Avec mon Père !
J'étais allongée sur le dos et lui était au-dessus moi, étant bien plus gros et fort que moi, je ne pouvais rien faire.
- « Ne crie pas. » Commença à dire mon père, tout près de mon oreille. « Tu ne voudrais pas qu'on nous entende, n'est-ce pas ? »
Il enleva doucement sa main de ma bouche, moi j'essayais de l'empêcher de me pénétrer en lui tenant le bassin, même si je savais que je n'arriverais pas à le retenir très longtemps.
- « Papa, je ne suis pas maman, arrête-ça j't'en prie. »
- « Mais je sais que tu n'es pas ta mère... »
Quoi ?! Non, ça voudrait dire qu'il... Ho mon dieu !
- « Ça fait déjà plusieurs année que j'ai envie de toi Cora, avec ton magnifique corps, identique à celui de ta mère quand elle avait ton âge, tellement belle... »
Il commença à forcer pour me prendre, mais j'arrivais à le retenir encore un peu.
- « Depuis tes seize ans je me retiens de monter dans ta chambre pour te baiser, pour soulager ce désir, cette frustration, Mais... Mais je suis ton père et cela ne se fait pas entre père et fille, mais tout à l'heure quand tu t'es mise les seins à l'air et que tu les as posés contre moi, j'ai compris que c'est ce que tu voulais aussi, alors je suis là ma chérie et je vais t'offrir ce que tu désire. »
Cette fois il utilisa toute sa force dans son bassin et enfonça entièrement son énorme sexe en moi. J'allais lâcher un cri qui allait réveiller tout le voisinage, mais il mit sa main sur ma bouche et la serra fort pour m'en empêcher, mais malgré ça, je faisais pas mal de bruit.
Jamais de ma vie, jamais aucun mec ne m'avait remplie comme mon père venait de le faire. Ils n'avaient pas tous de petites bites, mais celle de mon père faisait plus que simplement me remplir, il m'étirait chaque parcelle jusqu'à son maximum, stimulant chaque mini-mètre de mon intimité.
J'avais la queue de mon père en moi et je n'arrivais pas à le croire, mais quand il commença à bouger, Ho mon dieu, j'avais honte mais Putain que c'était bon !
Il y allait super violemment, encore plus que Corentin ou le Maître-Nageur et le pire, c'est que je sentais qu'il n'y mettait pas toute sa force et en plus de taper fort, il allait vite.
Chaque pénétration était accompagnée de mes gémissements étouffés par la main sur ma bouche. Je ne passais pas un bon moment, car techniquement il me violait, mais forcément les sensations étaient présentes et bon dieu que c'était bon.
Mais je ne me laissai pas envouter par mes sensations et essayais de bouger pour me défaire de son emprise, mais rien à faire, si je bougeais il lâchait ma bouche et saisissait mes bras ou mon bassin et me remettait en place. Profitant pour me toucher les seins et les lécher et sucer...
Quand sa main n'était pas sur ma bouche, je poussais des gémissements bien plus forts que je ne devrais, mais j'essayais de me retenir de trop faire de bruit, vu la situation.
À un moment mon père se redressa, j'essayai donc d'en profiter et de m'enfuir. J'arrivai à me retourner et à sortir son sexe de moi, mais évidemment il m'attrapa et essaya de me la remettre.
- « Que fais-tu ? Je n'ai pas fini avec toi, ne me dis pas que tu n'aimes pas ça, quand même ? Car c'est toi qui me l'a explicitement fait comprendre, alors je vais en profiter à max ! »
Il m'attrapa les cheveux et les tira vers lui pour que j'arrête de bouger. J'étais sur le ventre, juste à côté du bord, mes seins dans le vide, pendant vers le sol, la tête en arrière à cause de mes cheveux tirés.
Et c'est dans cette position qu'il se remit à me baiser violemment. La sensation n'était pas du tout la même, devant me tenir au bord du lit pour ne pas tomber ou qu'il m'arrache les cheveux, les jambes écartées presque au maximum et son bassin frappant frénétiquement sur mes fesses, qu'il n'hésitait pas à malaxer et à mettre de petites claques pour les faire encore plus bouger.
Plusieurs minutes passèrent comme cela, plus il me baisait, moins je me débattais, car je savais que je n'arriverais pas à me libérer de son emprise et aussi...Et bien... Oui, mon père baisait vraiment très bien donc... Et bien oui, je kiffais ce qu'il me faisait, je n'en suis pas fière, mais bon que voulez-vous, j'étais une salope accro au sexe et même si c'était avec mon père, c'était du sexe.
À un moment il lâcha mes cheveux, sous la surprise je baissais la tête et une de mes mains glissa, me faisant tomber la tête la première sur le sol, mais en ayant encore les fesses en l'air. L'atterrissage ne fit pas assez de bruit pour alerter qui que ce soit.
Je me retrouvais la tête sur le sol, avec le cul encore sur le lit, mon père saisissant mes jambes pour les lever et les écarter. Il la remit et me baisa dans cette position des plus inconfortable pour moi, mais des plus stimulante, poussant de petits gémissements, prenant son pied à me baiser de la sorte.
