Un chant matinal
Il fut un jour où pas un coq à l’ami Patrick n’alluma la nuit d’un fort chant hautain. Un doux hasard fut-il, quand on sait qu’un fils avait mis sur son dos l’abri couvrant sa vision du jour pointant à l’horizon. Il aurait fallu plus qu’un banal chant d’un coq à papa pour sortir son corps du lit, mais un son si craint risquait d’aplatir tout soupçon d’un banal roupillon.
Pourquoi alors tant d’obstination pour dormir un si bon matin ? La solution fut d’un troublant fort angoissant pour vous tous ici lisant. L’inconnu au bataillon si commun du travail rappliquait à l’instant du Macumba, un local ahurissant tant la boisson y coulait à flots ! Dans un pays rural où l’assaut d’un faisan s’approchait au plus d’un sursaut, il faisait bon parfois d’affaiblir son imagination.
Ainsi, aucun bovin du paysan n’avait pu avoir droit à son foin du matin. L’un vint à l’ajour du mauvais garçon dans un halo du jour. Mais voici alors qu’arriva un colossal daron, fourchon à la main ! L’indignation brûlait sous son sabot, mais qui alla à s’amoindrir vis-à-vis du puissant animal. Inspirant au maximum, Patrick cracha un ouragan goût postillons sur son fils !
« Fuis donc hors d’ici, SALIGO ! »
Il fut bon pour un colossal travail campagnard…
Mais qu’a-t-il donc fait au coq pour tarir son clair chant matinal ?
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