Aaah, les vacances d'été.

Rien de mieux pour recharger les batteries et faire la grasse mat', se relaxer au soleil et allumer les mecs en mettant de petites tenues.

Après ma deuxième année de fac, qui s'est très bien passée d'ailleurs, autant au niveau des notes que du sexe. Je suis partie en vacances avec ma famille à la plage. Évidemment ma mère n'a pas hésité à me charrier, en demandant si Corentin voulait venir et évidemment je répondis non. Même si j'aime sa queue, j'aimerais bien coucher avec de beaux inconnus cet été et peut-être même découvrir de nouvelles choses, après tout, je n'avais que 20 ans, normal que je veuille découvrir le monde.

On est donc partis en famille, mon père conduisait, ma mère était sur le siège passager et mon frère et moi à l'arrière.

Et il y avait environ cinq heures de route et je n'imaginais pas une seconde que, à peine mes vacances débutées, j'allais déjà vivre une aventure plus que folle et sordide, mais également terriblement excitante et surprenante.

Comme je vous l'ai dit, mon frère n'appréciait pas l'idée que je traîne avec un garçon, soit parce qu'il veut me protéger de mauvaises fréquentations, ce qui m'étonnerait d'ailleurs, car il sait très bien que je lui pique des dvd et que je couche à tout va.

Soit il n'aime pas Corentin, c'est vrai qu'il est un peu macho quand il veut et il peut même être un vrai con aussi, mais je ne pense pas qu'il me ferait la tête uniquement pour ça. Il n'aime pas Clémence et ça ne l'empêchait pas de me parler avant que je traîne avec Corentin.

Ou alors... Il est jaloux et il me veut rien que pour lui...

Woh ma grande calme toi, c'est ton frère nom de dieu, il ne peut pas avoir de désir pour toi quand même.

Comme vous le voyez, j'étais sous le doute, je me posais beaucoup trop de questions sur le pourquoi du comment de pourquoi Xavier me parlait plus. Mais je n'allais pas tarder à avoir ma réponse.

Après presque trois heures de route, on s'est arrêtés sur une aire d'autoroute complètement vide, il n'y avait strictement personne sauf nous.

Elle était belle cette aire, avec beaucoup d'arbres, un terrain de jeux pour les enfants, évidemment des toilettes, des bancs et aussi un gros talus devant une forêt.

Après être sortie de la voiture, je suis allée aux toilettes et en y rentrant j'ai entendu du bruit.

- « Mais on n'était pas seuls ? » Me demandais-je. Il n'y a aucune autre voiture de garée.

Je m'approchais d'une des toilettes quand je reconnus les bruits. C'étaient des gémissements de femme en train de baiser, je les reconnaîtrais entre mille.

Et vu les gémissements qu'elle faisait, je voulais absolument savoir ce qui se passait et ça ne pouvait être mes parents, car ils étaient encore à la voiture.

Je me suis donc approchée de la porte et j'ai regardé si elle était fermée.

Merde, elle l'était, je ne pourrais pas les voir, ce sentiment de frustration m'a fait passer l'envie d'uriner et je suis donc sortie. Mais en sortant, j'aperçus une silhouette passer derrière le talus, je regardais la voiture et aperçus ma mère. Mon père et Xavier revenaient eux des toilettes pour hommes. Beaucoup trop curieuse et légèrement excitée par ce que j'avais entendu dans les toilettes et frustrée de ne pas avoir pu les voir, je voulais savoir qui c'était, même si ça ne menait à rien d'extraordinaire.

- « Maman, on part dans combien de temps ? » Demandais-je à ma mère.

- « Dans un petit quart d'heure, le temps qu'on se repose un peu, pourquoi chérie ? »

- « Je voulais juste savoir si j'avais le temps d'aller voir derrière le talus, je reviens vite. »

- « D'accord chérie, ne te fais pas mal, d'accord. »

- « Dac', merci maman. »

Je partis donc en direction de cette silhouette. Une fois arrivée en haut du talus, je regardais de l'autre côté, mais il n'y avait rien, enfin, je ne voyais rien, mais je savais qu'il y avait quelqu'un. Je descendis donc à sa recherche.

J'ai cherché facilement cinq bonnes minutes, avant d'apercevoir une silhouette. J'avais peur de ne pas le trouver, de devoir retourner à la voiture avec cette frustration.