Après quelques minutes, il sortit sa bite de moi et m'attrapa par le bras pour me remonter sur le lit et continuer de me baiser en missionnaire, me bouffant les seins et me défonçant la chatte. Cela prit presque trois-quart d'heure avant qu'il n'arrive à l'orgasme et j'avais peur qu'il éjacule en moi.
Mais il l'a sortie et monta sur moi et la posa sur ma bouche tout en la masturbant.
- « Ouvre la bouche ma princesse, je vais te donner du bon lait de papa, tu as bu celui de maman étant petite, c'est au tour de celui de papa. Allez, ouvre bien grand. »
J'ouvris la bouche pour avaler le sperme de mon père, qu'il me cracha violemment au visage et dedans la bouche, dans un râle de plaisir et de soulagement, recouvrant mon visage de son sperme. Il continua après avoir fini de se masturber en me regardant.
Je pensais que c'était fini, enfin j'espérais, mais à peine quelques secondes plus tard, il me retourna d'un simple geste de bras, m'écarta les cuisses et me re-pénétra vigoureusement. Son sexe n'avait pas changé, limite s'il n'était pas plus dur.
Il me baisa comme ça de longues heures, éjaculant sur tout mon corps, mes seins, mon cul, dans ma bouche.
Après avoir joui au moins cinq fois, il descendit du lit et me regarda. J'étais exténuée, je n'en pouvais plus, j'étais comme une simple poupée désarticulée, je ne réagissais plus. La dernière fois où on m'avait baisée aussi sauvagement et qu'on m'avait joui dessus autant de fois d'affilée, c'était le Maître-Nageur, plusieurs années en arrière.
Il aurait pu partir, se contenter de ce qu'il venait de me faire, mais non, il avait besoin de plus. Il attrapa ma tête et me tourna sur le côté du lit, mettant ma tête dans le vide, à l'envers, mes jambes sur le mur. Et il approcha son énorme bite infatigable de ma bouche, la posa dessus et força l'entrée. Je l'avalais sans trop de problème, même si je ne pouvais plus ouvrir la bouche sans me déboiter la mâchoire.
- « Ta mère c'est sa spécialité, elle me gobe la bite comme jamais, mais avec le temps elle n'arrive plus à me satisfaire. Elle a besoin de respirer tout le temps et sa bouche n'a plus aucun effet sur ma bite, alors que toi hooo la vache c'est trop Bon. » Me dit-il, en l'enfonçant au maximum au fond de ma gorge, dans un mélange de ses gémissements et du bruit de ma salive, de ma respiration coupée et de ma toux.
Il commença à faire des aller-retour lents mais puissants, me tenant au niveau de la mâchoire des deux mains, pour bien l'enfoncer. Chaque à-coup était accompagné de mes gargouillis rauques et de ma salive glissant sur son sexe et coulant sur mon visage. Mes membres se tendant et ma chatte frémissant.
Prenant beaucoup trop de plaisir, à en oublier qu'il était en train d'étouffer sa fille avec sa bite, il se mit à accélérer le mouvement, lâchant d'une main ma gorge et enfonçant directement deux doigts dans mon vagin. M'y attendant pas, je fus surprise et réagissais directement en élevant le bassin.
C'était une sensation étrange, de se faire baiser la bouche tout en se faisant doigter la chatte.
Quand il approcha de l'orgasme, il sortit ses doigts de moi, reprit mon cou et se remit à frapper fort au fond de ma gorge, tout en maintenant l'allure. Il éjacula au fond de ma gorge, me noyant littéralement dans son sperme.
Il sortit sa bite de ma bouche avant d'avoir fini, pour me le cracher également à la figure. Dés qu'il la sortit, je repris une grande inspiration grasse et rauque, tout en toussant fortement.
À cet instant, aucun de nous deux n'était préoccupé de savoir si on nous entendait ou non.
Sa respiration était forte et rapide, il me regardait en train de reprendre mon souffle, moi, j'avais en premier plan son sexe enfin épuisé, c'était enfin fini.
Il me malaxa les seins et me pinça les tétons encore quelques minutes.
- « Tu es une bonne fille, autant dans la vie que dans le lit. Maintenant toi et moi, on partage une chose unique et compte sur moi pour entretenir cette chose ma belle, tous les jours où ça sera possible, je le ferais sans hésiter. » Me dit-il, en me bifflant avec sa queue toute molle, avant de partir et quitter ma chambre.
Je venais de vivre l'impensable, je venais de me faire violer par mon père.
Le pire c'est qu'après son départ, n'ayant pas joui une seule fois, je me doigtais jusqu'à l'orgasme, qui fût des plus intenses.
Je n'arrivais pas à croire ça, j'avais aimé ça.
Enfin, mon corps a adoré ça, moi, je n'avais qu'une envie, qu'en me réveillant je sois dans l'internat et que ceci ne soit qu'un rêve.
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