Chapitre 14
Comment pouvais-je résister à une Elisa, érotique, libérée de ses chagrins, avec qui je pouvais jouer sans limites.
Je replongeais, c'était évident. J'avais voulu fuir une relation qui m'étouffait et que je n'arrivais pas à contrôler. Et de nouveau, je me laissais happer par Elisa et l'ivresse de nos échanges. Quels risques y avait-il à recommencer ? Quelle erreur avions-nous fait ? Et comment sortir du sillon que nous avions laissé derrière nous, pour profiter simplement de ses instants érotiques et jouissifs. En réalité, toutes ses questions, je choisissais de les ignorer et de simplement espérer que mon anonymat redistribuait les cartes du destin.
Loumie : Je suis rentrée.
Jekyllandhyde : Pouvons-nous aussi avoir des discussions sérieuses ?
Loumie : Bien sûr, c'est ce qui rend les discussions érotiques plus piquantes.
Jekyllandhyde : Votre mari a-t-il connaissance de votre livre et de votre vie Wattpadienne ?
Loumie : Non
Jekyllandhyde : Sait-il que vous l'avez trompé ?
Loumie : Je l'ai raconté dans mon histoire.
Jekyllandhyde : Alors j'attendrai de le lire.
Loumie : Je vais vite publier la suite de mon histoire alors.
Jekyllandhyde : Vous avez déjà tout écrit ?
Loumie : Oui, mais j'aime relire chaque chapitre pour corriger ou modifier des tournures de phrases.
Jekyllandhyde : Êtes-vous perfectionniste ?
Loumie : Pour certaines choses oui, surtout quand elles procurent du plaisir.
Jekyllandhyde : Attention nous allons déraper.
Loumie : Je crois que j'ai du mal à résister à la tentation ;).
Jekyllandhyde : Alors je vais devoir être fort pour deux.
Loumie : Vous voudriez faire souffrir une femme désespérée ?
Jekyllandhyde : Vous êtes désespérée ?
Loumie : Je sors d'un chagrin d'amour...
Amour ? Même si parfois, elle me l'avait dit à demi-mot, ce mot prenait une résonance particulière, quand elle me le disait.
Jekyllandhyde : Vous étiez amoureuse de Paul ?
Loumie : Oui
Jekyllandhyde : Au point de vouloir quitter votre mari.
Loumie : Je me pose souvent la question. Mais il n'était pas amoureux, alors j'ai préféré étouffer mes rêves.
Jekyllandhyde : Il ne sait pas ce qu'il a perdu, l'idiot.
Loumie : Merci
Jekyllandhyde : J'ai cru comprendre que vous dessiniez ?
Loumie : Oui
Jekyllandhyde : J'aimerais bien voir ce que vous faites.
Loumie : Je publie mes dessins sur Instagram si vous voulez.
Jekyllandhyde : Et vous seriez prêt à me donner votre compte Instagram.
Loumie : Si vous voulez : _loumie
Jekyllandhyde : Avez-vous reçu ma demande ?
Loumie : Oui c'est accepté.
Jekyllandhyde : Je trouve ça très joli.
Loumie : Merci
Jekyllandhyde : Et le dessin de la femme nue est-il un autoportrait.
Loumie : Tous sauf le bras et les cheveux.
Jekyllandhyde : Joli sein.
Loumie : Merci
Jekyllandhyde : Vous avez la photo originale ?
Loumie : Oui
Jekyllandhyde : J'aimerais bien la voir.
Loumie : Un jour peut-être...
Jekyllandhyde : Humm...
Loumie : Là, c'est vous qui dérapez...
Jekyllandhyde : J'ai du mal à résister à une femme nue, surtout avec de jolis seins.
Loumie : J'ai du mal à résister à un homme qui sait faire monter le désir.
Jekyllandhyde : Photo ? ;)
Loumie : Patience
Jekyllandhyde : Snif
Loumie : Il se fait tard. Je vais vous laisser à vos doux rêves. Bonne nuit.
