Une maladie qui touche les écrivains autant amateurs que professionnels.

Exemple Symptômes :

Tremblements, sueurs, délires, insomnies ou rarement hypersomnie, tachycardie, agitation diverses, isolement…

Divers stades… comme début de la passion jusqu’à l’isolement absolue.

Apparaît à toutes âges quand l’imagination devient extrême, insidieusement ou brutale. Le patient a un besoin incontrôlable d’écrire. Toujours écrire.

Une addiction certes mais aucun mort recensé. Malheureusement aussi, peu de données précises sur le nombre de cas.

Elle se soigne par d’autres activités, par une organisation de travail si besoin et l’entourage précieux de la famille.

À l’image de l’auteur Jean Pierre Raison « L’écriture est une drogue dure », écrivez votre histoire comme une thérapie. Par ce biais aussi ça se soigne.

Ps : L’autrice de cette étude fictive n’a pas lu le livre mais juste chercher si cela existe. De plus, il se peut qu’elle est elle-même atteinte de la maladie. Forte heureusement, il a différents stades et tout les symptômes ne sont pas représentés.

Merci de prendre ce texte avec des pincettes et au sixième parallèles de degré nord.