sur la pierre froide, l’attache et les chants monte en intensité. Un membre lui tend un voile blanc, qu’il dépose sur son visage. Un autre, lui donne un petit coffret rouge, sur un cousin, une lame et quelque chose de minuscule. Il commence une opération sous son sein gauche.

— Je vais filmer.

Je n’ai pas le temps de retenir César qui est partit en effet en mission. Sergio, lui, murmure tendrement à l’oreille de Marta tout en caressant son corps. Elle ne bouge plus. Presque catatonique. Voire morte.

— C’est pas une cérémonie… c’est une possession.

— Tu as raison, Adela. Ils essayent de l’effacer. D’effacer qui elle est. De terminer le travail de perte de son identité rajoute Silvia.

— C’est un rituel de silence… je crois qu’ils vont la faire “mourir” symboliquement, murmura Adela.

— On doit la sortir de là. Maintenant.

Mais Adela posa une main sur son bras, ferme.

— Pas ce soir. On ne pourra pas tous s’en sortir vivants. On va la sauver. Mais on doit frapper juste.

Le craquement sec d’une branche nous fait sursauter tout le monde.

— Merde… César, non ! grogne Adela à voix basse.

— Ils ont tourné la tête… mais ils m’ont pas vu… chuchote-t-il. Je crois.

Le chant cessa net. Les silhouettes s'immobilisèrent quelques secondes, comme en alerte. Un silence glaçant retombe, dense et tranchant comme une lame.

— Une chance remarque Tania.

Puis, sans un mot, les capuches rentrent lentement vers le château, leurs torches s’éteignant une à une. Il ne resta bientôt que la lumière blafarde de la lune, et Marta, seule, au sol. Silvia reprit la parole, le visage pâle mais décidé.

— C’est maintenant. Si on attend, ils reviennent. Si on y va trop tard, on la perd. On doit être discrets, efficaces.

Les autres surveillant rapidement les arrières, je me précipite vers Marta. Je vérifie son pouls, faible. Elle ne réagit pas. Je commence à ouvrir les chaines.

— Merde… souffla-t-il. Ces marques…

Les cordes, trempées d’une substance noire et collante, semblaient s’être incrustées dans sa peau comme du goudron vivant. En les détachant, je découvre des entailles nettes, presque gravées à même la chair, et sur ses chevilles, des symboles gravés. Des roses stylisées, des lignes circulaires en spirale. Les chaines ont visiblement rapidement fait effet.

— Roberto… regarde ses yeux, murmure Silvia après avoir retiré le voile.

Elle me fixe, mais sans vraiment me voir.

— Tu aurais pas dû venir… Il m’a laissée exprès. Pour vous attirer.

Adela se fige.

— De quoi ? C’est donc un piège…

Marta hoche la tête, lentement, comme un pantin mal huilé.

— Il savait. Que vous me cherchiez. Il savait que vous viendriez. Que je parlerais… ou que je vous mènerais.

— Tais-toi, c’est fini. Il ne te fera plus rien. On est ensemble maintenant. On va te sortir de là.

— Non, Roberto… Je l’entends encore. Il a laissé quelque chose en moi. Il m’entend aussi.

César, à côté, blêmit.

— La seringue. Ce qu’il a mis sous son sein gauche. Vous l’avez vu comme moi non ?

— Une puce ? Un mouchard ? demande Adela.

Un silence terrible s’installa.

Puis Marta gémit, se recroquevillant soudain dans mes bras. Son corps se tend, ses yeux révulses en une fraction de seconde. Elle se met à hurler, comme si quelque chose la brûlait de l’intérieur.

— Ils sont là !! hurle-t-elle.

Des bruits éclatent derrière nous. Branches cassées. Chiens ? Voix ? Cris étouffés ? Impossible à dire. Tout se mélange : César panique le premier :

— Faut courir ! On la porte, allez !

Je la soulève comme une plume et on accourt jusqu’à la voiture. Marta en transe semble me dire plusieurs fois :

— La rose… la rose est en moi… la rose regarde…Je suis là pour renaitre.

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