Acrostiche
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Je me souviens encore de ce que tu étais,
Ô toi la seule femme qui m'a autant aimée.
Se peut-il que de là-haut tu me vois me mouvoir,
Et que de ta douceur tu me berces le soir?
Partout où je vais, je ressens ta présence
Hypnotisée par n'importe lequel de mes sens.
Il n'y a que ton corps qui manque ici bas
Naturellement, car ton âme est toujours là.
Et s'il fallait te dire à quel point je t'aimais,
Mes paroles et mes mots jamais ne suffiraient.
Avec toi j'étais bien, tu me faisais grandir
Malgré les mauvais jours j'admirais ton sourire.
Alors si de ce ciel tu entends mes prières,
N'oublie jamais que je t'aime, toi ma très douce mère.
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