Sur les vagues de l’âme
Le surfeur de la mort
Parvint à prendre cette lame
Sans une once de remords
Fouillant de fond en comble
Les recoins les plus sombres
La mort et ses couleurs
Rencontre la vie et son odeur.
Dans une danse vive et obscure
Les deux parties se mesurent.
Dans la démesure, ils eurent.
Une révélation brisant le mur
Aucune confrontation
Aucune opposition
Tout cela n’était que confusion
Dans un monde en révolution
Les deux camps qui sévissent
La mort et la vie se saisissent.
Et se mystifie dans l’infini
Créant le cercle vicieux
Nous transportant de la terre aux cieux