Il était une fois...
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Il était une fois… de trop car elle portait sur le corps les traces indélébiles de cette limite qui lui fît prendre conscience que, jamais plus, de mémoire de laissée pour compte, sa vie ne se réduira aux actes cruels dont elle témoignera lorsque, définitivement absente, la mort défigurera ce visage angélique à la beauté sauvage, né pour hypnotiser le regard et transporter en un ravissement cathartique et ravageur le commun, le populaire, l’indicible étranger à l’art incarné en cet agencement de cellules dessiné par une intense harmonie de couleurs chatoyantes, une divine essence parfumée, envoûtante, raffinée et délicieusement distante.
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