Je commençai à rêvasser quand j’entendis :

- Anaïs tu manges ?

- J’arrive !

Je descendis un peu contrariée et ma mère me dit :

- ça va ?

- Oui, oui t’ inquète pas...

- C’est au lycée ?

- Non ,et t’ inquiète pas je te dis.

Anna recommança avec Simon, je lui dis :

- Bon t’arrête !

- Oh, calme toi princesse je disais ça pour rire ok !

- T’es pénible !

Je me lèvai et débarrassai mon asiette et maman me dit :

-Tu vas à la fête ?

- Oui...

- Avec Anna ?

- Non, elle se débrouille...

- Pourquoi tu me l’attends pas ?

- Il faut que j’aille chercher Simon...

- Attends Anna !

- Non, bon salut !

Et je claquai la porte d’entrée, Simon était déjà sur le chemin de chez lui .

Un peu plus tart nous partîmes aux manèges, on commença par la grande chenille, après on fit la maison hantée ( il faut dire que j’ai eu peur et à chaque fois je tenais la main de Simon ). Après la visite de la maison hantée, on a joué aux pinces aux peluches et je gagnai un oreiller en forme de bisou.

Et ce fut au tour du Roller Badeur ( celui là, on l' avait gardé pour la fin ). Simon partit chercher les places pendant que moi, assise, je repensai à ce que m' avait dit Anna .

Puis, je me rendis compte que Simon m’ appelait, et c’est quand le Roller Badeur s’est mis en route que je finis par reprendre mes esprits :

- Bon, on y va ?

- Oui...

Pendant l’attraction, Simon me prit la main. Au debut je ne demandai pourquoi mais, après tout, je le laissai faire .

Le manège eut un problème, ce qui nous fit nous arrêter un petit moment. Simon me lâcha :

- ça va ?

- Oui, pourquoi tu veux que ça n’aille pas ?

- Je sais pas, on est super haut !

- C’est toi qui a voulu faire ça !

- Oui et je me regrette pas...

Des regrets, je devais en avoir, quand le manège redemara je ne cognai la tête très fort contre le siege arrière .

Je poussai un petit bruit avant de m’ évanouir sur le siege du Roller Badeur .

Simon attendit que ce soit la fin de l’attraction pour appeler les secours.

Un peu plus tard les secours arrivèrent et Simon m’aconpagna dans l’ambulance .

Arrivée à l’hôpital, j’étais toujours dans le coma je me bougai pas. Simon, dans la salle d’attente, téléphona à ma mère et à ma sœur .

A suivre