Chapitre 5 : Correspondance spéciale
Deuxième année
Lors de sa punition avec Gilderoy Lockhart Harry put constater ce que les admiratrices de Lockhart pouvaient faire. Quand Lockhart vu la lettre de Gladys Gourdenièze, il s’était empressé de la prendre, il fit la même chose pour deux ou trois autres lettres. Mais la plupart des lettres étaient ouvertes par Harry, car Lockhart prenait un plaisir évident à lire attentivement toutes les lettres de ses admiratrices et laissait une plume ensorcelée charger de la réponse. Harry ouvrait donc les enveloppes et certaines réservaient des surprises, quelqu'une se mettait à chanter d’une voix douce et cristalline, d'autres explosaient avec des odeurs entêtent. Et enfin certains contenaient des photos. Des photos de la femme tout sourire qui faisait des grands signes de la main à Lockhart pour la plupart. Mais certaines photos étaient beaucoup moins innocentes. Certaine des admiratrices de Lockhart lui envoyaient des photos d’elle toute nue. La première fois qu’Harry trouva une de ces photos il fut tellement sous le choc qu’Harry mit quelques secondes à trouver ce qui convenait de faire, mettre la photo dans sa poche. La sorcière qui se trouvait dessus était une jolie femme blonde d’une trentaine d'années avec des seins magnifiques qui avaient dû subir un petit sort d’amplification, la jolie blonde était assise sur un lit avec les jambes écartées. Mais quand jeune femme sur la photo vit que ce n’était pas Lockhart elle sembla être de mauvaise humeur et elle referma ses jambes. Il trouva une trentaine de photo coquine. Des sorcières à peine sortie de l’adolescence ou déjà d’un âge avancé, des blondes, des brunes, des rousses, avec des petits seins gros seins, chatte rasée ou poilue. Mais Harry n’était pas au bout de ses surprises, en mettant sa main dans une enveloppe pour en extraire ce qu'elle contenait les doigte d'Harry senti la texture maintenant bien connue d’une photo sous ses doigts, il sortit la photo et ce fut un choc. Pas elle. Tout le monde, mais pas elle. La photo montrait une Madame Wesley aussi nue que toutes les autres femmes en train de faire un petit sourire à Harry. L’esprit d'Harry lui disait de déchirer ou brûler la photo pour que jamais Lockhart ou quelqu’un d’autre puisse la voir, mais son corps agit différemment et mit la photo dans sa poche. Harry ne regarda même pas les trois nouvelles photos qu’il mit dans sa poche tellement il était perdu. Il était en pleine réflexion sur ce qu’il devait faire ou non quand la voix désincarnée retentit. Lockhart le libéra pensant qu’il s’était endormi et pus retourné à la tour de Gryffondor. À cette heure-là, la salle commune était vide. Il prit un fauteuil et étala sur la table la quarantaine de photo qu’il avait maintenant. Certaines des femmes se cachaient à présent derrière la bordure du cadre, d’autre en revanche lui criait dessus et enfin certaines cherchaient à comprendre ou était Lockhart en regardant à droite et à gauche. Mais Harry n’avait d’yeux que pour une seule photo. Celle de madame Wesley, la mère de son meilleur ami, celle qui le considérait comme son propre fils. Mais cette dernière sur la photo ne se comportait vraiment pas comme une mère. Elle embrasa sa main et souffla dessus comme si elle envoyait un bisou volant à Harry, puis elle se retourna et… elle se mit à twerker. Sans était trop pour Harry, il se leva d’un bond et fit passer sa robe de sorcier au-dessus de sa tête et se rassit. Il caressa son pénis encore à l’étroit dans son slip puis le fit sortir de sa prison. Madame Wesley lui faisait à nouveau fasse et avait commencé à se masturber et à se caresser ses seins tout en regardant Harry avec un regard rempli de désir. Le dernier Potter prit donc son pénis en mains et commença à faire de lent va et viens en calquant sa vitesse sur celle des doigts de madame Wesley dans sa chatte. Harry ne ratait aucune miette du spectacle, de la chatte avec une toison bien entretenue au sourire coquin de madame Wesley en passant par son opulente poitrine rien ne lui échappait. Gémissant de plaisir et de douleur tellement il avait envie d’éjaculer Harry accéléra et en regardant la photo, il vit l’image de madame Wesley qui sembla l’encourager. Harry ferma les yeux et se cabra dans son fauteuil et un long jet de sperme sorti de son sexe, puis Harry s’écroula à nouveau pendant qu’un deuxième jet moins important que le premier prit le même chemin. Il resta assit à reprendre son souffle une bonne dizaine de minutes, mais il se rappela où il était et que quelqu'un pouvait surgir à n'importe quel moment alors il se rhabilla. Puis il constata que son sperme avait atteint les photos sur la table à un bon mètre de distance du fauteuil. À présent, les femmes qui n’étaient pas contentes d’être en la possession d’Harry avaient l'air d’être furieuse tandis que les autres avaient disparu. Quant à madame Wesley, elle regardait Harry avec un regard et un indexe faussement réprobateur ce qui n’était pas très crédible étant donné que son autre main continuait de se caresser l’entre-jambes. Harry essuya tendrement la photo de madame Wesley et un peu plus brusquement les autres photos avant de les remettre dans sa poche. Maintenant même quand il serait au privet drive madame Wesley ou du moins la photo de madame Wesley serait là pour le combler