Il était assis sur un tronc d'arbre renversé, la tête baissée et visiblement très concentré. Étant dos à moi, je ne savais pas ce qu'il faisait. Je me suis décidée à savoir ce qu'il faisait, n'ayant pas peur une seule seconde de ce qui pourrait m'arriver, aussi loin de l'aire d'autoroute où se trouvaient mes parents.

Plus je m'approchais, plus je voyais ce qu'il faisait.

Il était sur son portable, il regardait quelque chose... Une vidéo... Non, c'est quand même pas une vidéo de cul quand même ?... Il tient quelque chose dans son autre main et... Ho punaise mais il se branle !

C'était un jeune homme, environ 17-18 ans, habillé d'un simple jean et d'un t-shirt bleu foncé, des cheveux courts et une petite barbe légère et pas régulière.

Dés qu'il ma vue, il a fait un bon de surprise, en a lâché son portable, il est devenu rouge tomate, voire même pire. Il me fixait ultra gêné, mais n'hésitait pas une seconde à me reluquer de bas en haut.

Moi, je regardais son sexe dépasser de son pantalon, elle était pas mal franchement, pour un ado de 17 ans, j'avais vu pire. Je regardais ensuite la vidéo qu'il regardait, visiblement c'était une vidéo amateur, filmée avec un portable discrètement. C'était un homme et une femme, environ dans la quarantaine, qui faisaient l'amour dans un lit beige à deux places.

Je regardais ensuite le jeune homme, qui commença à se rhabiller, mais avoir entendu ces personnes dans les toilettes et le voir se branler m'avait grave excitée, j'avais envie de lui.

Du coup je m'approchais de lui pour l'arrêter et lui saisir la bite à pleine main. Il m'a regardée d'un air trop adorable, comme un petit chaton apeuré, ne comprenant pas ce qui lui arrivait.

Je commençais à le branler en posant ma poitrine sur lui, étant plus grande que lui, il avait sa tête juste au dessus de mes seins.

D'ailleurs ça me faisait bizarre d'être plus grande qu'un mec, je faisais quoi, un mètre 60-65 environ, donc en général les mecs sont bien plus grands que moi.

Je sentais dans ma main sa bite durcir et grossir à une vitesse incroyable. Il regardait mes seins fixement mais ne faisait rien, sûrement paralysé par l'appréhension et l'incompréhension. C'est vrai d'un côté, il était juste venu ici pour se branler, pas pour baiser.

Je le trouvais adorable, complètement perdu le pauvre, je décidai donc de prendre les choses en main. Tout en continuant de le branler, je saisis une de ses mains et la posai sur mes fesses, puis saisis l'autre et la posai sur l'un de mes seins. Il écarquilla les yeux, voyant ce que je lui faisait faire, puis je léchai son sexe quelques instant pour enlever mon haut. Il me fixait, enfin, il fixait plus ma poitrine qu'autre chose et quand j'ai détaché mon soutien-gorge, il ouvrit la bouche sous la vue magnifique. Ça m'a flattée et également grave excitée, mais je savais que je n'avais pas beaucoup de temps, donc je saisis sa main et la posa sur mon sein. Mais sous l'excitation il éjacula précocement. Hooo un petit puceau, trop mignon.

Il avait l'air gêné et déçu, pensant qu'il venait de tout faire foirer, mais non, au contraire ça m'avait grave excitée, encore plus qu'avant. Je me suis donc agenouillée devant son sexe. Il n'en croyait pas ses yeux, mais ça lui arrivait bel et bien, je la mis dans ma bouche et me mis à le sucer tendrement, les gémissements qu'il poussait étaient adorables. C'était le premier puceau avec qui je couchais et c'était dingue car à chaque aller-retour son sexe continuait de grossir, c'était un truc de fou.

Il n'a pas fallu longtemps avant qu'il crache à nouveau et cette fois dans ma bouche et bon dieu tout ce qu'il m'a giclé, j'ai eu du mal à tout avaler. Il m'a fallu plus de trois gorgées pour réussir, il y en avait tellement et il était si épais, mais tellement délicieux.

Juste après qu'il ait joui, je me suis relevée et j'avoue qu'il m'a surprise, car il prit sa première initiative. À peine je me retrouve debout, qu'il saisit l'un de mes seins et se met à le palper. Je souris trouvant ça adorable et excitant bien sûr, mais il ne savait pas du tout quoi faire. Il y allait à l'instinct et il ne faisait absolument pas ce qu'il fallait faire pour exciter une fille, c'était plus la réalisation d'un rêve, toucher des gros seins d'une belle femme.