Jekyllandhyde : Je vais rêver de vos seins alors. Bonne nuit.
Je n'avais pas envie de me coucher trop vite et j'avais envie d'écrire.
C'était un nouveau chapitre Damien avait sucer Thomas et maintenant Marie voulait que ces deux beaux mâles s’occupent d'elle.
- Vient nous rejoindre Marie dit Damien.
Marie qui était encore en train de se caresser, se releva du fauteuil et se dirigeât vers les deux hommes qui l'attendaient debout, côte à côte. De sa main gauche, elle approcha le visage de Damien qu'elle commença à embrasser, puis celui de Thomas, pour que tour à tour elle lèche leurs bouches. De la droite, elle glissa ses doigts pleins de cyprine dans ce jeu de langue délicieux. Même Thomas et Damien se roulaient des pelles comme deux adolescents en chaleur.
Ils partirent ensuite à l'exploration du corps de Marie. Il restait sur elle sa petite jupe évasée, mais dans la bataille elle avait perdu, tee-shirt, soutien-gorge et culotte.
Damien commença par sa poitrine, quand Thomas avait une main sur sa croupe et déjà un doigt dans son intimité. Ces caresses à quatre mains faisaient perdre toutes ses forces à la belle, qui dut venir s'asseoir sur le bord d'un bureau. Cambrée en Arrière, Damien pouvait ainsi encore mieux profiter de cette poitrine offerte, qu'il goûtait goulûment. Il sentait l'abondance de sa salive sur cette cher douce et ferme et sur ses deux petits bijoux formés par des tétons rosés, excités et excitant. Thomas, toujours afféré à masser le point G de Marie, se délectait aussi de ce baiser humide et profond qu'il échangeait avec Elle.
- Thomas, es-tu aussi doué avec ta queue qu'avec tes doigts ? lui chuchota-t-elle au creux de l'oreille.
Elle s'allongea sur le bureau pendant que Damien continuait d'embrasser sa poitrine. Thomas releva les jambes de Marie, attrapa son manche et l'accompagna dans l'antre de cette femme qui se donnait à deux hommes. Chaque coup de rein lui arrachait un gémissement de plaisir. Elle ronronnait comme une chatte, sous les assauts de Thomas. Damien vint glisser sa main sur le clitoris de Marie et commença de petits mouvements rotatifs. Ce n'était plus des ronronnements, mais des rugissements qui sortaient de sa bouche, maintenant.
« Coucou mon chat, tu fais quoi »
Je venais de recevoir un message de Louise et il tombait à pic, je bandais comme un cheval et avait vraiment envie d'en profiter.
« Je regardais la télé, mais j'allais justement t'envoyer un snap ma chatte »
« Quel genre de snap ? »
« Quel genre de snap aimerais tu recevoir »
« Je ne serais pas contre un snap sexy »
« Laisse-moi quelques secondes »
Je prenais en photo mon érection à travers mon boxer, lui laissant juste un peu de temps pour qu'elle pense que je n'y étais déjà pas avant son appel.
« Oh très intéressant tout ça »
« Et toi, tu as quelque chose de mignon à me montrer ? »
Je recevais une photo de ses jolis petits seins, qui pointaient déjà généreusement. Je continuais à me caresser et sortais mon engin tout en faisant une petite vidéo.
« Mais dit moi, tu es très excité. Tu veux que je t'en donne plus ? »
Je branlais doucement mon sexe et envoyais une autre vidéo avec en commentaire OUI.
La réponse que je reçus me plaisait. Louise se caressait et glissait même un doigt dans sa chatte.
Crescendo les vidéos firent monter le désir jusqu'au point de non-retour. Et Louise, reçu un dernier Snap de mon sexe en pleine éjaculation.
Au bout de quelques minutes, je reçus un message de Louise :
« J'ai joui aussi, vivement vendredi. Tu as l'air en manque petit cochon. »
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