Lors de sa punition avec Gilderoy Lockhart Harry pu constater ce que les admiratrices de Lockhart pouvaient faire. Quand Lockhart vu la lettre de Gladys Gourdenièze il s’était empresser de la prendre, il fit la même chose pour deux ou trois autre lettre. Mais la plupart des lettres était ouverte par Harry car Lockhart prenait un plaisir évident à lire attentivement toute les lettres de ses admiratrices Et laissait une plume ensorceler charger de la réponse. Harry ouvrait donc les enveloppes et certaine réservait des surprise, certaine se mettait à chanter d’une voix douce et cristalline, d’autre explosait avec des odeurs entêtent. Et enfin certain contenait des photos. Des photos de la femme tout sourire qui fessait des grands signes de la main à Lockhart pour la plus part. Mais certaine photo était beaucoup moins innocente. Certaine des admiratrices de Lockhart lui envoyaient des photos d’elle tout nue. La première fois qu’Harry trouva une de ses photo il fut tellement sous le choc qu’Harry mit quelle que second à prouver ce qui convenait de faire, mettre la photo dans sa poche. La sorcière qui se trouvait dessue était une jolie femme blonde d’une trentaine d’année avec des seins magnifique qui avait du subir un petit sort d’amplification, la jolie blonde était assise sur un lit avec les jambes écarter. Mais quand la photo vit que ce n’était pas Lockhart elle sembla être de mauvaise humeur et referma les jambes. Il trouva une trentaine de photo coquine. Des sorcière a peine sortie de l’adolescence ou déjà d’un âge avancer, des blonde, des brune, des rousse, avec des petit seins gros seins, chatte rasé ou poilu. Mais Harry n’était pas au bout de ses surprise, en mettant sa mains dant une enveloppe pour en extraire se quelle contenait les doigte de Harry senti la texture maintenant bien connue d’une photo sous ses doigts, il sortit la photo et se fut un choc. Pas elle. Tout le monde mes pas elle. La photo montrait une Madame Wesley aussi nue que toutes les autres femmes en train de faire un petit sourire à Harry. L’esprit de Harry lui disait de déchirer ou bruler la photo pour que jamais Lockhart ou quelqu’un d’autre puise la voire, mais son corps agit différemment et mis sa la photo dans sa poche. Harry ne regarda même pas les trois nouvelles photos qu’il mit dans sa poche tellement il était perdu .Il était en pleine réflexion sur ce qu’il devait faire ou non quand la voix désincarner retentit. Lockhart le libérât pensant qu’il s’était endormit et pus retourné à la tour de Gryffondor. A cette heure la salle commune était vide. Il prit un fauteuil et étala sur la table la quarantaine de photo qu’il avait maintenant. Certains des femmes se cachait a présent derrière la bordure du cadre, d’autre en revanche lui criait dessue et enfin certaine cherchai à comprendre ou était Lockhart à droite et à gauche. Mais Harry n’avait d’yeux que pour une seule photo. Celle de madame wesley, la mère de son meilleur ami, celle qui le considérait comme son propre fils. Mais cet dernière sur la photo ne se comportait vraiment pas comme une mère. Elle embrasa sa mains et souffla dessue comme si elle envoyait un bisou volant a Harry, puis elle se retourna et… elle se mit a twerker. Sans était trop pour Harry, il se leva d’un bon et fit passer sa robe de sorcier au dessue de sa tête et se rassit. Il caressa sont pénis encore a l’étroit dans son slip puis le fit sortir de sa prison. Madame wesley lui faisait a nouveau fasse et avait commencé à se masturber et a se caresser ses seins tout en regardant Harry avec un regard remplie de désir. Le dernier Potter pris donc son pénis en mains et commença à faire de lent va et viens en calquant sa vitesse sur celle des doigte de madame wesley dans sa chatte. Harry ne ratait aucune miette du spectacle, de la chatte avec une toison bien entretenue au sourire coquin de madame wesley en passant par son opulente poitrine rien ne lui échappait. Gémissant de plaisir et de douleur tellement il avait envie d’éjaculer harry accéléra et en regardant la photo il vit l’image de madame wesley qui semblai l’encourager. Harry ferma les yeux et se cabra dans son fauteuil et un long jet de sperme sortie de son sexe, puis harry s’écroula a nouveau pendant qu’un deuxième jet moins important que le premier pris le même chemin. Il resta assie a reprendre son souffle une bonne dizaine de minutes mais il se rappela ou il était et que qu’elle qu’un pouvait surgir a n’importe quelle moment alors il se rhabilla. Puis il constata que son sperme avait atteint les photos sur la table à un bon mètre de distance du fauteuil. A présent les femmes qui n’était pas contente d’être en la possession d’harry avait l’air d’être furieuse tandis que les autres avais disparue. Quand a madame Wesley elle regardait harry avec un regard et un indexe faussement réprobateur se qui n’était pas très crédible étant donné que son autre main continuait de se caresser l’entre jambe. Harry essuya tendrement la photo de madame wesley et un peu plus brusquement les autres photos avant de les remettre dans sa poche. Maintenant même quand il serait au privet drive madame wesley ou du moins la photo de madame wessley serait là pour le combler
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