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Julie se sent particulièrement excitée, sa libido l’a rarement mise dans cet état, et bien qu’elle se sente un peu dépassée par ses désirs, elle décide de se laisser aller à ses envies. Elle prend maintenant le temps d’enduire sa vulve avec l’abondante cyprine qui s'échappe de sa fente. cette humidité qu’elle étale généreusement en faisant glisser ses doigts sur son clitoris puis entre, et sur ses lèvres, lui donne un sentiment hautement érotique. Son sexe est integralement mouillé et ses doigts ne rencontrent plus aucune resistance lorsque ils parcourent ses vallonements. Elle sent même son vagin qui continue à suinter, ce qu’elle interprète comme une confirmation que son corps a besoin de ce plaisir.
Sa respiration se fait maintenant plus profonde et plus rapide aussi. Son corps réagit aux moindres caresses. Ses hanches bougent de manière instinctive, elle se sent presque inconsciente vis à vis du monde environnant, totalement focalisée sur son sexe et sur cet orgasme qu’elle tente de retarder au maximum. L'humidité aidant, elle se pénètre énergiquement, elle s’étonne de ces nouvelles sensations que lui procure la pénétration par l’arrière. Elle ralentit le rythme, fait sortir complètement ses doigts de son sexe avant de les insérer à nouveau. Elle apprécie la sensation de ses chairs qui se referment et qui s’ouvrent de nouveau à chaque nouvelle pénétration, elle se sent désirable, et dans cette position, elle sent sa petite grotte particulièrement étroite en comparaison de la position habituelle allongée sur le ventre ou sur le dos.
Alors qu’elle retire une nouvelle fois ses doigts, ils entrent, de façon non intentionnelle, en contact avec son anus. C’est la première fois que ses doigts approchent sa petite rose dans un tel contexte. Elle se laisse alors surprendre par une décharge de plaisir.
Julie n’est pas ignorante, elle sait que certaines personnes pratiquent le sexe anal, mais il ne lui est jamais venu à l’esprit, l’idée de le pratiquer sur elle même. Elle ne voyait pas cela comme une perversion, mais jamais elle n’avait imaginé que ces choses-là puissent lui plaire, voire même lui donner du plaisir.
Essayant de sortir cette pensée de sa tête, elle glisse de nouveau ses doigts dans son vagin, mais en les retirant, elle les sent immédiatement attirés par son cul.
Elle pense au départ qu’elle va simplement effleurer son sphincter comme elle venait de le faire à l’instant, juste pour s’offrir une petite caresse inconnue, pour voir si ça fait réellement du bien, mais elle se laisse aller à faire s’attarder ses doigts contre sa petite rose voir même maintenant, à sonder la résistance de son orifice à la pénétration.
Alors que son doigt sonde son sphincter, elle est surprise par la pensée que mettre un doigt dans son cul serait l'acte ultime de lâcher prise, et d’entrée dans un nouveau référentiel de plaisir. La prude julie qui goute au plaisir anal, elle ne se serait jamais imaginée aller aussi loin dans le plaisir il y a seulement quelques minutes.
Le moment où elle a enlevé son pyjama lui revient à l'esprit. Cette décision impulsive d'enlever son pantalon a en elle, comme fait sauter un tabou, et tous ses gestes sont désormais, comme guidés par une pulsion de désir qu’elle semble ne plus maîtriser…
Julie en a maintenant très envie, elle a sondé son sphincter, et ce faisant, cela lui ouvert de nouvelles perspectives. Elle veut se pénétrer l’anus et, elle est bien décidée à aller jusqu’au bout. Ses doigts qui s’occupent de son clitoris ont ralenti. Elle retient sa respiration, son majeur pousse doucement sur l’orifice serré de son cul, millimètre après millimètre, et bougeant doucement d’avant en arrière elle tente de dilater son anus, qui résiste au départ à cette intrusion, contracté par cette sensation nouvelle et inhabituelle. Doucement, ajoutant un peu de cyprine, et, à la faveur d’une décontraction de ses muscles, sa fleur s’ouvre légèrement, laissant pénetrer l'extrémité de son majeur. Elle reprend son souffle, continue très lentement son incursion dans ce territoire inexploré, elle se surprend maintenant à éprouver une sensation de pur plaisir qui irradie son entrejambe entier.
Une fois son doigt enfoncé jusqu’à la première phalange, elle ressent l'étroitesse extrême de de son orifice. Les sensations sont intenses et amplifiées par son sentiment ou plutôt sa volonté scandaleuse et effrontée de faire ce que son désir lui dicte. Elle a maintenant totalement lâché prise et abandonné toutes ses inhibitions.
Elle n'avait jamais rien ressenti de tel, elle ne pouvait pas imaginer l’intensité du plaisir que cette caresse lui procure. C'est une sensation proche de l'orgasme, toute proche mais qui dure bien plus longtemps. Pas encore rassasiée, elle en veut plus, bien plus.
Elle ressent ce niveau d'intensité alors même que son doigt est immobile. A la faveur d’un mouvement incontrôlé elle arque le dos et pousse son doigt plus loin dans son cul. Le doigt posé sur son clitoris reprend un mouvement plus rapide, frénétique même, et tout son corps se mets à trembler.
Son doigt fait de petits mouvements rapides de va et vient. Bien que la stimulation se résume à une phalange insérée dans son anus, et à des mouvements minimes, Elle n'a jamais, dans sa maigre vie sexuelle, autant eu l'impression d'être baisée
En quelques secondes, elle sent un orgasme monter puis la submerger, dans une longue, lente et intense vague, de pur plaisir. Elle sent le flux et le reflux de ses muscles qui se contractent, enserrant son doigt, rétractant son clitoris, contractant son vagin et irradiant son corps entier d’une onde de plaisir.
Après une minute ou deux Julie retrouve ses esprits. Elle retire son doigt, et ne sait plus trop quoi penser. Se sentir coupable, avoir un peu honte, avoir envie de recommencer ? Au lieu de cela, elle repense à ce moment suspendu et pousse un petit rire inattendu et nerveux, un rire libérateur.
Elle sait qu'elle vient de découvrir un tout nouveau monde dans son auto érotisme, un monde fait de plaisirs intenses, de sexe plus brut, plus profond. Elle est abasourdie par sa découverte et les joies futures qu'elle imagine se procurer.
Elle avait souvent idéalisé la relation sexuelle idéale qu'elle pourrait avoir avec un homme, un pénis vigoureux qui sache donner à son sexe un plaisir au moins équivalent à ce qu'elle savait déjà fare seule. Aujourd'hui elle rêve que ce pénis, ou peut être des doigts de femmes puissent contenter son cul aussi puissamment que ce qu'elle vient de vivre.
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