Perdu dans ses pensées le long des berges parisiennes, l’honneur et la vertu meurtris, Tristan traversa un pont puis rejoignit à pied son aire secrète, dans le 11^ème. Chemin faisant, il croisa une jeune femme qui lui demanda du feu. Alors, sans hésiter une seconde, Tristan lui décocha une mandale, premier choix.  Il venait de découvrir que l’amour n’est qu’une illusion et que quelques verres d’alcool suffisaient pour prendre des vessies pour des lanternes.
Il apprit ainsi à se méfier des lendemains de fête.