Pendant qu'il me touchait le sein, je commençais à baisser mon pantalon et ma culotte doucement et saisis sa deuxième main et la mis sur mon entrejambe. J'étais trempée, j'en pouvais plus, il me la fallait en moi. En touchant ma chatte, il est redevenu dur en une seconde.

Je le poussai sur le tronc d'arbre, se retrouvant assis dessus, le sexe tendu vers moi, je me mis par dessus celui-ci et descendis doucement jusqu'à ce que son gland touche l'entrée de mon intimité et m'arrêta net.

- « Demande-le moi. » Lui dis-je d'une voix dominatrice.

- « Qu... quoi ? Mais... » Il ne comprenait pas pourquoi je m'étais arrêtée, il était à fond, il ne savait plus où regarder, sa bite contre ma chatte, mes seins, mes yeux, je crois qu'il les regardait les trois à la suite, sans arriver à s'arrêter plus d'une seconde sur chaque.

- « Si tu veux que je l'enfonce, demande-le moi. »

Ce jour-là j'ai appris un truc, ne jamais sous-estimer son partenaire sexuel, car il peut nous réserver des surprises.

À ce moment là j'étais persuadée que j'avais le contrôle sur ce gamin et ça m'excitait beaucoup, mais ce que j'avais oublié, c'était que son sexe était contre le mien et il l'avait remarqué. Moi qui pensais avoir affaire à un enfant paralysé, je me suis faite surprendre.

Juste après que je lui dise ça, son visage changea et le temps que je comprenne ce qui se passait, il avait déjà posé ses mains sur le haut de mes fesses et m'a pénétrée soudainement entièrement.

La surprise m'a fait crier, saisissant ses épaules sous la perte d'équilibre, de la surprise et de la violence de la pénétration.

Et là il commença a me baiser comme un lapin, sa queue de puceau était en train de me pénétrer tellement vite que je ne savais plus si elle sortait ou rentrait, mais malheureusement, comme un lapin il arriva au bord de l'orgasme très rapidement. Le sentant arriver, je repris le contrôle et le sortais, je n'avais aucune envie de tomber enceinte d'un gamin que je ne connaissais pas. Il éjacula sur mon ventre et sur le sien, dans un gémissement d'extrême plaisir.

Je regardais l'heure pendant ce temps et voyais que j'étais déjà en retard de deux minutes environ, mais je n'avais toujours pas joui, donc je commençai à me doigter au dessus de lui, avec encore du sperme sur le ventre. Il me regardait fixement en train de me masturber devant lui, mais vu mon excitation et son regard insistant, je jouis rapidement sur lui, mais bien moins puissamment que d'habitude évidemment. Je le regardais ensuite avec un grand sourire, puis pour bien finir je lui léchai son ventre recouvert de sperme et l'avalai, puis sortis des mouchoirs que j'avais dans ma poche, m'essuyai le ventre et m'habillai. Pendant ce temps, le jeune homme me regardait, encore sous le choc de ce qui venait de se passer.

- « Tu as une bonne bite, évite de jouir aussi vite et tu seras à la hauteur de n'importe quelle chaudasse.» Lui ai-je dis en remettant mon soutien-gorge.

Finissant rapidement de me rhabiller, je partis rapidement le laissant seul, encore la bite à l'air, assis sur le tronc d'arbre comme à mon arrivée.

J'arrivai au talus et vis ma mère là, en train de descendre doucement pour venir me chercher.

- « Maman ? »

- « Ha chérie te voilà, je commençais à me faire du souci voyons, tu avais dit dix minutes. »

- « Oui pardon maman, je n'ai pas vu le temps passer. »

- « Toi et ton frère, vous allez me rendre dingue sérieux, bon allez, retournons à la voiture, on a encore plusieurs heures de route. »

On retourna à la voiture, mais juste avant de monter, je vis le jeune homme sortir du talus et s'approcher de deux personnes assises sur un banc.

Mais attends une seconde, j'ai l'impression de reconnaitre ces deux personnes. Non, ce ne sont pas celles de la vidéo que regardait le jeune ? Mais si, c'est eux ! »

Je n'arrivais pas à le croire, le fils filmait ses parents en train de coucher ensemble et se branlait dessus en cachette. Finalement j'avais trouvé aussi pervers que moi et je devinais sans mal qui était dans les toilettes lors de mon passage.

Puis après cela, on reprit la route en direction des vacances.